De mémoire de Béninois, jamais une crise institutionnelle entre le pouvoir exécutif et le législatif n’a été sujet à autant de tiraillements, d’inquiétudes et de doutes que celui de 2008.
Né au Bénin, il dirige l’une des premières conciergeries de luxe françaises. Sa vocation ? Satisfaire tous les caprices, fussent les plus farfelus, de ses très fortunés clients.
De Casablanca au Cap et bien au-delà de ses frontières, le continent tout entier s’exprime dans une multitude de langues. Mêlant sons traditionnels et modernes, ses nouveaux talents ont déjà nombre d’inconditionnels.
L’accueil de l’ancien président anjouanais Mohamed Bacar, chassé du pouvoir en mars dernier, n’est pas une première. D’Idriss Déby Itno à Ibrahim Coulibaly, nombre d’opposants ou de dirigeants déchus ont, par le passé, trouvé refuge dans l’ancien Dahomey.
À l’occasion du 10e sommet de la Cen-Sad (12-18 juin, Cotonou), le leader libyen voudra, une fois de plus, donner la preuve de son influence au sud du Sahara. Parviendra-t-il à redonner une cohérence à sa politique africaine, élaborée à coups de pétrodinar
Premier archevêque noir du continent, le prélat béninois a connu pas moins de six papes. Il laisse une profonde empreinte sur cinquante ans d’histoire de l’Église catholique en Afrique.
Déterminé à poursuivre les réformes, le chef de l’État veut avancer vite, quitte à être seul. Une méthode critiquée par la classe politique, qui déplore un grave manque de concertation.