La composition des chapeaux des éliminatoires africains de la Coupe du monde 2014 a été révélée mercredi. De quoi tirer quelques enseignements avant le tirage au sort prévu ce samedi à Rio de Janeiro, au Brésil.
Le président burkinabè Blaise Compaoré s’est engagé « à œuvrer avec tous au respect de la Constitution » jeudi. Celle-ci l’empêche de se représenter à l’issue de son mandat en 2015, mais le gouvernement n’exclut pas une révision de cette disposition.
Les présidences burkinabè, camerounaise et congolaise (RDC) ont reçu ou s’apprêtent à recevoir des messages de fermeté de la part de la France. Paris affirme qu’aucun soutien ne leur sera accordé si leurs scrutins respectifs ne sont pas crédibles.
Un comité chargé de proposer des réformes politiques au Burkina Faso a échoué à s’accorder sur une révision de la Constitution qui permettrait au président Blaise Compaoré de briguer un nouveau mandat en 2015. Autre point de désaccord, l’abolition de la peine de mort.
L’ex-président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) du Burkina Faso et ancien ministre, Moussa Michel Tapsoba est décédé dans la nuit du 13 au 14 juillet à Ouagadougou à l’âge de 59 ans.
À nouveau sécurisé, le port d’Abidjan, qui collectait 90% des ressources douanières de la Côte d’Ivoire avant la crise, espère un retour rapide du trafic en provenance de l’Afrique de l’Ouest. Le problème pourrait désormais se situer en amont, sur les routes ivoiriennes.
« Tout va bien au Burkina, la crise est derrière nous. » C’est le message qu’a voulu faire passer Luc Adolphe Tiao lors de sa récente visite de travail à Paris (4-9 juillet).
Du 6 au 10 juillet s’est tenue la Dakar Fashion Week, où treize stylistes, en majorité d’Afrique de l’Ouest, sont venus présenter leur collection. Rencontre avec une créatrice russo-ghanéenne dont la double appartenance culturelle fait des étincelles : Beatrice Bee Arthur.
Depuis le 2 juillet au 17 septembre 2011 la capitale de la Guinée équatoriale, Malabo, accueille African Football Dream Team, une émission de télé-réalité réunissant 44 jeunes footballeurs africains.
L’Autorité supérieure de contrôle d’État (ASCE) du Burkina Faso, chargée d’inspecter l’administration publique, a remis son rapport général d’activités 2010 au président Blaise Compaoré. Le document est sans ambiguïtés, il fait état d’importantes insuffisances.
Créé en 2007 à l’initiative des acteurs et entrepreneurs culturels d’Afrique et de sa diaspora, le Rapec milite pour un nouveau dynamisme de l’activité culturelle du continent africain. Son président, John Ayité Dossavi, décrit sa vision de la place de la culture dans les politiques de développement, avant le premier congrès* de l’organisation, prévu du 11 au 13 octobre 2011 à Libreville au Gabon.
À quelques mois d’élections cruciales, l’opposition et le pouvoir sont pour une fois d’accord : le patron de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) doit démissionner… mais l’intéressé, Moussa Michel Tapsoba, s’y refuse.
Empêtré dans une bataille juridique interminable avec l’émirati Etisalat, l’homme d’affaires Apollinaire Compaoré garde pour l’instant le contrôle de Telecel Faso. Un opérateur qui monte
La Société nationale burkinabè d’hydrocarbures (Sonabhy) a un nouveau patron. A 57 ans, l’ancien secrétaire général du premier ministre devrait conduire l’ouverture d’une partie du capital de l’entreprise à des opérateurs privés.
Trop, c’est trop. Confronté à la crise la plus grave qu’il ait jamais connue, le régime Compaoré s’est enfin résolu à agir. Il a annoncé des mesures pour calmer la grogne sociale, tout en réprimant les mutineries. Pas sûr que cela suffise.
Les armes se sont tues au Burkina Faso après des mutineries en série dans les casernes, mais le régime du président Blaise Compaoré, en place depuis 1987, reste dans une situation délicate, entre tensions sociales et projets politiques contestés.
Pour contrer la chaîne publique, pro-Gbagbo, le camp Ouattara avait lancé sa propre télévision et une radio. Une situation qui rend inévitable la libéralisation du secteur. Revue de détail des chantiers qui attendent la nouvelle administration.
Les péripéties mexicaines d’un écrivain allergique… au papier. Sous des airs de farce, l’auteur tchadien signe « Les racines du yucca », un roman magistral sur l’errance.
Contre le rotavirus qui cause la mort de milliers d’enfants africains chaque année, le docteur Samba Ousmane Sow mène son combat en lançant un appel pour que les pays du Sud puissent davantage avoir accès aux vaccins.
Six militaires et une jeune fille ont été tués dans l’opération conduite vendredi par l’armée burkinabè contre des mutins dans la capitale économique Bobo Dioulasso (sud-ouest), a annoncé samedi le gouvernement.
L’opération conduite vendredi par l’armée burkinabè contre des mutins de Bobo Dioulasso (sud-ouest) était en voie d’achèvement dans la soirée. La situation est sous contrôle, affirment les responsables militaires. Dix-huit personnes, dont neuf militaires, ont été blessées dans les combats. Une balle perdue a tué une jeune-fille.
Blaise Compaoré a choisi la manière forte. À Bobo Dioulasso, la deuxième ville du Burkina Faso secouée par une violente mutinerie depuis mardi soir, les hommes du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) sont venus sonner la fin de la récréation.
Bobo Dioulasso est désormais soumise à un couvre-feu. Mais la mesure, imposée jeudi soir pour tenter d’endiguer la mutinerie qui se produit dans la deuxième ville du Burkina Faso, paraît sans effet.
La deuxième ville du Burkina Faso, Bobo Dioulasso, n’a pas échappé à la vague de mutineries qui s’est abattue sur le pays depuis plus de deux mois. Pour protester contre les violences et les pillages, des commerçants ont incendié la mairie.