À l’affiche d’une version africaine de Médée jusqu’au 13 décembre, Odile Sankara revient sur sa passion pour les textes classiques et son engagement auprès des femmes burkinabè.
Il vaut mieux tenir « tard » une élection qui n’entraîne pas de conflit que d’en organiser « vite » une qui fera des morts, a estimé mardi soir le président ivoirien Laurent Gbagbo à Ouagadougou, alors que la présidentielle vient d’être reportée pour la sixième fois depuis 2005.
Nombre d’agglomérations se sont laissé déborder par les ordures. Manque de volonté ? De moyens ? Pourtant, certaines se sont dotées de systèmes efficaces.
Tantôt vitrines économiques et culturelles, tantôt terreau d’inégalités et juxtaposition de taudis, dont l’expansion est des plus anarchiques, les agglomérations africaines parviendront-elles à maîtriser leur croissance ?
Pourtant réputé pour son habileté, le président burkinabè, médiateur dans le conflit, a mécontenté l’opposition en présentant un projet d’accord qui semble favoriser la junte au pouvoir. Tactique ou erreur de parcours ?
Hier le Togo et le Niger, aujourd’hui la Côte d’Ivoire et la Guinée… Le chef de l’État burkinabè n’en finit plus de courir au chevet de ses voisins secoués par les crises. Au point d’en oublier son pays ?
La présidente de l’ONG International Crisis Group (ICG), Louise Harbour, estime que le président burkinabè Blaise Compaoré n’est pas « l’homme le plus fiable » pour servir de médiateur en Guinée.
Le porte-parole de la junte a menacé d’exclure les anciens Premiers ministres de Guinée de l’élection présidentielle à Ouagadougou. Ils sont responsables, selon lui, d’avoir « pillé » le pays.
Jeune Afrique s’est procuré le texte que le médiateur, le chef d’Etat burkinabé Blaise Compaoré, a proposé le 19 novembre aux deux partis en conflit – le Conseil National pour la Démocratie et le Développement (parti au pouvoir) et les Forces Vives (opposition) -, et qui sert de base aux discussions en cours.
Le président burkinabé savait que la partie serait difficile. Mais il n’imaginait certainement pas être si brutalement désavoué. Il lui faudra déployer tout son talent pour ne pas voir sa médiation échouer.
Le Forum des Forces vive rejette la proposition préconisée par le médiateur de la crise, Blaise Compaoré. Ce dernier propose de conserver Moussa Dadis Camara à la tête du pays pendant la transition, et ne l’excluait pas d’une élection.
Blaise Compaoré préconise le maintient de Moussa Dadis Camara et un gouvernement d’ouverture, pendant une période de transition de 10 mois avant des élections.
Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur dans la crise guinéenne, se rend lundi à Abuja pour évoquer avec le président nigérian Umaru Yar’Adua le « début des pourparlers inter-guinéens ».
En pleine célébration en France de l’armistice de la guerre de 1914-1918, une cérémonie s’est déroulée mercredi près de Bordeaux (sud-ouest), en hommage aux tirailleurs sénégalais qui ont combattu pour la France pendant la « Grande guerre ».
Les délégués de la junte au pouvoir à Conakry ont remis mercredi au président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur dans la crise guinéenne, leurs propositions pour la « formation d’un gouvernement d’ouverture » et le maintien du capitaine Camara à la présidence.
Plusieurs dirigeants de l’opposition en Guinée, craignant pour leur sécurité à Conakry, ont prévu de rester à l’étranger, après avoir présenté mercredi à Ouagadougou leurs propositions de sortie de crise au médiateur Blaise Compaoré, a-t-on appris auprès d’eux.
Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur dans la crise en Guinée, a reçu mercredi les propositions de l’opposition guinéenne, qui demande la dissolution de la junte et la mise en place d’une autorité de transition pour six mois, selon différents opposants.
Le Forum des forces vives guinéennes persiste et signe : réuni au Burkina Faso sur invitation du président et médiateur Blaise Compaoré, il martèle que la junte du capitaine Moussa Dadis Camara doit quitter le pouvoir.
Démantelé pendant vingt ans, le secteur agricole revient au cœur du développement. Les initiatives se multiplient. La priorité est donnée aux entreprises et aux filières. Mais manque l’essentiel : le financement.
Le médiateur burkinabè, le président Blaise Compaoré, a entamé mardi à Ouagadougou des pourparlers avec l’opposition guinéenne, qui demande le départ de la junte au pouvoir, en vue de sortir de la grave crise consécutive au massacre d’opposants le 28 septembre.
La carte postale est plutôt triste, la coïncidence ne l’est pas moins. C’est au milieu d’une ville parsemée de ruines et de camps de sinistrés que s’est tenu, du 9 au 11 octobre, le 7e Forum mondial pour le développement durable.
La septième édition du Festival international de la mode africaine (Fima) s’ouvre ce mardi près de Niamey, au Niger. Comme le temps passe… Cela fait déjà dix ans que le styliste nigérien Alphadi a lancé le concept de cette manifestation, aujourd’hui internationalement reconnue. L’occasion de faire le bilan, et de se projeter dans l’avenir.