Hier parmi les plus virulentes du continent, les organisations de défense des travailleurs burkinabè sont en perte de vitesse. Pour preuve, les mouvements de février et mars sont nés, avant tout, de la rue.
Nommé à la primature en juin 2007, l’ancien ministre de l’Économie a affronté les émeutes sociales en début d’année, celles des universités en juin… Sans perdre le cap qu’il s’est fixé, ni se départir de son franc-parler.
À la tête du pays depuis 1987, aussi médiatisé qu’il reste secret, le chef de l’État burkinabè a acquis, en deux ans, une réputation de faiseur de paix.
Le pays a été confronté depuis le début de l’année à divers mouvements de fronde, qui ont touché toute la société. Pourquoi ces crises, comment le gouvernement les a-t-il gérées, quelles sont désormais ses priorités ?
Un aéronef de type Sia Marchetti, ayant à son bord deux militaires burkinabé, s’est écrasé mercredi à l’est de Ouagadougou, tuant sur le coup ses occupants, a appris APA de source officielle.
La Directrice exécutive de l’Organisation non gouvernemental (Ong) « Initiative Privée Communautaire de lutte contre le VIH/Sida » au Burkina Faso, a exprimé dimanche, son souhait de voir développer et encourager une synergie d’actions entre le secteur public et les organisations communautaires, dans la lutte contre la pandémie.
Le gouvernement burkinabè a annoncé jeudi dans un communiqué avoir « substantiellement » réduit la dette intérieure du pays, passée de 78 milliards de francs CFA (119 millions d’euros) en 2006 à 28 milliards (42 millions d’euros) en 2008.
Le champion du monde de boxe de Fédération internationale de Boxe (IBF) des super welters, le Burkinabè Irissa Kaboré alias le « Caïd », s’est envolé pour Accra, la capitale ghanéenne, pour préparer le combat devant l’opposer, le 20 décembre prochain à Ouagadougou, à l’Ukrainien Vladimir Khodokovski.
Le Premier ministre burkinabè Tertius Zongo a mis en garde les ministres et responsables des entreprises publiques contre les « dépenses somptuaires » de fin d’année, dans une période « où toute économie » est utile au Burkina Faso.
Président du groupe Kossouka, qu’il a créé à l’âge de 18 ans, ce jeune commerçant devenu l’un des tout premiers hommes d’affaires du pays se lance dans l’industrie et l’exportation.