Nés en RDC, au Cameroun ou au Burkina, ces créateurs représentent le continent dans des domaines aussi divers que la photographie, l’architecture ou la muséographie.
L’Italienne Barbara Manzi a été déclarée « persona non grata » et priée de quitter Ouagadougou ce vendredi. La junte au pouvoir lui reproche d’avoir « terni » l’image du pays.
La chanteuse barbadienne et icône mondiale vient-elle de visiter le pays des Hommes intègres ? Un employé de l’hôtel où elle aurait séjourné et un représentant du gouvernement démentent…
Les signes d’un rapprochement entre Ouagadougou et Moscou se multiplient depuis quelques semaines. Si bien que certains voient déjà les mercenaires de la société militaire privée russe sur les terres burkinabè.
Les responsables d’une dizaine d’organisations professionnelles des médias dénoncent les menaces de la junte d’Ibrahim Traoré, déplorant la suspension de RFI depuis le 3 décembre.
Le Fonds africain de développement s’engage à investir près de 41 millions de dollars pour développer l’aviculture, l’agriculture et la pisciculture. Ce projet tourné vers la résilience climatique concerne près de 240 000 personnes.
Le Burkina Faso se dit « profondément affecté » par les déclarations du président ghanéen affirmant que Ouagadougou a « conclu un arrangement » avec le groupe paramilitaire russe Wagner.
Influent et réputé pro-russe, il était incarcéré depuis janvier, accusé d’avoir fomenté un coup d’État contre Roch Marc Christian Kaboré. Sa libération crée des spéculations sur le rôle qu’il pourrait jouer sous le régime d’Ibrahim Traoré.
Depuis Washington, le président ghanéen a publiquement accusé ses voisins burkinabè d’avoir trouvé un arrangement avec la société militaire privée russe pour que ses mercenaires opèrent sur leur territoire.
« Ce combat passe nécessairement par les armes, mais aussi par nos valeurs, nos comportements et le redressement de notre économie », a assuré samedi 10 décembre le président burkinabè de transition.
Kyélem Apollinaire de Tambèla est parti le 7 décembre en Russie, via Bamako. Un déplacement à l’abri des regards, dont l’objectif suscite bien des interrogations.
La société russe Nordgold s’est vu octroyer une nouvelle exploitation par la junte d’Ibrahim Traoré, en plus des trois qu’elle gère déjà dans le nord du pays.
Il a survécu à une décennie de présence militaire française et à plusieurs opérations visant à l’éliminer. Aussi introuvable qu’incontournable, le chef du GSIM, jihadiste le plus recherché du Sahel, continue de se battre contre l’armée malienne et ses supplétifs russes de Wagner.
Ces supplétifs civils de l’armée ont été enrôlés en trois semaines dans tout le pays, après l’appel du président de la transition Ibrahim Traoré à ce que chacun s’engage contre le terrorisme.
À l’issue d’un sommet organisé à Accra, la délégation conduite par le Premier ministre a annoncé le déploiement sur le territoire burkinabè de 2 000 soldats dans le cadre d’une force régionale, provoquant de vives réactions – et une marche arrière.
Le 3 novembre, quatre officiers qui avaient accompagné le lieutenant-colonel Damiba en exil à Lomé ont été placés en résidence surveillée à leur retour à Ouagadougou. Soupçonnés de vouloir déstabiliser le régime du capitaine Traoré, ils n’ont toujours pas été remis en liberté.
Il a pris le pouvoir en promettant de gagner la guerre contre les groupes terroristes. Depuis, le nouveau président de la transition burkinabè multiplie les annonces fortes, tant sur le fond que sur la forme.
Le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu, n’a pas écarté un départ des forces spéciales françaises basées au Burkina Faso, où des manifestations contre Paris ont de nouveau eu lieu vendredi 18 novembre.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté pour demander le départ des forces françaises dans le pays, ce vendredi 18 novembre. Des heurts ont eu lieu devant l’ambassade de France.
L’ancien président doit quitter la Côte d’Ivoire dans les heures à venir pour aller se soigner dans l’Émirat, où il est suivi depuis qu’il a été opéré du cerveau.
Le président de la transition burkinabè a décidé de conserver son salaire de capitaine, en lieu et place de celui de chef d’État. Un signe de sobriété perçu comme sankariste…
Le président de la transition n’a pas hésité à tancer la classe politique, accusée d’être responsable de la dégradation sécuritaire. Des échanges publiés sur les réseaux sociaux qui font le buzz.
Paralysé par des ennuis judiciaires et financiers, Trevali Mining Corporation, détenteur du permis pour l’exploitation du zinc de Perkoa, annonce la cessation, après neuf ans, de ses activités. Un départ qui relance le débat sur l’industrie du zinc au Burkina Faso alors qu’un liquidateur tente de trouver un repreneur.
Ce 11 novembre, 71 personnalités « qualifiées et compétentes » se réuniront pour la première session de l’Assemblée législative de transition, qui doit nommer son président.
À la surprise générale, il a été nommé Premier ministre par Ibrahim Traoré le 21 octobre dernier. Cet avocat catholique, fervent partisan de l’idéologie de Thomas Sankara, est un iconoclaste.
Pour son premier voyage officiel à l’étranger depuis sa nomination, le président de la transition burkinabè s’est rendu à Bamako. Il s’est entretenu avec son homologue malien, essentiellement au sujet de la coopération militaire.
Le président burkinabè a réservé son premier voyage à l’étranger au Mali. Avec son homologue, il doit échanger sur la lutte contre les groupes jihadistes et les partenariats avec l’étranger.