Si aucune opération exceptionnelle n’est annoncée pour son cinquantenaire, le festival panafricain du cinéma de Ouagadougou a déjà annoncé la liste des films en compétition pour l’Étalon d’or de Yennenga.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté le 12 janvier dans plusieurs villes du pays pour réclamer « vérité et justice » après l’attaque d’hommes armés et les représailles contre la communauté peule qui ont fait 49 morts le 1er janvier dans la ville de Yirgou (nord).
Le président Roch Marc Christian Kaboré a mis fin le 10 janvier aux fonctions du général Oumarou Sadou, chef d’état-major général des armées. Remplacé par le général de brigade Moïse Minoungou, ce dernier devra placer la lutte antiterroriste au cœur des priorités.
En relançant son Haut conseil le 5 janvier, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), ex-parti au pouvoir, marque une nouvelle étape dans sa préparation pour la présidentielle de 2020.
Le général Djibrill Bassolé, considéré comme l’un des cerveaux du coup d’État manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, a rejeté lors de son procès la validité des échanges téléphoniques qu’il aurait eus avec Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne.
Le général Djibrill Bassolé, l’un des auteurs présumés du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, a refusé lundi au procès d’évoquer les écoutes téléphoniques, pièce maîtresse du dossier d’accusation.
Selon Rémis Fulgance Dandjinou, porte-parole du gouvernement burkinabè, l’attaque d’hommes armés dans le village de Yirgou (centre-nord), le 1er janvier, suivie de représailles contre la communauté peule, a fait 46 morts, d’après un dernier bilan encore provisoire.
Safiatou Lopez, figure de proue de la société civile du Burkina Faso, a bénéficié d’une mesure de liberté provisoire le 2 janvier, après quatre mois de détention pour « complot et incitation à évasion » des officiers incarcérés pour le putsch manqué de septembre 2015.
L’état d’urgence a été décrété ce lundi 31 décembre dans plusieurs provinces du Burkina Faso en proie à des attaques jihadistes récurrentes, a annoncé le ministre burkinabè de la Communication Remis Fulgence Dandjinou.
L’organisation financière internationale a validé, le 21 décembre, le décaissement de 25,1 millions de dollars (22 millions d’euros) en faveur du Burkina Faso, mais elle met en garde le pays : alors que les dépenses en matière de sécurité augmentent, la hausse de la masse salariale du secteur public devient « insoutenable ».
Trois militaires burkinabè ont été tués samedi 22 décembre dans l’explosion d’un engin artisanal (IED) au passage de leur véhicule sur l’axe Fada N’Gourma-Pama, dans l’est du pays.
Au deuxième jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina, le général Djibrill Bassolé, qui a plaidé non coupable, a notamment insisté sur « la totale déconnexion de ses activités privées » avec les faits qui sont lui reprochés.
Dans une lettre ouverte adressée à Roch Marc Christian Kaboré en septembre, Ablassé Ouédraogo, ministre burkinabè des Affaires étrangères dans les années 1990, a déploré l’évolution de la situation sécuritaire dans le pays.
Au premier jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina, le général Djibrill Bassolé a contesté les faits qui lui sont reprochés. Ses avocats ont notamment remis en cause l’authenticité du rapport d’expertise sur les conversations téléphoniques qu’il aurait eues avec Guillaume Soro.
Le général Djibrill Bassolé, soupçonné d’être l’un des cerveaux du coup d’État manqué de 2015 au Burkina Faso, a plaidé « non coupable » jeudi, lors de sa première comparution au procès.
La ministre burkinabè de l’Économie, des Finances et du Développement, Rosine Sori Coulibaly, a présenté le 18 décembre au Parlement un budget 2019 plus « prudent » que celui déposé en septembre dernier. Une démarche « qui ne remet nullement en cause les ambitions initiales du gouvernement », a-t-elle précisé.
Au douzième jour de l’audience du général Gilbert Diendéré, que faut-il retenir de la version de celui qui est présenté comme le cerveau du putsch manqué de 2015 ?
Cerveau présumé du coup d’État manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, l’ex-ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré prépare sereinement sa défense avec ses avocats.
Roch Marc Christian Kaboré sera en visite officielle en France les 17 et 18 décembre. Il sera reçu à l’Élysée par Emmanuel Macron, avec lequel il sera largement question de coopération sécuritaire entre les deux pays.
L’avis favorable de la justice française à la demande d’extradition de François Compaoré, que la justice bukinabè souhaite entendre dans le cadre de l’enquête sur la mort de Norbert Zongo, marque une nouvelle étape vers la justice, vingt ans après l’assassinat du journaliste le 13 décembre 1998.
Lancée en 2016 pour produire et commercialiser des lampes solaires au Burkina Faso, Lagazel ouvrira sa première station de recharge collective le 14 décembre à Kombissiri, à 35 km au sud de la capitale burkinabè.
Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a appelé lundi ses concitoyens à « faire preuve de solidarité » dans la lutte contre le terrorisme auquel est confronté le Burkina Faso depuis mars 2015.
Après neuf jours de comparution devant le tribunal militaire de Ouagadougou, le général Gilbert Diendéré continue de réfuter la paternité de la tentative de déstabilisation du pouvoir de la Transition survenue le 16 septembre 2015.
Les parlementaires burkinabè ont adopté la nouvelle concession pour la gestion et l’exploitation du chemin de fer Abidjan-Ouaga, conclue entre le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le groupe Bolloré. À la clef : 400 millions d’euros pour réhabiliter la liaison ferroviaire entre les deux villes.
Aux commandes depuis 2002, le banquier accélère le virage digital du leader burkinabè du microcrédit pour partir à la conquête de l’Afrique de l’Ouest.
La justice française a rendu un avis favorable à la demande d’extradition du petit frère de Blaise Compaoré vers le Burkina Faso dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Norbert Zongo. Mais ce dernier ne devrait pas être extradé de sitôt, car sa défense dispose encore de plusieurs recours judiciaires pour contester cette décision.
Six assaillants ont été abattus lundi 3 décembre à Bougui, dans l’est du pays, lors d’une « attaque terroriste » contre une patrouille de gendarmes, selon des sources sécuritaires.
Cinq personnes dont quatre gendarmes ont été tuées par l’explosion d’un engin artisanal au passage de leur véhicule vendredi 30 novembre à Boungou, localité de l’est du Burkina Faso, en proie à des attaques similaires attribuées aux djihadistes.
Le Niger a décrété vendredi 30 novembre l’état d’urgence dans trois départements du sud-ouest, voisins du Burkina et souvent victimes d’attaques meurtrières «de groupes terroristes», selon un communiqué du gouvernement.