Ils étaient sur le devant de la scène : Kadré Désiré Ouédraogo, ancien Premier ministre burkinabè, Rose Kabuye, ex-directrice du protocole du président Kagame, et Saïd Sadi, président et cofondateur d’un des principaux partis algériens d’opposition. Que sont-ils devenus ?
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris dira le 13 juin si elle accède ou non à la demande d’extradition de François Compaoré formulée par les autorités du Burkina Faso, qui souhaitent l’entendre dans l’affaire de l’assassinat du journaliste d’investigation Norbert Zongo, en 1998.
Depuis janvier, 5 000 personnes ont été contraintes de fuir le nord du Burkina Faso, frontalière du Mali, une région en proie à de fréquentes attaques terroristes jihadistes, a annoncé mardi le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Hilaire Kaboré, patron de la Sonabhy, la société publique burkinabè chargée d’approvisionner le pays en produits pétroliers, a été porté le 14 mars à la présidence de l’Association des raffineurs africains. Il revient pour JA sur les objectifs de cette organisation, la qualité du carburant vendu en Afrique et sur la compétitivité des raffineries africaines.
Le tribunal militaire du Burkina Faso s’est déclaré lundi incompétent pour statuer sur la demande de récusation des magistrats portée par les avocats de la défense.
Alors que le ville nouvelle de Bassinko n’en est qu’a ses balbutiements, la Burkina Faso a déjà pour projet de construire Yennenga. Cette nouvelle cité mise sur la mixité sociale.
Alors que le procès des auteurs présumés du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso a repris ce mercredi à Ouagadougou, la défense persiste à contester la légalité du tribunal, comme à l’ouverture du procès fin février.
Le procès des auteurs du putsch manqué de septembre 2015 doit reprendre ce 21 mars. Sur le banc des accusés : 83 Burkinabè, mais aussi un Malien membre du Mouvement arabe de l’Azawad, un groupe armé actif dans la région de Tombouctou.
Malade, le responsable politique burkinabè est décédé dimanche à Ouagadougou, à l’âge de 53 ans. Ex-directeur de cabinet de Nkosazana Dlamini-Zuma lorsqu’elle présidait la commission de l’UA, il avait été candidat à la présidentielle de 2015.
Apollinaire Compaoré, le fondateur du groupe Planor, et Élie Justin Ouédraogo, le président du conseil d’administration du groupe canadien Société d’exploitation minière en Afrique de l’Ouest (Semafo), visent tous les deux la présidence du Conseil national du patronat burkinabè.
Si le Burkina Faso affiche ces dernières années un taux de croissance très encourageant, il reste fragilisé par l’ampleur de sa dette publique, alors que son déficit budgétaire et sa balance commerciale se creusent sensiblement. L’enveloppe du FMI devrait permettre au gouvernement de mieux gérer les finances publiques.
La réussite de l’entreprise de BTP Ebomaf a permis à son fondateur de tisser des liens étroits avec de nombreux chefs d’État d’Afrique de l’Ouest. Doté d’un solide carnet d’adresses, le patron burkinabè diversifie maintenant ses activités tous azimuts.
Les services burkinabè ont identifié celui qu’ils considèrent comme le coordonnateur des attentats du vendredi 2 mars : il s’agit d’un combattant d’Al-Mourabitoune, déjà soupçonné d’être impliqué dans l’attaque contre le café Cappuccino, en janvier 2016.
La double attaque qui a frappé la capitale burkinabè, vendredi dernier, a ravivé les soupçons de collusion entre le régime du président déchu Blaise Compaoré et les réseaux jihadistes. L’ancien président s’en est toujours défendu. Mais la question est sur toutes les lèvres à Ouaga.
Les huit militaires qui ont perdu la vie lors de l’attaque de l’état-major des armées et de l’ambassade de France par deux groupes d’hommes armés, le 2 mars à Ouagadougou, ont été inhumés ce mercredi devant une foule nombreuse et recueillie, après une cérémonie d’hommage officiel.
L’enquête sur la double attaque meurtrière qui a visé l’état-major général des armées et l’ambassade de France vendredi 2 mars avance. Huit personnes ont été interpellées pour leur implication présumée dans l’attentat, a déclaré mardi la procureure du Faso, Maiza Sérémé, qui a précisé le scénario des événements.
La Société africaine de pneumatique (SAP) est l’unique producteur de pneus et de chambres à air en Afrique de l’Ouest. L’usine burkinabè réalise un chiffre d’affaires de 4 milliards de francs CFA mais subit de plein fouet la concurrence des pneus importés. Sa stratégie : un positionnement haut de gamme et la diversification de sa production.
De nombreuses informations, pas toujours vérifiées, voire carrément fausses, ont circulé sur les réseaux sociaux et dans les médias pendant la double attaque du vendredi 2 mars à Ouagadougou. Décryptage.
La circulation est redevenue normale lundi après-midi dans la capitale burkinabè, avec la levée des barrages aux abords de l’état-major général des armées et de l’ambassade de France. L’enquête sur les attentats se dirige vers de possibles complicités au sein de l’armée.
En déplacement ce lundi 5 mars à Ouagadougou au lendemain du double attentat qui a frappé l’état-major général des armées et l’ambassade de France, le président nigérien Mahamadou Issoufou, qui préside également le G5 Sahel, est venu réaffirmer la « volonté commune de continuer sans répit le combat contre le terrorisme ».
Un individu qui a tenté de forcer un check-point a été appréhendé par la garde présidentielle, a affirmé un responsable sécuritaire. L’homme a ensuite été atteint d’une balle alors qu’il tentait d’arracher l’arme d’un soldat.
L’enquête sur la double attaque de Ouagadougou le vendredi 2 mars progresse. Dimanche, deux jihadistes présumés dont un soupçonné d’avoir joué un rôle clé était entendu par la justice du Burkina Faso qui soupçonne des complicités dans l’armée.
La coalition jihadiste Nusrat al-Islam Wal Muslimin (« Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans »), dirigée par Iyad Ag Ghaly a revendiqué la double attaque de vendredi qui a fait huit morts parmi les militaires et 80 blessés. Une source proche de l’enquête ouverte par le procureur du Faso évoque quant à elle un « acte commandé et payé ».
Le Premier ministre burkinabè, Paul Kaba Thiéba a décrit samedi des « scènes apocalyptiques », au lendemain de la double attaque menée contre l’état-major des forces armées du Burkina Faso et l’ambassade de France à Ouagadougou qui ont fait 8 morts parmi les militaires.
La capitale burkinabè a été la cible d’une double attaque meurtrière, ce vendredi 2 mars au matin. L’état-major des armées et l’ambassade de France ont été visées par deux groupes d’hommes armés. Les autorités évoquent une attaque « terroriste ». Le point sur ce que l’on sait, ce vendredi soir.
Longtemps préservé de la menace terroriste, le Burkina Faso est depuis janvier 2016 la cible de groupes jihadistes opérant au Sahel. Avant l’attaque vendredi 2 mars de l’état-major des armées et de l’ambassade de France à Ouagadougou, deux autres attentats d’envergure ont endeuillé la capitale burkinabè en janvier 2016 et en août 2017, se soldant par la mort de 49 personnes.
La capitale burkinabè a été visée ce vendredi 2 mars au matin par deux attaques simultanées visant l’ambassade de France et l’état-major des armées. La situation est désormais « sous contrôle », mais l’identité des assaillants demeure inconnue, tout comme le bilan global. Retour sur cette journée, heure par heure.
Le procès des putschistes qui s’est s’ouvert mardi à Ouagadougou a été aussitôt suspendu. Les avocats de la défense ont quitté la salle, arguant d’irrégularités, et le tribunal n’a pas pu se constituer. La reprise des audiences n’est pas prévue avant plusieurs jours. Les parties civiles dénoncent une « manœuvre dilatoire ».
Plusieurs responsables politiques et militaires ivoiriens de premier plan sont accusés d’avoir aidé – ou voulu aider – le général Gilbert Diendéré et ses hommes lors de leur tentative de coup d’État à Ouagadougou en 2015.
Le procès dans lequel doivent être jugés 84 personnes poursuivies pour leur implication présumée dans le coup d’État manqué du 16 septembre 2015, s’ouvre ce mercredi 21 mars, après un premier report. Si le procès divise l’opinion, il devra toutefois éclaircir l’avenir politique des dignitaires de la famille politique de l’ex-président Blaise Compaoré.