Dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 août, un commando a visé le café-restaurant Aziz Istanbul, très fréquenté, à Ouagadougou, faisant 18 morts. Séraphin Effon, est l’un des employés du café visé.
Né en Côte d’Ivoire, Joachim réside au Burkina Faso où il est chargé d’étude. Pour notre série d’articles intitulée l’argent des Africains, ce jeune père de famille a accepté de nous parler de son quotidien, de ses dépenses et de ses projets.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), en visite mardi au Burkina Faso pour présenter ses condoléances à son homologue burkinabè Roch Marc Christian Kaboré et au peuple du Burkina Faso après l’attaque terroriste de la nuit du dimanche 13 au lundi 14 août à Ouagadougou, a réaffirmé la nécessité d’unir les forces régionales contre le terrorisme.
Jeune Afrique a rencontré le docteur Georges Ouedraogo, qui a participé dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 août à la prise en charge des blessés de l’attaque du café Aziz Istanbul, à l’hôpital Yalgado Ouedraogo de Ouagadougou. Bien que régulièrement confronté à la mort, il reconnaît que les heures qui ont suivi l’attentat on été particulièrement éprouvantes : « C’était affreux, même pour nous ».
Dimanche soir, deux assaillants à moto ont ouvert le feu sur la terrasse du café-restaurant Aziz Istanbul, tuant 16 personnes. Ils ont été abattus au petit matin par les forces spéciales burkinabè. Récit de cette nuit d’horreur.
Peut-on encore tenir le discours de la résilience, lorsque les attaques terroristes se suivent et se ressemblent ? Comment Ouagadougou digèrera-t-elle le nouveau choc de l’avenue Kwame Nkrumah ?
L’attaque qui a visé le café-restaurant Aziz Istanbul, à Ouagadougou, dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 août a plongé la capitale burkinabè dans une « tristesse totale ». Nous sommes allés à leur rencontre au lendemain du drame qui a fait 18 morts.
Un témoin de l’attaque terroriste qui a frappé Ouagadougou raconte la nuit d’horreur qu’a vécu la capitale burkinabè dans la nuit du dimanche 13 au lundi 14 août. En plein cœur de la ville, un café-restaurant a été pris pour cible. Au moins 18 personnes ont été tuées, 20 ont été blessées.
Au moins dix-huit personnes ont été tuées dimanche soir dans l’attaque du café Aziz Istanbul à Ouagadougou, au Burkina Faso. Un nouvel événement meurtrier dans le pays qui soulève des interrogations sur ses auteurs et sur le dispositif sécuritaire burkinabè notamment. Cynthia Ohayon, analyste au sein de l’International Crisis Group (ICG), répond à nos questions.
Quelques heures après la fin de l’assaut des forces de l’ordre, le porte-parole du gouvernement burkinabè fait le point sur la situation. Au moins 18 personnes ont été tuées et une vingtaine blessées dans une attaque terroriste qui a frappée Ouagadougou dans la nuit de dimanche à lundi.
Dix-huit personnes ont été tuées dimanche soir dans une attaque menée vers 21h00 contre un café-restaurant en plein cœur de la capitale burkinabè. Suivez notre live pour connaître les dernières informations.
Dix-huit personnes ont été tuées dimanche soir dans une attaque terroriste menée contre un café-restaurant situé en plein cœur de la capitale burkinabè, selon le bilan provisoire annoncé lundi matin par le gouvernement dans un communiqué. Les forces de sécurité ont mené un assaut vers 4 heures du matin contre les terroristes retranchés dans le bâtiment.
La courant passe mal entre policiers et gendarmes affectés à la protection du président Roch Marc Christian Kaboré, au sein du Groupement de sécurité et de protection républicaine (GSPR).
Cette bancarisation remplace le paiement au numéraire, ou système du « billetage », utilisé depuis 2015 pour le versement des traitements des fonctionnaires.
Un certain flou entoure le mandat d’arrêt international émis par la justice burkinabè contre François Compaoré dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat, le 13 décembre 1998, du journaliste d’investigation Norbert Zongo.
L’industrie musicale compte son lot de catastrophes à faire frémir les auditeurs les plus indulgents. Et l’Afrique ne déroge pas à la règle. Nous avons concocté pour vous une liste (non exhaustive) de performances artistiques ubuesques dégotées sur le web.
Au Burkina Faso, le juge d’instruction en charge de l’enquête sur le coup d’État raté du général Gilbert Diendéré a finalement inculpé l’ancien ministre des Affaires étrangères de « trahison ». Une décision qui soulage ses avocats pour qui Bassolé « n’a rien à craindre dans ce dossier ».
Djibrill Bassolé, ex-ministre burkinabé des Affaires étrangères, a écrit une lettre à Emmanuel Macron où il lui demande une autorisation pour venir se faire soigner en France.
Suite aux attaques terroristes dans le nord du pays, Ouagadougou a décidé de consacrer 455 milliards de francs CFA pour le développement de cette région.
Le Burkina commémore ce vendredi 4 août le 34e anniversaire de la Révolution d’août 1983, portée par le capitaine Thomas Sankara. Alors que le Comité international du mémorial Thomas Sankara (CIM-TS) met les bouchées doubles pour mettre sur pied un coûteux projet de mémorial , JA interroge l’héritage légué par le Père de la Révolution burkinabè.
La ministre française des Armées, Florence Parly, et son homologue allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, ont affirmé mardi 1er août à Bamako l’engagement de leurs deux pays à élargir le soutien à la création d’une force anti-jihadiste du G5 Sahel. Elles étaient ensemble lundi 31 juillet au Niger. La veille, Florence Parly s’est rendue seule au Tchad.
Dans son ordonnance de règlement rendue le 24 juillet dans l’enquête sur le coup d’État raté du général Gilbert Diendéré de mi-septembre 2015, le juge d’instruction a estimé que l’actuel président du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP), Eddie Komboïgo, qui avait été inculpé puis écroué pour son implication présumée, était « exempt de tout reproche », a appris Jeune Afrique. Une décision sans surprise, a fait savoir l’ancien parti présidentiel qui nie toute responsabilité dans le coup de force.
Début mai, la justice burkinabè a émis un mandat d’arrêt international contre François Compaoré, le frère cadet de Blaise Compaoré, dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Norbert Zongo.
La justice burkinabè a lancé un mandat d’arrêt international contre François, le frère cadet de l’ex-président Blaise Compaoré dans l’affaire de l’assassinat du journaliste Norbert Zongo en décembre 1998, a appris vendredi l’AFP auprès de l’avocat de la famille Zongo.
Me Halidou Ouédraogo, le président de la Commission constitutionnelle, a remis l’avant-projet de Constitution à Roch Marc Christian Kaboré le 19 juillet, au palais de Kosyam.
Alors que plusieurs tombes ont été récemment découvertes au Conseil de l’entente, à Ouagadougou, là où Thomas Sankara et douze de ses compagnons furent abattus le 15 octobre 1987, la justice militaire burkinabè passe à la vitesse supérieure.
Le contingent burkinabé présent au Darfour, dans l’ouest du Soudan, sera redéployé sur le territoire national afin de faire face à la menace terroriste.
Réunis à Ouagadougou, mardi 18 juillet, les gouvernements du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire ont convenu d’une date de démarrage pour les travaux de réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou, long de 1 260 km.
Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré et le président ivoirien Alassane Ouattara ont affirmé vouloir lutter « ensemble » contre le terrorisme.
À New York, un Burkinabè fait vibrer Harlem by night. Arrivé les poches vides, Abdel Kader Ouedraogo a, en quelques années, créé un festival et ouvert un bar de world music devenu une adresse incontournable.