Après la tempête médiatique déclenchée par la décision des organisateurs de retirer Timbuktu de la compétition officielle de la 24e édition du Fespaco, le ministre burkinabè de la Culture a annoncé vendredi que le film serait finalement « diffusé » et maintenu en compétition officielle.
Votre président a-t-il le baccalauréat ? Un master ? À-t-il étudié l’économie ou le droit ? En France ou en Chine ? Toutes les réponses avec notre jeu interactif.
Le film « Timbuktu », qui a raflé sept prix lors de la dernière cérémonie des Césars, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur pour Abderrahmane Sissako, sera-t-il programmé au Fespaco prévu samedi ?
Plusieurs pays d’Afrique francophone ont adopté un statut officiel de « chef de file de l’opposition ». D’autres ont voté des textes mais attendent toujours la désignation de leur opposant en chef. Mali, Burkina, Guinée, RDC… Voici la place institutionnelle réservée à vos opposants.
Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) ouvre ses portes le 28 février au Burkina-Faso. De nombreuses personnalités du monde de la culture sont attendues à cette biennale qui fête sa 24e édition.
Le film franco-mauritanien « Timbuktu », sept fois récompensé aux Césars, devait être retiré mercredi de la compétition officielle de la 24e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco). Cette décision intervient pour des motifs sécuritaires, selon Gervais Hien, chargé de communication de l’organisation.
Du Français Dominique Strauss-Kahn au Malaisien Anwar Ibrahim, on ne compte plus les responsables politiques dont les moeurs débridées, ou supposées telles, ont brisé la carrière. Pourquoi, à l’inverse, les frasques des dirigeants africains ne les conduisent-elles (presque) jamais devant les tribunaux ?
On croyait Michel Kafando, le président de la transition du Burkina, condamné à jouer les seconds rôles en attendant les élections. C’est pourtant son Premier ministre, le lieutenant-colonel Zida, qui est en difficulté, pas lui, diplomate quasi inconnu il y a encore trois mois.
C’est en toute discrétion que l’ex-président du Faso Blaise Compaoré s’est installé à Abidjan dans la nuit du 12 au 13 février. Il y bénéficie d’une résidence d’État dans le quartier huppé de Cocody.
Pour la première fois depuis sa nomination au poste de président de la transition, Michel Kafando s’est confié à « Jeune Afrique ». Un entretien exclusif à retrouver dans le n°2823, en kiosque du 15 au 21 février. Extraits.
La société cotonnière burkinabè Sofitex a signé le 13 février une convention de financement de 70 millions d’euros pour la campagne en cours avec un pool bancaire international mené par Société générale en partenariat avec la Société financière internationale (SFI).
À la tête de la Cedeao depuis près de trois ans, le Burkinabè dresse un bilan positif des avancées de l’organisation, sans omettre les objectifs restant à atteindre. Rencontre avec un homme de convictions.
L’ancien chef de la diplomatie de Blaise Compaoré est pressenti pour être candidat à l’élection présidentielle du 11 octobre prochain. Voici ce qui pourrait le faire gagner, mais aussi le faire perdre.
En conflit ouvert avec le régiment de sécurité présidentiel (RSP) – dont il est issu – depuis plus d’un mois, le Premier ministre burkinabè a failli perdre son poste la semaine dernière. Retour sur ces quelques jours qui ont fragilisé une transition jusqu’à présent bien menée.
Ils s’appellent Yaya Touré, Max Alain Gradel, Bakary Sako, Sambou Yatabare, Jeremie Bokila, Pierre Emerick Aubameyang, pour ne citer qu’eux… Retour en vidéo sur leurs prouesses devant le but lors de la CAN 2015.
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées samedi matin à Ouagadougou pour demander la dissolution de la garde présidentielle, qui a provoqué cette semaine une courte crise politique en réclamant la démission du Premier ministre, a constaté l’AFP.
Le Premier ministre burkinabè a failli perdre son poste dans la bataille qui l’oppose au puissant régiment de sécurité présidentielle depuis plus d’un mois. Maintenu à la tête du gouvernement au nom de l’intérêt supérieur de la transition, il marche désormais sur des oeufs.
Après une journée de tensions à Ouagadougou, le puissant régiment de sécurité présidentielle a renoncé jeudi à réclamer la démission du Premier ministre, Yacouba Isaac Zida, qui s’est lui engagé à ne pas dissoudre le corps d’élite controversé.
En décembre dernier, le Parlement sénégalais s’est doté d’un système de traduction simultanée permettant aux députés de s’exprimer dans leur langue natale. Une innovation qui répond à la volonté de promouvoir la diversité linguistique. De ce point de vue, tous les pays africains ne sont pas logés à la même enseigne.
Le conseil des ministres prévu mercredi matin au palais présidentiel de Kosyam a été reporté à une date indéterminée. En cause ? Un nouveau coup de sang des cadres du régiment de la sécurité présidentielle, qui ont contraint le Premier ministre Zida à se rendre chez le Mogho Naba.
La transition se terminera avec les élections fixées au 11 octobre 2015. D’ici là, le tandem Kafando-Zida, sous pression constante, doit composer avec la rue, l’armée et la classe politique. Tandis que les prétendants au palais de Kosyam se préparent…
Les chef d’État du continent se sont réunis les 26 et 27 juin à Malabo en Guinée équatoriale. Voici quelques indiscrétions rapportées par nos journalistes sur place.
Confiant mais vigilant, Zéphirin Diabré, le chef de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) sera candidat à l’élection présidentielle prévue le 11 octobre 2015 au Burkina Faso.
Un nouveau parti a été fondé samedi à Ouagadougou par d’anciens fidèles de l’ex-président Blaise Compaoré pour soutenir la candidature de son chef de la diplomatie, Djibrill Bassolé, à la présidentielle d’octobre, a constaté l’AFP.
West Africa Rating Agency (WARA) a levé la surveillance négative sous laquelle elle avait placé les notes des entreprises burkinabè Coris Bank International et Onatel. L’agence régionale salue la volonté du Burkina Faso de sortir rapidement de la « phase de transition politique ».
Le Congo, tombeur du Burkina Faso (2-1), et la Guinée équatoriale, vainqueur du Gabon (2-0), sont tous les deux qualifiés pour les quarts de finale de la CAN 2015 dans le groupe A. Les Diables rouges terminent à la première place de la poule. Retour sur deux qualifications incroyables.
Malgré le changement de régime au Burkina et la menace Ebola, le prestigieux festival panafricain aura bien lieu. Avec quelques changements au programme.