Le tirage au sort du dernier tour de la zone Afrique pour les qualifications à la Coupe du monde 2014 a eu lieu ce lundi au Caire. Au programme, cinq rencontres prometteuses : Côte d’Ivoire – Sénégal, Éthiopie – Nigeria, Tunisie – Cameroun, Ghana – Égypte, et Burkina Faso – Algérie. Qui seront les vainqueurs qui s’envoleront pour le Brésil ? Votez !
Leur collectif, ils l’ont appelé le Balai citoyen. Comme leurs aînés sénégalais, Smockey et Sams’k Le Jah sont musiciens. Et disent non à la mal-gouvernance.
La Banque islamique de développement va financer des projets de développement dans plusieurs pays, notamment en Tunisie, en Égypte et au Burkina Faso, pour un montant total de 747 millions de dollars.
Dans la nuit du vendredi 30 au samedi 31 août, un ex-soldat burkinabè aurait attaqué une caserne de la présidence, à Ouagadougou, avant d’être abattu par les sentinelles. Les motivations de l’assaillant, Romuald Tuina, radié de l’armée en février 2012 et activement recherché pour différents méfaits, sont encore méconnues.
C’est finalement Alizéta Ouédraogo qui a pris la tête de la Chambre de commerce, d’industrie et d’artisanat du Burkina Faso (CCIA). Déjà présidente provisoire depuis près de deux ans, elle souhaite notamment dynamiser le secteur privé au cours de son nouveau mandat.
Lundi 12 août, le président burkinabè, Blaise Compaoré, a décidé de suspendre le projet de création du Sénat. Une annonce accueillie avec un certain scepticisme par le chef de fil de l’opposition et président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), Zéphirin Diabré. Interview.
Le chef de l’État, Blaise Compaoré, a suspendu le projet de création du Sénat, a indiqué, lundi 12 août, la présidence du Burkina Faso. Il était soupçonné par l’opposition de vouloir modifier la Constitution afin de briguer un nouveau mandat en 2015.
Le projet de création d’un Sénat de Blaise Compaoré divise le Burkina Faso. Soutenue par une partie de la population, l’opposition soupçonne le président de vouloir modifier la Constitution afin de briguer un nouveau mandat en 2015.
Idéalement situé, le port sec de Bobo-Dioulasso a permis au Burkina Faso d’attirer une partie du commerce régional. De quoi inspirer d’autres États du continent…
La Télévision nationale du Burkina, la RTB, a fêté le 05 août son cinquantième anniversaire. Elle a été la toute première chaine publique crée par un pays francophone après les indépendances en Afrique de l’Ouest.
Le 29 juillet à Yamoussoukro, le président ivoirien Alassane Ouattara a mis en service le premier tronçon de pipeline du pays qui relie Abidjan, la capitale commerciale, à la capitale politique de la Côte d’Ivoire.
Ils viennent du Burkina, du Niger ou du Sénégal. Au Japon, un pays pas forcément très accueillant, ils ne sont que des « gaijin », des étrangers. Pourtant, certains s’en tirent professionnellement très bien.
Un passager clandestin caché dans la trappe d’atterrissage d’un avion d’Air France en provenance de Ouagadougou est mort à Niamey, ce jeudi 26 juillet, alors qu’il tentait de rejoindre Paris.
Après 26 ans de pouvoir, le régime de Blaise Compaoré est confronté à des manifestations inhabituelles. Dans ce climat, le président du Burkina Faso pourra-t-il rebeloter à la présidentielle de 2015 ?
Plusieurs milliers de personnes ont assisté samedi à Ouagadougou à un meeting contre la « vie chère » qui a viré à la manifestation contre le régime du président Blaise Compaoré, en plein débat sur sa succession, a constaté un correspondant de l’AFP.
Près de 175 000 Maliens sont actuellement réfugiés au Burkina, au Niger et en Mauritanie. Grâce à un dispositif spécial, eux aussi devraient réussir à glisser leur bulletin dans l’urne le 28 juillet, comme les quelque 350 000 déplacés à l’intérieur du territoire malien.
Pour la première fois dans l’histoire du Burkina, les journalistes des médias publics ont manifesté devant leur ministère de tutelle pour dénoncer des pressions dans le traitement de l’information relative à l’opposition au président Blaise Compaoré. Le gouvernement dément toute volonté de manipulation.
Au terme de son mandat à la tête de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), le Français Pascal Lamy défend sa vision sociale-réformiste des échanges internationaux. Quelle place l’Afrique doit-elle y prendre ? Éléments de réponse.
Gilbert Diendéré, chef d’état-major particulier du président Compaoré, mémoire du régime, homme de l’ombre depuis plus d’un quart de siècle, n’était plus réapparu, depuis le printemps 2012 et la libération des otages occidentaux dans le désert nord-malien. Jusqu’au 23 juin dernier, où il était à Kidal.
Afin de rendre hommage aux différents protagonistes de l’intervention militaire au Mali, la célèbre avenue parisienne des Champs-Élysées verra défiler des militaires africains le 14 juillet.
Du Sénat souhaité par le gouvernement, l’opposition burkinabè ne veut pas entendre parler. Trop cher et surtout trop risqué s’il devait autoriser le président Blaise Compaoré à se représenter en 2015.
Bamako et les rebelles touaregs ont signé, mardi 18 juin à Ouagadougou un accord intérimaire permettant d’organiser l’élection présidentielle à Kidal, dans le nord du Mali.
Dimanche 16 juin, le pouvoir malien et les rebelles touaregs occupant Kidal, dans le nord du Mali, n’avaient toujours pas trouvé d’accord sur le nouveau projet mis au point en vue de la présidentielle de juillet. La médiation burkinabè attend désormais la réaction des deux camps.
Depuis le 8 juin, le gouvernement malien discute à Ouagadougou avec les rebelles touaregs qui contrôlent la ville de Kidal. Objectif : parvenir à un accord pour permettre la tenue de la présidentielle prévue le 28 juillet sur l’ensemble du pays. Mais, les deux parties peinent toujours à trouver un compromis.
Les questions de la justice, du cantonnement des rebelles, du retour de l’armée à Kidal et de l’organisation institutionnelle et administrative font partie des principales difficultés rencontrées dans les négociations entre Bamako et le MNLA à Ouagadougou.
À Ouagadougou, selon la médiation burkinabè, on s’achemine progressivement vers la conclusion d’un accord entre le pouvoir malien et les rebelles touaregs occupant Kidal, dans le nord-est du Mali. Malgré la « méfiance » qui persiste.