Le 29 juillet à Yamoussoukro, le président ivoirien Alassane Ouattara a mis en service le premier tronçon de pipeline du pays qui relie Abidjan, la capitale commerciale, à la capitale politique de la Côte d’Ivoire.
Ils viennent du Burkina, du Niger ou du Sénégal. Au Japon, un pays pas forcément très accueillant, ils ne sont que des « gaijin », des étrangers. Pourtant, certains s’en tirent professionnellement très bien.
Un passager clandestin caché dans la trappe d’atterrissage d’un avion d’Air France en provenance de Ouagadougou est mort à Niamey, ce jeudi 26 juillet, alors qu’il tentait de rejoindre Paris.
Après 26 ans de pouvoir, le régime de Blaise Compaoré est confronté à des manifestations inhabituelles. Dans ce climat, le président du Burkina Faso pourra-t-il rebeloter à la présidentielle de 2015 ?
Plusieurs milliers de personnes ont assisté samedi à Ouagadougou à un meeting contre la « vie chère » qui a viré à la manifestation contre le régime du président Blaise Compaoré, en plein débat sur sa succession, a constaté un correspondant de l’AFP.
Près de 175 000 Maliens sont actuellement réfugiés au Burkina, au Niger et en Mauritanie. Grâce à un dispositif spécial, eux aussi devraient réussir à glisser leur bulletin dans l’urne le 28 juillet, comme les quelque 350 000 déplacés à l’intérieur du territoire malien.
Pour la première fois dans l’histoire du Burkina, les journalistes des médias publics ont manifesté devant leur ministère de tutelle pour dénoncer des pressions dans le traitement de l’information relative à l’opposition au président Blaise Compaoré. Le gouvernement dément toute volonté de manipulation.
Au terme de son mandat à la tête de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), le Français Pascal Lamy défend sa vision sociale-réformiste des échanges internationaux. Quelle place l’Afrique doit-elle y prendre ? Éléments de réponse.
Gilbert Diendéré, chef d’état-major particulier du président Compaoré, mémoire du régime, homme de l’ombre depuis plus d’un quart de siècle, n’était plus réapparu, depuis le printemps 2012 et la libération des otages occidentaux dans le désert nord-malien. Jusqu’au 23 juin dernier, où il était à Kidal.
Afin de rendre hommage aux différents protagonistes de l’intervention militaire au Mali, la célèbre avenue parisienne des Champs-Élysées verra défiler des militaires africains le 14 juillet.
Du Sénat souhaité par le gouvernement, l’opposition burkinabè ne veut pas entendre parler. Trop cher et surtout trop risqué s’il devait autoriser le président Blaise Compaoré à se représenter en 2015.
Bamako et les rebelles touaregs ont signé, mardi 18 juin à Ouagadougou un accord intérimaire permettant d’organiser l’élection présidentielle à Kidal, dans le nord du Mali.
Dimanche 16 juin, le pouvoir malien et les rebelles touaregs occupant Kidal, dans le nord du Mali, n’avaient toujours pas trouvé d’accord sur le nouveau projet mis au point en vue de la présidentielle de juillet. La médiation burkinabè attend désormais la réaction des deux camps.
Depuis le 8 juin, le gouvernement malien discute à Ouagadougou avec les rebelles touaregs qui contrôlent la ville de Kidal. Objectif : parvenir à un accord pour permettre la tenue de la présidentielle prévue le 28 juillet sur l’ensemble du pays. Mais, les deux parties peinent toujours à trouver un compromis.
Les questions de la justice, du cantonnement des rebelles, du retour de l’armée à Kidal et de l’organisation institutionnelle et administrative font partie des principales difficultés rencontrées dans les négociations entre Bamako et le MNLA à Ouagadougou.
À Ouagadougou, selon la médiation burkinabè, on s’achemine progressivement vers la conclusion d’un accord entre le pouvoir malien et les rebelles touaregs occupant Kidal, dans le nord-est du Mali. Malgré la « méfiance » qui persiste.
Les négociations entre les autorités maliennes et les groupes armés touareg occupant la ville de Kidal (nord-est), qui devaient s’ouvrir vendredi à Ouagadougou, ont été reportées à samedi en raison d’une exigence de dernière minute de Bamako.
Alors que l’armée malienne resserre son étau autour de Kidal, le gouvernement et les groupes armés touaregs se retrouvent vendredi 7 juin à Ouagadougou pour des négociations en vue de l’élection présidentielle de juillet. Les tractations pourraient durer tout le week-end.
Le mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ne résiste-il dans la zone de Kidal, au nord du Mali, que pour mieux négocier, à partir de vendredi 7 juin, à Ouagadougou, avec les autorités de Bamako ?
L’armée malienne a renforcé ses positions à Anefis, petite ville du Nord malien reprise mercredi aux rebelles touaregs du MNLA et située à une centaine de kilomètres au sud de leur bastion de Kidal. Malgré cette pression militaire accrue, le dialogue entre les deux parties, qui doit s’engager vendredi 7 juin à Ouagadougou, n’est pas rompu.
Yayi, Compaoré, Ouattara, Traoré, Ould Abdelaziz, Issoufou, Sall et Déby Itno… Huit chefs d’État africains étaient attendus à déjeuner, le 5 juin, chez leur homologue français, François Hollande. Juste avant la remise du prix Houphouët-Boigny à ce dernier, qui doit prononcer un discours attendu à l’Unesco.
Ruptures, ralliements, revendications… Dans le nord du pays, les positions des nombreux groupes touaregs n’en finissent pas de changer. Et de freiner les espoirs de paix.
Le tristement célèbre chef de milice, Amadé Ouérémi, qui sévissait depuis des années dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, a été arrêté. Il en aura fallu du temps et des exactions…
Le double attentat qui a frappé le Niger, le 23 mai, n’est pas pour rassurer le bataillon burkinabè de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma), basé à Tombouctou. Si les soldats sont en état d’alerte maximum, les moyens dont ils bénéficient sont loin d’être infaillibles.
Le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur régional dans la crise malienne, commence à partir de lundi 27 mai des négociations pour débloquer la situation à Kidal. La ville est toujours occupée par le MNLA et le MIA, deux groupes armés touaregs qui refusent le retour de l’armée et de l’administration maliennes.
Avant Abdelaziz Bouteflika, de nombreux présidents africains sont allés se faire soigner au mystérieux hôpital militaire du Val-de-Grâce, à Paris. De Mathieu Kérékou à Dioncounda Traoré en passant par Blaise Compaoré, Jeune Afrique vous propose de découvrir en images les célèbres patients africains du « Val ».
Tiébilé Dramé, l’émissaire malien pour le Nord, a rencontré lundi 20 mai à Ouagadougou le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur régional dans la crise malienne. La médiation burkinabè compte engager dans les « prochains jours » des discussions avec les groupes armés qui occupent la ville de Kidal (Nord-Est).
D’eux, on sait peu de chose. La discrétion fait partie du contrat… Question de sécurité. Leur rôle, pourtant, est essentiel. Rencontre avec ces cuisiniers hors pair qui s’activent derrière les fourneaux présidentiels.