Le chef de l’État burkinabè s’exprime avec parcimonie dans les médias. Et avec prudence. « Jeune Afrique » l’a rencontré et vous propose une interview exclusive dans son édition en vente en kiosque à partir du 7 octobre.
L’ancien ministre des Affaires étrangères du Ghana, Mohamed Ibn Chambas, semble tenir la corde pour le rôle d’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, pour la région du Sahel et la crise au Mali.
La société minière Cluff Gold, cotée à Toronto et sur le marché alternatif de Londres (AIM), a annoncé qu’elle changeait de nom pour s’appeler désormais Amara Mining, un terme africain qui signifie grâce et éternité.
Mis en cause pour sa gestion à l’époque où il était ministre, Joseph Paré, l’ambassadeur en poste à Paris, démissionnaire, est rentré à Ouaga pour s’expliquer.
Blaise Compaoré n’est décidément pas sur la même longueur d’onde que les autorités maliennes, qui refusent de voir le moindre soldat étranger à Bamako. Du coup, le président burkinabè et médiateur de la Cedeao dans la crise malienne juge qu’une intervention de l’organisation ouest-africaine pour libérer le Nord-Mali n’est pas possible.
Lors de sa visite en France du 17 au 20 septembre, Blaise Compaoré multiplie les rencontres. Après Abdou Diouf et François Hollande, le président burkinabè doit s’entretenir avec Vincent Bolloré, Nicolas Sarkozy et Michel Rocard, entre autres.
Habituellement très discrète, la veuve de Thomas Sankara, Mariam Sankara, a décidé de briser le silence qu’elle s’impose depuis des années. Dans une lettre adressée à François Hollande, datée du 13 septembre, signée de sa main et dont nous reproduisons de larges extraits ci-dessous, elle tente de « le dissuader » de recevoir Blaise Compaoré à l’Élysée, tout en lui demandant « d’exiger » de son hôte que « justice soit rendue au feu président Thomas Sankara ».
La Cedeao finalise son projet d’intervention militaire au Mali, lors d’une réunion des ministres de la Défense et des Affaires étrangères de l’organisation régionale, lundi 17 septembre à Abidjan. Objectif : obtenir prochainement un mandat de l’ONU.
La dernière campagne de sensibilisation n’a réussi à faire inscrire sur les listes électorales que 55% des Burkinabè en âge de voter. Insuffisant pour l’opposition, qui réclame un report des prochaines législatives et municipales prévues le 2 décembre.
Une quarantaine de personnalités politiques du continent ont assisté à la convention de Charlotte et à l’investiture officielle de Barack Obama pour la présidentielle de novembre.
La campagne électorale pour les élections législatives et municipales au Burkina Faso aura lieu du 17 au 30 novembre prochain. Si le nombre d’inscrits est bien en deçà des objectifs établis par la Ceni, il est toutefois en hausse par rapport à 2010.
Les services de renseignement français affirment que des armes auraient récemment été livrées, via le Burkina Faso, au Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).
Le voile commence à se lever sur les candidatures aux élections législatives qui auront lieu au début de décembre au Burkina Faso. Sauf surprise de dernière minute, François Compaoré, conseiller à la présidence et frère cadet du chef de l’État, devrait briguer un siège à l’Assemblée nationale.
Pan African Minerals, une société privée détenue par Frank Timis, a signé un accord de développement du projet d’extraction de manganèse de Tambao, au nord du Burkina Faso.
Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé, s’est rendu dans le Nord-Mali, le 7 août. Objectif : rallier les rebelles d’Ansar Eddine à une solution pacifique. Pas gagné…
La médiation burkinabè, conduite par le ministre des Affaires étrangères Djibril Bassolé, était en déplacement dans le nord du Mali mardi 7 août. Si elle n’a pas rencontré les responsables d’Aqmi et du Mujao, elle a reçu le soutien des islamistes d’Ansar Eddine.
La médiation burkinabè, conduite par le ministre des Affaire étrangères Djibrill Bassolé, est arrivée mardi 7 août à Gao pour rencontrer les responsables islamistes qui contrôlent la ville.
La capitale britannique accueille, du 27 juillet au 12 août, la plus grande manifestation sportive de la planète. Le continent va y tenir son rang avec un millier d’athlètes. Et pour la première fois, le public découvrira l' »Africa Village ».
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a entamé jeudi 26 juillet une tournée ouest-africaine qui doit le mener en deux jours du Niger au Tchad, en passant par le Burkina faso et le Sénégal. Avec pour but de s’entretenir de la crise malienne avec les leaders de ces pays, qui redoutent une agravation de la situation sécuritaire au Sahel.
Pas moins de 53 délégations africaines sont attendues aux JO de Londres. Objectif avoué : quarante médailles minimum. Pour s’y retrouver dans le foisonnement des grands rendez-vous durant les trois semaines de compétition, Jeune Afrique vous a concocté « son » calendrier olympique. Du football à l’athlétisme en passant par le kayak, la lutte ou le cyclisme… Demandez le programme !
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, doit effectuer une tournée en Afrique de l’Ouest à partir de la fin de la semaine. Il pourrait se rendre au Sénégal, au Niger et en Mauritanie, voire en Guinée ou au Burkina Faso.
La Banque africaine de développement (BAD) financera en grande partie la réhabilitation de l’axe transfrontalier entre le Burkina Faso et le Togo, un projet dont le coût total s’élève à 154 millions d’euros.
Ismael Saba, alias Ismael Sankara, réagit enfin à l’article de Jeune Afrique (n°2684, publié le 17 juin 2012) évoquant ses liens de parenté avec l’ancien président burkinabè Thomas Sankara. Et il reconnaît avoir prétendu être le fils de ce dernier…
Depuis vingt-trois ans, il est le conseiller économique de Blaise, son frère aîné. Mais qui connaît François Compaoré ? Aussi puissant que discret, il a fait son entrée au sein du bureau politique du parti au pouvoir. Une arrivée remarquée qui alimente les spéculations sur la succession du chef de l’État.
Le Premier ministre malien de transition, Cheick Modibo Diarra, s’est rendu chez le médiateur burkinabè, Blaise Compaoré, pour lui présenter sa feuille de route. Avec en perspective la formation d’un gouvernement d’union nationale à Bamako.