Recapitalisation de la Bicec, changement à la tête de la SCB, empêtrée dans des scandales… Les banques marocaines sont bien décidées à faire le ménage dans leurs filiales.
Après un début timide, la campagne électorale en vue des législatives et municipales du 9 février gagne en intensité. Si le RDPC au pouvoir fait office d’ultra favori, il devra néanmoins batailler âprement dans certaines circonscriptions pour protéger sa majorité absolue.
Le cofondateur de la première Brigade antisardinards est visé par une plainte déposée en France par les autorités camerounaises qui l’accusent d’être l’instigateur du saccage de l’ambassade du Cameroun à Paris, il y a un an.
Un profond malaise fiscal dresse les patrons camerounais contre l’administration fiscale. Au cœur du conflit, un redressement fiscal de 40 milliards de francs CFA qui vise la Société anonyme des brasseries du Cameroun (SABC), litige que le président Paul Biya aimerait voir réglé à l’amiable plutôt que devant les tribunaux.
Lors d’une conférence de presse, à Paris, le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) a défendu son choix de boycotter les prochaines élections locales et rappelé son offre de « solder » la présidentielle de 2018 sous la forme d’un dialogue avec le pouvoir.
La campagne pour les élections législatives et municipales camerounaises du 9 février s’est ouverte sans réel engouement et en l’absence du parti de l’opposant Maurice Kamto, qui continue d’appeler au boycott des scrutins.
La proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale française par Pierre-Alain Raphan, député LREM, pourrait offrir aux victimes de détention arbitraire à l’étranger une protection en France.
Selon nos informations, les Brigades anti-sardinards (BAS), mouvement d’opposition au président Paul Biya à travers différents pays occidentaux, préparent la réception de l’opposant Maurice Kamto en Europe et en Amérique du Nord.
Célestin Tawamba, le président du Gicam, charge le directeur général des impôts dans une lettre adressée le 16 janvier au président Paul Biya. La réaction de ce dernier reste attendue.
Si la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2021 aura lieu au Cameroun en janvier plutôt qu’en juin, l’incertitude autour du lieu de la finale de la compétition de football demeure.
Encouragée par Paul Biya, l’émergence de nouveaux candidats RDPC aux législatives et aux municipales du 9 février pourrait coûter son poste à l’inamovible président de l’Assemblée, à la tête du perchoir depuis près de trente ans.
Alors que plusieurs partis d’opposition comme le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) et le Cameroon People’s Party (CPP) ont décidé de ne participer au double scrutin du 9 février, d’autres estiment que le boycott n’est pas une option raisonnable.
Une « coupure franche » survenue à 300 kilomètres des côtes congolaises sur les deux câbles sous-marins de fibre optique WACS et SAT3 interrompt ou dégrade le réseau internet depuis jeudi matin dans une dizaine de pays d’Afrique.
Les échanges d’amabilités se poursuivent entre Paul Biya et ses compatriotes vivant à l’étranger. Le président camerounais n’a de toute évidence pas digéré les manifestations d’activistes émaillées de violences organisées lors de ses récents séjours en Europe.
Nullement échaudé par ses longues années de prison, Titus Edzoa, l’ancien secrétaire général de la présidence, espère revenir sur le devant de la scène.
Conseiller chargé de l’international au sein du think tank Cape Cameroun, dont Titus Edzoa est le président, Eric Chinje est partout ces derniers mois.
Un comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) se réunira en urgence ce 15 janvier à Yaoundé pour officialiser la décision de faire jouer la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en janvier plutôt qu’en juin. La décision devrait être effective dès l’édition 2021, prévue au Cameroun, selon les informations de Jeune Afrique.
Déstabilisé dans son fief par l’exode massif de ses militants, dont la plupart sont devenus la cible des milices séparatistes, le Social democratic front (SDF, opposition) se divise sur sa participation aux élections locales du 9 février.
La capacité du Cameroun à accueillir la Coupe d’Afrique des nations en 2021 suscite toujours des interrogations. Une délégation de la Confédération africaine de football (CAF) est arrivée à Yaoundé lundi pour évaluer la situation.
Avec le rachat de Bridgeo, spécialiste reconnu des logiciels de gestion d’entreprise, le groupe français de solutions numériques GFI Informatique renforce son arsenal alors qu’il veut doubler ses revenus en Afrique.
Climat des affaires, relations avec le gouvernement, Grand Dialogue, franc CFA… Le patron des patrons camerounais, Célestin Tawamba, président du Gicam, n’élude aucun sujet et livre son analyse de la situation nationale.
Huit marins ont été enlevés mardi matin au Cameroun dans l’attaque d’un pétrolier grec par des « individus armés » qui ont pris d’assaut le bateau ancré au port de Limbé, a déclaré le ministère grec de la Marine marchande dans un communiqué.
De l’arrestation de Maurice Kamto au Grand Dialogue national, en passant par les émeutes spectaculaires en prison et la crise dans les régions anglophones, retour sur les six faits ayant marqué l’actualité au Cameroun en 2019.
Originaire du Nord-Ouest, Audrey Nabila Monkam a été couronnée Miss Cameroun 2020 au cours d’une cérémonie qui marquait le retour de la compétition, interrompue pendant deux ans en raison de scandales à répétition. Une première depuis quatorze ans pour une candidate anglophone.
Au Cameroun, le juge administratif de Douala donne raison au consortium qui estimait avoir été injustement écarté de la présélection, en annulant la décision du patron du Port autonome de Douala du 8 janvier.
Selon nos sources, le gouvernement camerounais n’a pas l’intention de participer à des pourparlers avec les Ambazoniens tant qu’il n’aura pas mis en œuvre les mesures issues du Grand dialogue national d’octobre et que les élections locales n’auront pas été organisées.
Alors que s’achève, ce 20 décembre, la session extraordinaire du parlement ayant conduit à l’adoption d’un statut spécial pour les régions anglophones, les dispositions de ce texte continuent de rencontrer l’opposition des acteurs anglophones qui dénoncent une « concession de façade ».