Ancien ingénieur informatique devenu pasteur charismatique, ce protestant évangéliste veut désormais conquérir la présidence de la République le 7 octobre, avec pour objectif de « délivrer le Cameroun ». Portrait.
En une dizaine d’années, le Camerounais Defustel Ndjoko s’est imposé comme l’égérie de grandes marques italiennes et porte du Gammarelli, comme ces messieurs du Vatican.
Lors d’une rencontre surprise organisée par des jeunes Camerounais de Côte d’Ivoire, Cabral Libii, candidat à la présidentielle camerounaise, s’est entretenu rapidement avec Simone Gbagbo.
Le président de la Confédération africaine de football a rencontré Paul Biya le 2 octobre. Il a assuré que l’organisation n’avait « jamais réfléchi à un retrait » de l’attribution de la CAN 2019 au Cameroun et que c’était au pays de dire s’il était prêt ou non à organiser la compétition.
Candidat pour la troisième fois consécutive, Garga Haman Adji, le président de l’Alliance pour la démocratie et le développement (ADD), présente ses ambitions pour le Cameroun et son programme pour ramener la paix dans les régions anglophones.
À la veille de l’élection présidentielle, l’économie du poids lourd de la zone Cemac peut encore croire à une embellie. En dépit d’un environnement incertain et du manque d’implication du chef de l’État, ultrafavori du scrutin du 7 octobre.
Avec plus de deux millions d’électeurs potentiels, les régions de l’Adamaoua, du Nord et de l’Extrême-Nord sont au cœur des stratégies et des convoitises des candidats à la présidentielle du 7 octobre. Chronique d’une campagne où chacun espère se montrer plus « nordiste » que le concurrent.
Le candidat du Social Democratic Front (SDF), principal parti d’opposition camerounais, s’inquiète des difficultés pour accéder aux centres de vote dans les régions anglophones pour la présidentielle du 7 octobre. Il revient également pour Jeune Afrique sur son programme, en particulier sur sa volonté de mettre fin à un « fédéralisme contrôlé par l’État central ».
La société ferroviaire Camrail a été déclarée coupable mercredi par le tribunal de première instance d’Eseka, comme onze de ses employés ou anciens employés, dans l’affaire de la catastrophe ferroviaire du 21 octobre 2016.
Cabral Libii en est persuadé : le 7 octobre prochain, lors de la présidentielle, il battra le chef de l’État sortant Paul Biya. Fort d’une campagne qui en a étonné plus d’un, le benjamin de l’élection espère offrir un nouveau contrat social aux Camerounais. Il répond à Jeune Afrique.
Le président camerounais Paul Biya, candidat à un septième mandat lors de la présidentielle du 7 octobre, a compté sur différents atouts pour former le cercle de sa campagne.
Il n’a pas fait campagne, ni prononcé de discours, ni même détaillé son programme… Et pourtant, le chef de l’État, au pouvoir depuis près de trente-six ans, a toutes les chances d’être réélu le 7 octobre.
L’hôtel Sawa, dans le quartier de Bonajo à Douala, a été le théâtre d’une intervention militaire lundi 24 septembre dans l’après-midi. Des coups de feu ont été entendus. Les autorités assurent que le calme est revenu et que l’intervention était due à une « méprise ».
Principaux challengers de Paul Biya à la présidentielle camerounaise du 7 octobre, Akere Muna, Joshua Osih et Maurice Kamto entendent surtout se positionner pour l’avenir.
Les régions du septentrion camerounais sont au cœur des stratégies électorales des trois principaux opposants à Paul Biya – Maurice Kamto, Akere Muna et Josuah Osih – dans la conquête du palais d’Etoudi.
Si Akere Muna, Joshua Osih et Maurice Kamto font figure de principaux candidats de l’opposition face à Paul Biya à la présidentielle du 7 octobre, un quatrième homme pourrait bien siphonner une partie de leurs voix : Cabral Libii.
Depuis près d’une semaine, des familles entières affluent dans différentes villes situées en lisière des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Les autorités essaient de calmer la situation, mais peinent à se faire entendre.
Deux ans après la catastrophe d’Eseka, la compagnie camerounaise n’a pas recouvré la confiance des passagers et reste pénalisée par la baisse de la demande de fret au Tchad. La direction mise sur des investissements massifs pour sortir de cette mauvaise passe.
Le candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun s’est imposé comme le plus sérieux adversaire du président sortant. Pas sûr, pourtant, qu’il ait vraiment les moyens de l’emporter le 7 octobre.
Gounoko Haounaye, le président du conseil d’administration de l’Autorité portuaire nationale, a été mis en demeure de quitter son logement dont le loyer était impayé depuis 2015.
La marine camerounaise a intercepté, dans la nuit du 6 au 7 septembre, trois navires nigérians, dans lesquels des armes ont été saisies. Depuis, l’enquête est en cours et les regards se tournent vers le port de Calabar, au Nigeria.
Des affrontements entre séparatistes anglophones et soldats camerounais ont éclaté mardi 11 septembre à Buea, le chef-lieu de la région du Sud-Ouest. Aucun bilan officiel n’a été rendu public.
Les autorités camerounaises démentent vouloir procéder à une coupure d’internet durant le scrutin présidentiel du 7 octobre, qualifiant cette rumeur circulant sur les réseaux sociaux de « grossière manipulation ».
La nomination du Néerlandais Clarence Seedorf (42 ans) au poste de sélectionneur des Lions Indomptables a beaucoup surpris au Cameroun, qui se déplacera aux Comores le 8 septembre en match amical. À moins d’un an de la CAN 2019 que le pays organisera, le choix interpelle.
L’assassinat et l’enlèvement de responsables d’établissement dans la zone anglophone ont suscité la panique au sein de la communauté éducative. De nombreux acteurs accusent le gouvernement de ne pas tenir sa promesse d’assurer leur sécurité.
Conseiller du président et membre du RDPC, cet économiste inclassable ne fera pourtant pas campagne pour la réélection de Paul Biya le 7 octobre. Christian Penda Ekoka explique à JA les raisons de cette prise de position aussi retentissante que courageuse.