Le président américain Donald Trump a publié son premier projet de budget, intitulé « America First ». Celui-ci prévoit de réduire drastiquement l’aide extérieure des États-Unis. L’Afrique est en première ligne.
Une vingtaine de personnes, pour la plupart des civils, ont été tuées dans des heurts entre groupes armés en Centrafrique à Bakouma, une région du nord-ouest du pays.
L’entreprise israélienne Nikuv International Projects (NIP) espère remporter un important marché de numérisation et de fabrication de documents administratifs en Centrafrique.
Le parquet de Paris demande un non-lieu dans l’enquête visant des soldats français de l’opération Sangaris en Centrafrique accusés de viols par des enfants en 2013 et 2014. L’enquête en question a été clôturée en décembre, sans mise en examen.
Les petits Gabonais vont-ils perdre leur année scolaire à cause d’une grève illimitée dans l’éducation nationale ? Comme au Cameroun, en Centrafrique ou au Tchad, au Gabon le spectre d’une « année blanche » se dessine.
Les associations « Innocence en danger » et « Enfance et partage » ont annoncé vendredi avoir demandé à la justice française d’auditionner à nouveau des soldats français de la force Sangaris accusés de viols sur mineurs en Centrafrique entre 2013 et 2014. Elles dénoncent une instruction « partiale et lacunaire ».
Selon un communiqué de l’ONU, un Casque bleu sénégalais a été tué mercredi 8 mars à Bangui « par des individus armés non identifiés ». La Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca), a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de sa mort.
Impliqués dans la résolution de la crise centrafricaine, l’OCI et son envoyé spécial, le Sénégalais Cheikh Tidiane Gadio, ont tenté il y a quelques mois d’amener les différents groupes de l’ex-Séléka à la table des négociations.
La Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca) a annoncé ce mercredi avoir obtenu le départ de la ville de Bambari d’Ali Ndarass, chef de guerre considéré comme l’un des responsables des affrontements entre deux factions rivales de l’ex-rébellion Séléka.
À Bambari, dans l’est de la Centrafrique, la situation est confuse depuis plusieurs jours, sur fond de combats imminents entre le FPRC-MPC et l’UPC, deux factions de la Séléka.
Ce 15 février 2017, le ministre centrafricain de la Justice a annoncé la nomination de Toussaint Muntazini Mukimapa de la République démocratique du Congo (RDC) comme Procureur de la Cour Pénale Spéciale (CPS).
Dans un communiqué publié ce jeudi, Human Rights Watch (HRW) accuse les rebelles de l’Union pour la Paix en Centrafrique (UPC) de « crimes de guerre ». Selon l’ONG, en décembre 2016 ce groupe armé a assassiné 32 civils dans une localité du centre du pays.
Un hélicoptère de la force de l’Onu en Centrafrique (Minusca) est « intervenu » samedi pour stopper des hommes d’armés d’une faction de l’ex-rébellion séléka qui avançaient vers la ville de Bambari (centre), a annoncé la Minusca dans un communiqué.
Trois hommes armés et deux civils ont été tués à Bangui lors d’un accrochage mardi soir, dans le quartier musulman du PK5 opposant la gendarmerie à un groupe dit d’autodéfense. Les accrochages de ce type sont de plus en plus fréquents, et pas qu’à Bangui.
Selon des témoinds fuyant encore les combats ce jeudi, au moins 20 combattants auraient trouvé la mort dans des affrontements, qui ont éclaté samedi dans une localité minière du centre de la Centrafrique, entre deux factions rivales de l’ex-rébellion séléka
Une opération des forces de sécurité centrafricaines appuyées par la police de l’ONU contre un « chef de groupe d’auto-défense » a fait cinq morts mardi à Bangui dans le quartier du PK5.
Des éléments présumés du groupe « 3R » (réconciliation-réintégration-réparation), dirigé par le chef rebelle Sidicki, ont attaqué et pillé jeudi matin la ville de Bocaranga, située près des frontières avec le Cameroun et le Tchad, a annoncé à l’AFP Bernard Dilla, député de Bocaranga.
En décembre 2013, à Bangui, des miliciens de la Séléka à dominante musulmane et des anti-balaka majoritairement chrétiens se lancent dans une spirale de violences qui débouche sur la mort d’un millier de personnes, selon l’ONU. Trois ans après, cinq Centrafricains, chrétiens et musulmans, ont mis en place des actions pour « faciliter » le retour de la paix et de la cohésion entre les deux communautés. Rencontre avec ces combattants de la paix.
La Française Christine Lagarde, patronne du Fonds monétaire international (FMI), se rendra en Centrafrique, en Ouganda et à l’Île Maurice d’ici au 1er février dans le cadre d’une tournée africaine.
Un nouveau général prendra les commandes de la mission européenne de formation de l’armée centrafricaine (EUTM-RCA), selon le Conseil de l’Union européenne.
Invités extérieurs et surprises du sommet extraordinaire de la Cemac, le 23 décembre, la patronne du FMI, Christine Lagarde, et le ministre français de l’Économie et des Finances, Michel Sapin, s’y sont rendus avec une option de dévaluation du franc CFA d’Afrique centrale, a appris Jeune Afrique dans son numéro 2922, en kiosques du 8 au 14 janvier.
La force de l’ONU en Centrafrique (Minusca) a annoncé ce vendredi la mort d’un Casque bleu bangladais, tué lors d’une attaque mardi par des hommes armés dans le nord-ouest du pays. Le même jour, deux soldats de la paix marocains avaient perdu la vie dans l’attaque de leur convoi dans le sud-est.
En Centrafrique, une attaque a coûté la vie mardi après-midi à deux Casques bleus marocains, a annoncé la Minusca, la force de maintien de la paix de l’ONU dans le pays. Dans son communiqué, celle-ci précise que « deux autres soldats ont été blessés et reçoivent les soins appropriés ».
L’enquête engagée en France sur les accusations d’agressions sexuelles sur mineurs en Centrafrique mettant en cause des soldats français n’a débouché sur aucune mise en examen, a-t-on appris mardi.
Dans un an, Joseph Kabila sera-t‑il toujours au pouvoir en RD Congo ? La Gambie se sera-t‑elle enfin dotée d’un nouveau président en la personne d’Adama Barrow ? La Libye aura-t‑elle réussi la synthèse entre les partisans de Tripoli et ceux de Tobrouk ? Tour d’horizon des dossiers qui rythmeront 2017.
La mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca) fait état dans un rapport publié mercredi 14 décembre d’une augmentation alarmante du nombre de violations des droits de l’homme commises par les groupes armés et les forces de sécurité gouvernementale sur la période de juin 2015 à mars 2016, et particulièrement depuis le mois d’août.
Le Gabon et le Burundi ont répondu jeudi par la fermeté aux conclusions de l’enquête de l’ONU et promis des sanctions si les accusations d’abus sexuels étaient confirmées.
L’ONU a rendu les conclusions de son enquête sur les accusations d’agressions sexuelles en Centrafrique visant des Casques bleus de la Minusca. 41 soldats – des Gabonais et des Burundais – sont mis en cause, pour des faits qui auraient été commis entre 2014 et 2015 dans la préfecture de Kémo, au centre du pays.
État failli où prospèrent les groupes armés, la Centrafrique est aussi devenue, bien malgré elle, le pays hôte de contingents venus d’horizons les plus divers.