À la suite de l’éditorial de François Soudan, « Le banquier et l’ingénieur », nous avons reçu de la part du directeur de la communication du candidat Faustin Archange Touadéra une longue réaction, dont nous publions ici l’essentiel.
Alors que la Cour constitutionnelle vient de valider les résultats du 1er tour de la présidentielle, il en va tout autrement pour les législatives, dont le 1er tour a été annulé lundi.
Après avoir étudié, puis rejeté, les recours de plusieurs candidats à l’élection présidentielle en Centrafrique, la Cour constitutionnelle a validé lundi les résultats du premier tour du scrutin, organisé le 30 décembre. Le duel entre Anicet-Georges Dologuélé et Faustin-Archange Touadéra est ainsi confirmé.
La Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) apporte plus de 400 milliards de F CFA (610 millions d’euros) à la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC). Ces ressources visent entre autres à renforcer les fonds propres de la banque de développement de l’Afrique centrale et à relever le plafond de refinancement des crédits qu’elle octroie à sa clientèle.
Alors que l’ONU a annoncé le 8 janvier qu’elle ne reconduirait pas le contingent de FARDC présent au sein de la Minusca, en Centrafrique, la question de son remplacement par des soldats d’une autre nationalité se pose avec acuité.
Charles Malinas, l’ambassadeur de France en Centrafrique, devrait anticiper son départ de Bangui (prévu pour la mi-2016) dès après le second tour du scrutin présidentiel, le 31 janvier.
Crédité de 0,51 % des voix au 1er tour de la présidentielle centrafricaine, Constant Gouyomgbia Kongba Zeze (61 ans) avait pourtant reçu le soutien de plusieurs ténors du régime de transition.
Arrivé 4e au premier tour de l’élection présidentielle du 30 décembre, Martin Ziguélé a dénoncé ce lundi, par un communiqué de son parti, le Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC), le manque de transparence dans la publication des résultats. Il va user de son droit de recours devant la Cour constitutionnelle de transition pour exiger le recompte manuel des votes.
Les vainqueurs du premier tour lui doivent leur succès. Si Anicet-Georges Dologuélé a reçu le soutien du parti de l’ex-président, Faustin Archange Touadéra a bénéficié de l’aide de ses anciens cadres.
L’Autorité nationale des élections (ANE) a annoncé jeudi les résultats provisoires du premier tour de l’élection présidentielle centrafricaine du 30 décembre. Respectivement en première et deuxième position, Anicet Georges Dologuélé et Faustin Archange Touadéra devraient s’affronter au second tour prévu le 31 janvier.
Après les nouvelles allégations d’abus sexuels commis par les forces internationales dans le pays, Parfait Onanga-Anyanga, chef de la mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca), a prévenu mercredi que les Casques bleus qui seront reconnus responsables de viol seront sévèrement punis.
L’ONU a annoncé mardi avoir ouvert une enquête contre ses Casques bleus sur de nouvelles accusations d’abus sexuels en République centrafricaine (RCA). Des troupes provenant de trois pays seraient impliquées.
Trois ans après les Accords de Libreville et deux ans après le début de la mission confiée à Mme Catherine Samba-Panza d’organiser des élections crédibles, le peuple centrafricain a enfin été consulté.
Selon les résultats provisoires et partiels du 1er tour de l’élection présidentielle en Centrafrique, correspondant ce mardi à 53 % des procès-verbaux, Anicet Georges Dologuélé devance très légèrement Faustin Archange Touadéra. Les deux candidats bénéficient d’une avance confortable sur leurs poursuivants.
Dénonçant une « mascarade électorale », une quinzaine de candidats à la présidentielle ont demandé dimanche l’arrêt des opérations de dépouillement en Centrafrique. Les résultats complets sont attendus d’ici jeudi ou vendredi.
Les Centrafricains ont voté mercredi avec ferveur et calme pour une présidentielle et des législatives, une étape importante censée les sortir de trois ans de violences intercommunautaires qui ont entraîné ce pays très pauvre dans une crise sans précédent.
Désiré Kolingba, candidat du Rassemblement démocratique centrafricain (RDC) a estimé jeudi que « de graves soupçons de fraude organisée pèsent la fiabilité des résultats » de l’élection présidentielle de mercredi.
Les Centrafricains, qui ont voté en nombre et dans le calme pour se choisir un président, ont commencé jeudi à attendre patiemment les résultats, prévus au mieux dans une semaine.
Les électeurs se sont déplacés en masse et dans le calme mercredi pour élire leur président et leurs députés alors que de nombreuses difficultés logistiques ont retardé les opérations. La grande majorité des bureaux de vote de Bangui ont fermé à la nuit tombée et le dépouillement a immédiatement suivi. Reportage.
Près de trois ans après la chute de François Bozizé, et au terme d’une longue transition dirigée par Catherine Samba-Panza, les Centrafricains se rendent aux urnes aujourd’hui afin d’élire leurs parlementaires et un nouveau président. Déliquescence de l’État, effondrement de la croissance, violences inter-religieuses… Il est temps de tourner la page.
Alors que la campagne électorale prenait officiellement fin lundi soir, Martin Ziguélé, poids lourd du scrutin présidentiel, s’apprêtait à mener une toute dernière caravane dans les rues de Bangui. La voix presque éteinte après deux semaines à sillonner le pays, il a accordé une interview à Jeune Afrique.
La rumeur qui circulait depuis une semaine à Bangui a été confirmée jeudi. En raison de problèmes logistiques, la présidente de la transition, Catherine Samba-Panza, a décidé de reporter le premier tour des élections présidentielle et législatives, prévu le 27 décembre, de trois jours. Le scrutin aura ainsi lieu le 30 décembre.
Noureddine Adam, chef du FPRC (l’une des composantes de l’ex-Séléka) a annoncé dans un communiqué rédigé lundi que son mouvement renonçait à perturber la tenue des prochaines élections et dit regretter avoir prôné la partition de la RCA.
Karim Meckassoua fut ministre de François Bozizé pendant six ans (et à cinq portefeuilles différents) après avoir dirigé le cabinet de Jean-Paul Ngoupandé, éphémère chef du gouvernement d’Ange-Félix Patassé. Candidat à la présidentielle du 27 décembre, il détaille ses ambitions pour la Centrafrique.
Les partis de l’ancien président centrafricain François Bozizé et d’Anicet-Georges Dologuélé ont signé mardi un accord politique en vue de la présidentielle du 27 décembre.
Ancien président de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC), Anicet-Georges Dologuélé est à la tête d’un jeune parti, l’Union pour le renouveau centrafricain (Urca, créée en octobre 2013). Candidat à la présidentielle du 27 décembre, il détaille ses ambitions pour la Centrafrique.