Des combats provoqués par trois attaques de rebelles non identifiés contre l’armée centrafricaine ont fait « plusieurs morts » dans la région de Ndélé, frontalière du Soudan, a annoncé le ministère de la Défense centrafricain dans un communiqué.
Des combats provoqués par trois attaques de rebelles non identifiés contre l’armée centrafricaine ont fait « plusieurs morts » au cours du week-end dans la région de Ndélé, frontalière du Soudan, a annoncé mardi le ministère centrafricain de la Défense dans un communiqué.
APA-Bangui (Centrafrique) Le chef de l’Etat centrafricain, le général François Bozizé, a dissout dimanche le gouvernement du Premier ministre Faustin Archange Touadéra, formé en janvier 2008.
Le président centrafricain François Bozizé a dissous le gouvernement dirigé par le Premier ministre Faustin-Archange Touadéra, formé en janvier 2008, selon des décrets diffusés par la radio nationale.
Les avocats de Jean-Pierre Bemba ont exclu toute responsabilité de cet ancien vice-président congolais dans les crimes commis, selon l’accusation, par sa milice en République centrafricaine, devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye.
Rebelle puis vice-président de la République démocratique du Congo, opulent homme d’affaires très populaire à Kinshasa, Jean-Pierre Bemba, 46 ans, est confronté à la justice internationale après avoir vu son destin tourner en perdant la présidentielle de 2006.
Rebelle puis vice-président de la République démocratique du Congo, opulent homme d’affaires très populaire à Kinshasa, Jean-Pierre Bemba, 46 ans, est confronté à la justice internationale après avoir vu son destin tourner en perdant la présidentielle de 2006.
Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) vont examiner les arguments de l’accusation en faveur de la tenue d’un procès de l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, ainsi que ceux de la défense qui demande un non-lieu.
La Cour pénale internationale (CPI) a commencé lundi à La Haye à examiner les accusations de crimes de guerre et crimes contre l’humanité portées par le procureur contre l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba.
Le procureur a accusé l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba d’avoir utilisé « les viols comme arme de guerre » en République centrafricaine, lors d’une audience de la Cour pénale internationale cruciale pour l’organisation d’un éventuel procès.
Le président du Club Hit Trésor, M. Elvis Bomayako, a été élu à la tête de la Fédération centrafricaine de basket- ball (FCB) par 14 voix contre 6 voix pour le président sortant, Omer Kowakwa, à l’issue de l’assemblée générale élective de l’instance tenue à Bangui, la capitale, a constaté APA.
Le champion de la lutte pour les droits de l’homme, Me Goungaye, est mort dans un accident de voiture. Il se battait pour que, au nom de la paix, la justice ne soit pas oubliée.
Le chef de la délégation de la Commission européenne en Centrafrique, Jean Claude Esmieu, a appelé, vendredi, la classe politique centrafricaine à plus de responsabilité, afin d’encourager les partenaires à intervenir en faveur de leur pays en 2009.
Le président centrafricain, le général François Bozizé, a lancé mercredi, dans son message de nouvel an, un appel aux acteurs politiques centrafricains leur demandant de «poursuivre dans une atmosphère sereine la reconstruction et la survie de la nation centrafricaine ».
L’Union des forces vives de la nation (UFVN) a demandé «la participation consensuelle et significative au gouvernement des six entités ayant participé au dialogue politique inclusif (DPI) et impliquées dans la recherche de la paix» en Centrafrique, dans une déclaration à Bangui.
L’Union des forces vives de la nation (UFVN) a demandé, vendredi à Bangui, la démission de l’actuel gouvernement centrafricain conformément à l’esprit des recommandations du dialogue politique inclusif (DPI) tenu à Bangui, du 8 au 20 décembre 2008.
Des négociations ont démarré mardi à Bangui entre le président centrafricain François Bozizé, la classe politique, la société civile et les mouvements politico-militaires, en vue de la formation d’un gouvernement de consensus conformément aux recommandations du dialogue politique inclusif (DPI).
Le président centrafricain François Bozizé s’est engagé, à Bangui, à former un gouvernement de large ouverture, à l’issue du Dialogue politique inclusif (DPI) en centrafrique.
APA Bangui (Centrafrique) Le dialogue politique inclusif (DPI) centrafricain s’est achevé, samedi à Bangui, sur une note de satisfaction générale et un appel du président gabonais Omar Bongo Ondimba à la communauté internationale pour qu’elle aide la Centrafrique à mettre en œuvre le programme économique et social adopté par ce forum qui avait pour but de réconcilier et d’apporter la paix dans ce pays confronté à des mutineries militaires et à une instabilité chronique dans le nord et le nord-est.
Pouvoir, opposition, société civile et mouvements rebelles de Centrafrique ont appelé samedi à Bangui à appliquer les recommandations issues de leur forum sur la paix – le « Dialogue politique inclusif » – qui préconise notamment la formation d’un gouvernement d’ouverture.
Le Président du présidium du Dialogue Politique Inclusif, (DPI) M. Pierre Boyuya, s’est dit optimiste quant aux conclusions qui seront issues des assises et réaffirmé l’espoir qu’elles suscitent pour l’avenir de la République Centrafricaine.
À son arrivée à Bangui après plus de cinq ans d’exil, Ange-Félix Patassé s’attendait à un accueil triomphal de la part de ses partisans. Mais son successeur l’a très habilement privé de bain de foule.
L’Union des forces républicaines (UFR) de Florian Ndjadder a signé à Bangui l’acte d’adhésion à l’Accord de paix global et de cessez-le-feu conclu à Libreville (Gabon) le 21 juin dernier par le gouvernement centrafricain et les mouvements politico-militaires centrafricains.
APÄ Bangui (Centrafrique) Les députés centrafricains ont adopté, à Bangui, le budget de l’Etat centrafricain pour l’exercice 2009, arrêté à la somme de 167 milliards de FCFA.
Lorsque le 15 mars 2003, le général d’armée François Bozizé, actuel président de la République centrafricaine, renversait le président élu Ange Félix Patassé, à la faveur d’un coup d’Etat militaire qui fut appelé «sursaut patriotique», il était loin de s’imaginer qu’il venait de poser les pieds dans un engrenage et qu’il faudrait plus de cinq ans pour démêler cet écheveau étriqué.