L’ancien président des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, emprisonné depuis plus d’un an, « est assez malade » et « devrait être évacué dans un pays tiers » pour y suivre des soins, a déclaré jeudi 8 août son avocat, Ahamada Mahamoudou.
Lors de la visite du président comorien, Azali Assoumani, à l’Élysée, Emmanuel Macron a accepté de parrainer la réunion des bailleurs de fonds que Moroni souhaite organiser dans la capitale française avant la fin 2019.
Le président des Comores, Azali Assoumani, a été officiellement investi dimanche, deux mois après sa réélection. Il a promis des « mesures d’apaisement », alors que l’opposition a refusé de reconnaître sa victoire, dénonçant des « fraudes massives » lors du scrutin.
À la recherche d’une manne touristique pour renflouer ses réserves de change, l’Union des Comores redécouvre ses richesses naturelles et patrimoniales.
La justice comorienne a remis en liberté lundi une des principales voix de l’opposition, le colonel Soilihi Mohamed, arrêté pour avoir refusé de reconnaître la réélection contestée du président Azali Assoumani, a-t-on appris auprès de son entourage.
Le président comorien Azali Assoumani n’a patienté que quelques heures après la confirmation officielle de sa réélection, mardi, pour reprendre possession de son bureau. Un empressement parfaitement « légal », selon le ministre de l’Intérieur.
Sans surprise, le président sortant a été réélu à la tête de l’Union des Comores dès le premier tour, une victoire validée par la Cour suprême. Fort de la réforme de la Constitution, il a désormais les coudées franches.
Le responsable de l’opposition comorienne arrêté jeudi pour avoir contesté la réélection à ses yeux frauduleuse du président Azali Assoumani était toujours entendu vendredi par les gendarmes, a-t-on appris auprès de son entourage.
La capitale du petit archipel des Comores a été secouée jeudi par une fusillade entre les forces de l’ordre et un groupe d’hommes armés qui a fait 3 morts, en pleine crise politique née de la réélection contestée du président Azali Assoumani.
Le chef de l’État comorien sortant, Azali Assoumani, a été réélu dès le premier tour de l’élection présidentielle avec 60,77 % des suffrages, selon des résultats annoncés mardi soir par la Commission électorale (Ceni) mais rejetés par l’opposition.
Des manifestants de l’opposition ont violemment été dispersés par les forces de l’ordre lundi à Moroni, alors que le petit archipel des Comores attend les résultats du premier tour de l’élection présidentielle. Les adversaires d’Azali Assoumani et la société civile l’accusent d’avoir orchestré une fraude généralisée.
Plus de 300 000 électeurs de l’archipel des Comores ont commencé à voter dimanche pour une élection présidentielle que l’autoritaire sortant Azali Assoumani n’envisage pas de perdre, nourrissant de forts soupçons de fraude chez ses adversaires.
Candidat à sa succession, le président sortant Azali Assoumani est donné grand favori de la présidentielle dont le premier tour se tient dimanche 24 mars. Décryptage des enjeux d’une élection qui semble jouée d’avance.
Les Comores ne pourront pas compter sur l’appui direct de la FIFA dans le litige qui les oppose à la Confédération africaine de football (CAF) concernant les qualifications pour la CAN 2019. Pour financer une partie des frais de la procédure judiciaire, les insulaires ont ouvert une cagnotte participative auprès de leurs supporters.
Avocat de l’ex-président Ahmed Abdallah Sambi, Mahamoud Ahamada a été désigné comme le candidat officiel du parti Juwa, qui fera face aux douze autres personnalités en lice à la présidentielle du 24 mars, dont le président Azali Assoumani.
Surnommé affectueusement « Campagnard », le colonel Mohamed Soilihi mise sur une stratégie de proximité avec les Comoriens pour tenter de battre le président Azali Assoumani à la présidentielle du 24 mars.
Les Comores, qui ont saisi le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour demander l’exclusion du Cameroun des qualifications pour la CAN 2019, devront patienter avant d’avoir une réponse. Les Comoriens devront donc se déplacer au Cameroun le 22 mars pour un match décisif.
Ancien fidèle du président Azali Assoumani, Hamidou Karihila est l’un des douze opposants à la présidentielle du 24 mars prochain. Le candidat indépendant souhaite « barrer la route à une dictature ».
Mouigni Baraka Saïd Soilihi, candidat indépendant à la présidentielle du 24 mars prochain face au président Azali Assoumani, plaide pour un retour à une réforme constitutionnelle, dont il juge la dernière comme étant « dangereuse pour l’unité des Comores ».
Ancien ministre des Affaires étrangères et actuel bâtonnier de l’Ordre des avocats, Ibrahim Ali Mzimba est l’un des douze candidats d’opposition qui affronteront le président comorien, Azali Assoumani, lors du scrutin du 24 mars prochain. Interview.
Réforme constitutionnelle controversée, crise sur l’île d’Anjouan, poids des douze candidats de l’opposition… Le président comorien Azali Assoumani, qui concourt à la présidentielle du 24 mars prochain, revient sur les enjeux du prochain scrutin organisé suite à la nouvelle Constitution.
Le président Azali Assoumani a pris congé de ses fonctions le 14 février, conformément à la nouvelle Constitution, afin d’être candidat à la prochaine présidentielle du 24 mars.
La justice comorienne a condamné samedi soir aux travaux forcés à perpétuité quatre proches de l’opposition au président comorien Azali Assoumani reconnus coupables de « complot » et « d’atteinte à la sûreté de l’Etat ».
En visite à Paris, le chef de l’État comorien affirme que seul le régime fort instauré à l’issue du référendum de juillet permettra de sortir l’archipel des crises à répétition.
Les forces comoriennes ont pris le contrôle samedi de la médina de Mutsamudu, capitale de l’île d’Anjouan, dans laquelle des rebelles opposés au président Azali Assoumani étaient retranchés depuis six jours.
Le gouvernement des Comores exige un retour à la normale d’ici lundi à Mutsamudu, capitale de l’île d’Anjouan, où des rebelles sont retranchés dans le centre ville. L’armée a pris position dans la ville.
Depuis le 15 octobre, l’île comorienne d’Anjouan est le théâtre d’affrontements armés qui auraient déjà causés la mort de quatre personnes, dont un policier. Un protocole d’accord rédigé par les autorités a été présenté aux contestataires le 19 octobre.
Un mois après la victoire du « oui » à un référendum constitutionnel très contesté qui doit lui permettre de rester à la tête de l’archipel, le président comorien Azali Assoumani a nommé un nouveau gouvernement.
Jean-Louis Billon, le secrétaire exécutif du PDCI en Côte d’Ivoire, a peu apprécié des propos que lui a tenus l’épouse d’Henri Konan Bédié ; Dominique Voynet, inspectrice générale des Affaires sociales, devrait se rendre bientôt aux Comores… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.