Son patronyme est intimement lié au PDCI. Mais Georges Armand Ouégnin a choisi les rangs de l’opposition et prend la tête de sa nouvelle coalition, Ensemble pour la démocratie et la souveraineté.
Plus de 4 000 cas de grossesses précoces en milieu scolaire ont été enregistrés en 2017 en Côte d’Ivoire, a annoncé mardi le ministère de l’Éducation nationale, qui déplore un « fléau préoccupant et persistant ».
Quatre ex-rebelles démobilisés ont été tués et au moins une quinzaine blessés mardi lors de la dispersion de leur attroupement par les forces de sécurité à Bouaké, deuxième ville de Côte d’Ivoire et épicentre des mutineries de soldats en janvier et mai. Le ministère de l’Intérieur a rejeté la responsabilité sur les démobilisés, affirmant que ces décès étaient dus à l’explosion d’une grenade dégoupillée par des manifestants.
Le projet de loi portant sur le régime juridique de la presse suscite un vif débat en Côte d’Ivoire. Critiqué par les professionnels des médias et par plusieurs organisations de la société civile qui ont saisi le Conseil constitutionnel, le texte devrait être discuté lors d’une plénière de l’Assemblée nationale ivoirienne d’ici la fin du mois.
Après les mutineries de 8 400 soldats pour réclamer le paiement de primes, d’anciens rebelles démobilisés ont lancé une journée d’action lundi 22 mai dans plusieurs villes de Côte d’Ivoire. Objectif : faire valoir des revendications financières similaires à celles des mutins.
En fin de contrat à Al-Nassr (Arabie Saoudite), l’entraîneur français Patrice Carteron va rejoindre Didier Drogba dans le club américain de Phoenix Rising FC.
Dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 décembre 1999, un petit groupe de soldats, dont certains ont le visage grimé ou dissimulé par une cagoule, s’empare sans coup férir de la poudrière du camp d’Akouédo, sur la route de Bingerville, à l’est d’Abidjan.
Après une longue période de brouille, l’ex-Premier ministre ivoirien, Charles Konan Banny, est rentré dans le rang de l’ancien parti unique. Et a désormais un seul objectif : lui permettre de reconquérir le pouvoir.
Un navire roulier a percuté un portique du port autonome d’Abidjan à cause d’une erreur de manœuvre. Aucune victime n’est à déplorer mais les dégâts matériels sont importants.
La Tunisie et le Sénégal se sont récemment dotés d’équipes ministérielles dédiées au développement de la e-santé, et des assises de télédermatologie africaines sont attendues à Bamako le 1er juin, témoignant d’un effort de coordination de plusieurs États africains sur le sujet. Mais les modèles privés durables peinent à émerger.
Sekou Touré s’est rendu le jeudi 18 mai à Bouaké, épicentre de la mutinerie qui a secoué le pays. Le chef d’état-major des armées ivoiriennes y a demandé pardon pour la mort d’un ex-rebelle démobilisé tué par les mutins.
Le plus important barrage hydroélectrique de Côte d’Ivoire, avec une capacité totale de 275 MW, va être officiellement inauguré ce jeudi 2 novembre. Il y a six mois, Jeune Afrique vous plongeait au cœur de ce chantier monumental.
Le bilan des victimes de la crise des soldats mutinés qui a secoué la Côte d’Ivoire du 12 au 15 mai est passé à 4 morts et 9 blessés, a annoncé le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement Bruno Koné, qui s’est exprimé à l’issue du conseil des ministres mercredi 17 mai. Il s’est en revanche refusé à communiquer tout chiffre sur le règlement financier de la crise.
C’est un (petit) point d’histoire qui méritait d’être éclairci, et que le président burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré, tient à voir figurer dans JA.
Les autorités ivoiriennes, qui ont toujours refusé d’exécuter le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) en février 2012 à l’encontre de Simone Gbagbo, comptent bien convaincre la CPI d’abandonner totalement sa procédure contre l’ancienne première dame.
Au lendemain d’une journée de mutinerie plus violente que les précédentes dans plusieurs villes du pays, la situation semblait peu à peu revenir à la normale à Abidjan mardi 16 mai après la signature d’un accord « définitif », selon le ministère de la Défense. En attendant un retour au calme durable, bon nombre d’Abidjanais avaient toutefois préféré rester chez eux, sur consigne de leurs employeurs.
Le gouvernement s’est félicité, mardi à Abidjan, d’une normalisation de la situation en Côte d’Ivoire avec le retour dans leurs casernes des soldats mutinés pendant quatre jours dans plusieurs villes pour toucher un reliquat de primes promises en janvier. Deux morts sont toutefois à déplorer, a indiqué le ministre de la Défense Alain-Richard Donwahi en fin de journée.
En fin de contrat à Manchester City, Yaya Touré dispose de plusieurs offres. L’Ivoirien, à 34 ans, veut continuer de privilégier le haut niveau, malgré des sollicitations très lucratives venues de Chine.
Alors que le chef d’état-major Sékou Touré avait mis en garde les mutins ce week-end, et annoncé qu’une « opération militaire était en cours pour rétablir l’ordre », des tirs ont été entendus à Bouaké et Adidjan dans la nuit et ce lundi matin. En fin de journée, le gouvernement a annoncé qu’un accord avait été conclu avec les mutins.
Des tirs nourris résonnaient ce lundi matin à Bouaké, épicentre des mutineries frappant la Côte d’Ivoire depuis vendredi. D’autres tirs ont été entendus en provenance des camps militaires d’Akouédo, à Abidjan malgré une nouvelle mise en garde de l’état-major des armées dimanche. Dans le week-end, au moins six personnes ont été blessées par balles et un soldat démobilisé est mort de ses blessures à Bouaké.
Six personnes ont été blessées par balles dimanche à Bouaké, deuxième ville du pays toujours contrôlée par des soldats mutins qui ont lancé vendredi un nouveau mouvement de grogne en Côte d’Ivoire.
Une personne a été gravement blessée par balle à Bouaké dans le cadre de la mutinerie des soldats, a constaté un journaliste de l’AFP au Centre hospitalier universitaire de la deuxième ville du pays.
Au lendemain d’un nouveau mouvement de contestation dans les casernes ivoiriennes, la situation était revenue à la normale depuis vendredi soir à Abidjan. Des tirs étaient en revanche toujours entendus samedi à Bouaké, où une personne a été gravement blessée.
Les soldats mutins de Bouaké (centre), épicentre des mutineries de janvier et de vendredi, ont tiré en l’air toute la nuit et bloqué l’accès des quatre entrées de la deuxième ville du pays samedi matin, a constaté un journaliste de l’AFP.
La journée de vendredi a été marquée par plusieurs mouvements d’humeur de militaires mécontents de l’annonce faite la veille de l’abandon de leurs revendications. Le point sur la situation.
Au lendemain d’une cérémonie annonçant la fin des mutineries, des militaires mécontents ont tiré en l’air à Bouaké mais aussi à Abidjan, la capitale économique, et plusieurs autres villes du pays ce vendredi 12 mai. Une réunion du Conseil national de sécurité avait lieu ce midi.