Le gouvernement ivoirien a nié mercredi violer la liberté d’expression, comme l’en accuse Amnesty International. L’organisation cite notamment le cas du député Alain Lobognon, condamné mardi à un an de prison pour un tweet.
À la veille de l’audience qui s’ouvre vendredi à La Haye sur l’appel du Procureur contre la décision de la Cour pénale internationale de remettre en liberté Laurent Gabgbo et Charles Blé Goudé, Mausi Segun (HRW) et Drissa Traoré (FIDH) estiment que l’État ivoirien et la CPI ont failli à leurs obligations vis-à-vis des victimes.
Le groupe ivoirien Société Amer et Frères (Saf cacao) a enfin un repreneur. Le 28 janvier, le Conseil café cacao (CCC) a attribué une licence d’exportation à la Société agricole de café cacao (SACC) qui a racheté les actifs de Saf Cacao.
L’examen sur le fond de l’appel du Procureur contre la décision de la Cour pénale internationale de remettre en liberté Laurent Gabgbo et Charles Blé Goudé s’ouvre vendredi à La Haye. Proche de l’ancien président ivoirien, l’ex-ministre et ambassadeur Pierre Kipré plaide pour la libération immédiate des deux hommes.
La visite d’Ahmad Ahmad à Abidjan a porté ses fruits, et sa rencontre avec Alassane Ouattara a été décisive. Le président de la Confédération africaine de football (CAF) a quitté la Côte d’Ivoire avec l’assurance que le pays acceptait le glissement de calendrier proposé par le Malgache.
L’ex-ministre des Sports et député Alain Lobognon, proche de Guillaume Soro, a été condamné à un an de prison ferme et à 300 000 F CFA d’amende, mardi, au terme d’un procès lors duquel toutes les exceptions de la défense ont été rejetées.
La Côte d’Ivoire a accepté d’organiser la Coupe d’Afrique des nations en 2023 (CAN) plutôt qu’en 2021, entérinant ainsi un glissement du calendrier après le retrait de l’édition 2019 au Cameroun.
Le chef de l’État Alassane Ouattara a annoncé le 28 janvier que Guillaume Soro démissionnerait en février de la présidence de l’Assemblée nationale. Lors d’un ultime tête-à-tête, quelques jours plus tôt, le président ivoirien avait tenté de l’en dissuader.
Après son acquittement, Laurent Gbagbo espère être libéré par la Cour pénale internationale dans les prochains jours. Mais il n’en aura toujours pas fini avec la justice. En Côte d’Ivoire, il reste menacé par plusieurs procédures judiciaires.
Le RHDP organisait samedi son premier congrès ordinaire. Lors de cet événement consacrant la naissance du parti unifié, Alassane Ouattara a évoqué la possibilité de briguer un 3e mandat en 2020 et annoncé qu’il « donnerait sa décision l’année prochaine ».
La Fédération ivoirienne de football (FIF) a bel et bien déposé un recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) pour contester le glissement de calendrier de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) voulu par la CAF, dont le président, le Malgache Ahmad Ahmad, est attendu prochainement à Abidjan.
Après des semaines de mobilisation auprès de leurs militants, les responsables du RHDP s’apprêtent à tenir leur congrès constitutif du parti unifié, le samedi 26 janvier à Abidjan. Des mobilisations tous azimuts, sur fond de précampagne électorale.
La chambre administrative de la Cour suprême a rejeté le 23 janvier les recours déposés par certains candidats à l’issue des élections partielles du 16 décembre 2018, confirmant ainsi les résultats de la Commission électorale indépendante (CEI).
Alors que le groupe ivoirien de bancassurance connaît une sévère baisse de régime, son fondateur, Jean Kacou Diagou, revient sur le devant de la scène. Il assure que la gouvernance a été renforcée et défend sa stratégie.
À peine ouvertes, les premières discussions autour de la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) font l’objet de contestations de la part d’une partie de l’opposition. Celle-ci dénonce une exclusion et évoque une « mascarade ».
La réforme de la Commission électorale indépendante ivoirienne (CEI) est sur les rails, avec le début des premières discussions à Abidjan. Ce dossier cristallise une partie des tensions entre le pouvoir et l’opposition, avec en ligne de mire la présidentielle de 2020.
Le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro a prévu de convoquer une session parlementaire pour remettre solennellement sa démission aux députés. Selon nos sources, Alassane Ouattara a mandaté plusieurs émissaires auprès de Soro pour le raisonner.
Tout au long de sa détention, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo est resté confiant quant à l’issue de son incarcération, selon ses proches, préparant même son procès en prison.
L’ancien président ivoirien a été acquitté par la Cour pénale internationale. Une décision qui bouleverse son destin et rebat les cartes du jeu politique à Abidjan.
Trois ans après le début de leur procès, la Cour pénale internationale acquittait l’ancien président ivoirien et son ministre mardi 15 janvier, dans un retournement historique. Mais les deux hommes n’en ont pas fini avec la justice internationale.
Dans une déclaration commune, deux syndicats de magistrats ivoiriens dénoncent, entre autres, des « immixtions » du pouvoir exécutif dans l’exercice de leurs fonctions. Le point sur ce qu’ils reprochent au gouvernement du président Alassane Ouattara.
Le refus du bureau de l’Assemblée nationale de lever l’immunité parlementaire des députés Jacques Ehouo et Alain Lobognon provoque des remous au sein du Parlement ivoirien.
Acquittés mardi 15 janvier de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale, l’ancien président ivoirien et son ancien ministre de la Jeunesse ne seront pas libérés immédiatement, vient de décider la chambre d’appel de la Cour.
Des manifestations contre la libération de l’ex-président Laurent Gbagbo, acquitté par la Cour pénale internationale, se sont déroulées le jeudi 17 janvier dans deux grandes villes du Nord de la Côte d’Ivoire. Cette région est traditionnellement favorable à son rival Alassane Ouattara.
La Cour pénale internationale (CPI) a suspendu mercredi soir la remise en liberté de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, après un nouvel appel déposé par le procureur au lendemain de son acquittement retentissant.
Le bureau du parlement ivoirien s’est refusé à lever l’immunité parlementaire des députés Jacques Ehouo et Alain Lobognon, comme le souhaitait le procureur.
Le gouvernement ivoirien a estimé le 16 janvier que la décision de revenir en Côte d’Ivoire appartenait à Laurent Gbagbo, après l’acquittement de l’ancien président par la Cour pénale internationale.