Plus de quatre ans après les débuts du Printemps arabe, qui a largement contribué à asseoir Facebook au Maghreb, le réseau social y est plus que jamais incontournable.
Hosni Moubarak sera finalement jugé pour les meurtres des manifestants lors de la révolte populaire de 2011 qui l’avait chassé du pouvoir. La Cour de cassation du Caire vient d’annuler l’abandon des accusations de complicité contre lui.
La confirmation de la peine de mort infligée il y a deux semaines à l’ex-président égyptien Mohamed Morsi a été reportée au 16 juin par le tribunal qui l’a condamné.
Ancien patron du géant du BTP Arab contractors et habile administrateur, le Premier ministre n’a pas le profil d’un simple politicien. Sa mission : mettre en oeuvre la politique du président Sissi et superviser le redémarrage du pays après la révolution.
Un policier égyptien a été tué mercredi lors d’une attaque à la bombe dans le nord du Sinaï. Huit autres ont été blessés dans des attentats, selon les autorités sécuritaires du pays.
Condamné à mort avec 106 coaccusés, l’ex-président Morsi verra-t-il sa peine commuée ? En attendant, dans le monde arabe, les partis islamistes proches des Frères musulmans sont plutôt fébriles.
Une centaine de chefs de tribus libyennes est réunie au Caire depuis lundi afin de trouver des solutions pour mettre un terme à la guerre en Libye. Cette réunion de quatre jours est organisée par l’Égypte qui craint que le conflit déborde sur sa frontière occidentale.
Bien moins connu que son frère Naguib, le dernier des héritiers de l’Égyptien Onsi Sawiris, fondateur du groupe Orascom, est le plus riche et le plus fin stratège de la fratrie. En vingt ans, il a fait évoluer son groupe de la construction au ciment avec succès. Et bâtit aujourd’hui un leader mondial de la production d’engrais.
Le prochain Disney, encore dans les cartons, s’appuie sur l’histoire vraie d’un Américain venu planter l’étendard familial dans le nord du Soudan pour faire de sa fille une « princesse »… Au mépris du respect des droits des Africains.
La condamnation à mort samedi de l’ancien président Mohamed Morsi, du prédicateur Youssef Al-Qaradawi et la pendaison de six détenus islamistes montrent la détermination du régime égyptien à éliminer la confrérie des Frères musulmans, qui avait remporté toutes les élections démocratiques organisées entre 2011 et 2013.
Deux juges et un procureur égyptiens ont été tués par balle samedi dans le nord du Sinaï, théâtre d’attentats jihadistes visant habituellement les forces de sécurité, a indiqué Le porte-parole du ministère de la Santé.
Six militants islamistes reconnus coupables d’avoir mené des attaques pour le compte du groupe armé Ansar Beit al-Maqdess ont été pendus, ont annoncé dimanche des responsables de la police égyptienne.
Les États-Unis ont exprimé dimanche leur profonde préoccupation après la condamnation à mort de l’ex-président égyptien Mohamed Morsi et de plus de 100 autres Égyptiens, a déclaré un diplomate américain.
Poursuivi pour espionnage et des violences durant la révolte de 2011, Mohamed Morsi, premier président élu démocratiquement en Égypte, a été condamné samedi à mort. Un verdict qui intervient près de deux après sa destitution par l’armée.
Le ministre égyptien de la Justice, Mahfouz Saber, a démissionné lundi suite au tollé provoqué par ses déclarations lors d’une interview télévisée dimanche soir.
L’attentat contre leurs confrères de « Charlie Hebdo » en janvier a fortement ému les dessinateurs africains et rappelé à quel point la liberté d’expression pouvait être fragile, bien souvent encore coincée entre tabous, censure et autocensure.
En Égypte, trente tribus bédouines de la péninsule du Sinaï ont annoncé dimanche qu’elles prenaient les armes contre les groupes jihadistes, notamment l’État islamique.
L’ex-président égyptien Hosni Moubarak, chassé du pouvoir par une révolte populaire en 2011, a été condamné samedi à trois années de prison, tout comme ses deux fils, pour avoir détourné plus de 10 millions d’euros de fonds publics.
Dans la dernière édition de son rapport sur les perspectives économiques de la région, le FMI note que si certains pays nord-africains bénéficient de la baisse des cours du pétrole, tous pâtissent de la dégradation sécuritaire dans la zone et de l’incertitude des transitions politiques.
Le groupe britannique Eaton Tower a annoncé avoir mobilisé 350 millions de dollars et avoir signé un accord avec l’opérateur de téléphonie mobile égyptien Mobinil, portant sur l’achat de tours dans le pays.
Un consortium composé de Bombardier et de deux entreprises égyptiennes va construire d’ici à 2018 un train urbain au Caire. Un investissement de 1,5 milliard de dollars qui vise à désengorger la capitale égyptienne.
Le chef de l’État égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, a effectué samedi une brève visite à Ryad pendant laquelle il s’est entretenu avec le roi Salmane d’Arabie saoudite alors que les deux pays sont membres d’une coalition combattant des rebelles au Yémen.
Le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy a reçu jeudi le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi. Une visite d’un jour mal accueillie par les défenseurs des droits de l’homme qui dénoncent la répression en Égypte
Peu d’entre vous le savent : les États-Unis ont tranquillement repris, il y a un mois, leur aide militaire de 1,3 milliard de dollars par an à l’Égypte.
L’écrivain et journaliste égyptien Cherif Choubachy a appelé, le 6 avril, sur sa page Facebook, les femmes égyptiennes à retirer leur voile sur la place Tahrir le 1er mai. Un appel qui fait polémique.
Snobée par certains poids lourds du continent, tels que l’Afrique du Sud et l’Angola, la Côte d’Ivoire a désormais les yeux tournés vers la République arabe d’Égypte, dont elle espère se faire un allié en Afrique et sur les grandes questions continentales.