Lors de sa visite surprise dimanche au Caire, le secrétaire d’État américain John Kerry a demandé au président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, de garantir les libertés publiques dans son pays, assurant toutefois que 10 hélicoptères Apache promis par les États-Unis seraient « bientôt » livrés à l’Égypte.
Le secrétaire d’État américain, John Kerry, qui effectuait une visite surprise au Caire, a estimé que la transition en Égypte connaissait un « moment critique ». Il a indiqué que les États-Unis étaient prêts à « une collaboration étroite » avec les nouvelles autorités égyptiennes.
Le secrétaire d’État américain, John Kerry, est arrivé dimanche en Égypte pour une visite surprise, celle du plus haut responsable américain depuis l’investiture à la présidence d’Abdel Fattah al-Sissi, l’ex-chef de l’armée qui a destitué l’islamiste Mohamed Morsi.
Le tribunal de Minya dans le centre de l’Égypte a confirmé samedi les condamnations à mort de 183 partisans présumés du président islamiste Mohamed Morsi destitué par l’armée, dont le chef des Frères musulmans, Mohamed Badie.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a brièvement rencontré vendredi soir à l’aéroport du Caire le roi Abdallah d’Arabie saoudite lors de sa première visite en Égypte depuis la chute en 2011 d’Hosni Moubarak renversé par une révolte populaire.
Le 24 juin 2012, les Égyptiens auraient sans doute eu du mal à croire à ce qui leur arriverait deux années plus tard. Alors qu’ils venaient d’élire le premier civil président de la République, l’islamiste Mohamed Morsi, peu auraient parié sur le retour au pouvoir d’un militaire, deux ans plus tard. Pourtant, en ce mois de juin 2014, c’est bien Abdel Fattah al-Sissi qui vient d’accéder à la magistrature suprême. Retour sur deux années de révolte.
Mohamed Badie, le guide suprême de la confrérie interdite des Frères musulmans, a été condamné à mort jeudi dans une nouvelle affaire liée à des violences ayant fait 10 morts en juillet 2013 au Caire.
Malgré sa victoire écrasante à la présidentielle, Sissi n’aura rassemblé sur son nom qu’une moitié du corps électoral. Lequel, bien qu’hétérogène, continue de voir en lui son « sauveur ».
Un tribunal du Caire a condamné à mort mercredi douze partisans de l’ancien président Mohamed Morsi. Ils étaient accusés du meurtre d’un général de police ou de violences lors d’un raid des forces de sécurité dans un fief islamiste de la capitale en 2013.
L’Égypte et la Guinée-Bissau sont à nouveau admises dans l’Union africaine. Mercredi, l’UA a annoncé mettre fin à la suspension touchant les deux pays.
Destinée à neutraliser les islamistes, l’opération Dignité du général Khalifa Haftar bénéficie de solides soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, devenu un terrain d’affrontement entre puissances régionales rivales.
L’Union africaine (UA) a annoncé mercredi qu’elle était sur le point de lever la suspension de l’Égypte de l’organisation. Celle-ci avait été décidée il y a près d’un an après le renversement par l’armée du président Mohamed Morsi.
Abdallah Elshamy, journaliste de chaîne la Al-Jazira, a été libéré lundi par le procureur général égyptien pour raisons de santé. Le verdict concernant trois de ses collègues toujours emprisonnés sera, lui, annoncé le 23 juin.
Les autorités égyptiennes ont ordonné dimanche la saisie de deux chaînes de supermarchés appartenant à des responsables des Frères musulmans, confrérie ciblée par une féroce campagne de répression depuis la destitution il y a près d’un an du président Mohamed Morsi, issu de ses rangs.
Treize hommes accusés d’avoir violé ou agressé sexuellement en réunion plusieurs femmes lors de manifestations au Caire vont être traduits en justice, une première en Égypte où la quasi-totalité des femmes disent avoir été un jour victime d’agression ou de harcèlement.
Les Etats-Unis offrent jusqu’à 18 millions de dollars de récompense pour toute information conduisant à l’arrestation de quatre « terroristes » opérant en Afrique de l’Ouest et du Nord, a indiqué vendredi la diplomatie américaine.
L’ex-ministre de l’Intérieur sous le président Hosni Moubarak, Habib el-Adly, a été acquitté le 12 juin dans une affaire de corruption. Il avait écopé de douze ans de prison en première instance en 2011. Il reste cependant détenu pour d’autres accusations.
La déroute du Zaïre en 1974, la victoire de la Tunisie quatre ans plus tard, les performances de l’Algérie, du Cameroun, du Nigeria ou du Sénégal… Revivez quelques grands moments du football africain en phase finale de la Coupe du monde depuis 1970, l’année où tout a vraiment commencé pour le continent.
Une jeune étudiante a été agressée sexuellement par un groupe d’hommes lors des célébrations pour l’investiture du président Abdel Fattah al-Sissi, place Al-Tahrir au Caire. Pour la seule journée de dimanche, on dénombre cinq agressions sexuelles en marge des manifestations.
Reconduit lundi dans ses fonctions, le Premier ministre égyptien, Ibrahim Mahlab, a été chargé par le président Abdel Fattah al-Sissi de former un nouveau gouvernement.
L’ex-chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi, élu président de l’Égypte avec 96,9% des voix après avoir éliminé toute opposition de la scène politique, a prêté serment dimanche, près d’un an après avoir destitué son prédécesseur, l’islamiste Mohamed Morsi.
Une Cour d’appel égyptienne a annulé samedi la condamnation d’un policier qui avait écopé de 10 ans de prison pour la mort de 37 prisonniers islamistes asphyxiés par du gaz lacrymogène dans un fourgon pénitentiaire, selon une source judiciaire.
Une cour égyptienne a ajourné samedi son verdict dans le procès du guide spirituel des Frères musulmans, Mohamed Badie, et de 37 co-accusés, jugés pour des violences ayant fait deux morts en 2013 dans le delta du Nil.
Une cour égyptienne doit rendre samedi son verdict dans le procès du guide spirituel des Frères musulmans, Mohamed Badie, et 47 co-accusés, jugés pour des violences ayant fait deux morts en 2013 dans le delta du Nil.
Un procureur égyptien a requis jeudi la « peine maximale » contre vingt journalistes et employés de la chaîne qatarie Al-Jazira, dont quatre étrangers, accusés de soutenir les Frères musulmans du président destitué Mohamed Morsi.
Accusés de soutenir les Frères musulmans, 20 journalistes et employés d’Al-Jazira, dont quatre étrangers, risquent la « peine maximale » en Égypte. Une peine qui peut aller de 15 à 20 ans de prison, selon le réquisitoire prononcé jeudi à leur encontre.