Une Cour d’appel égyptienne a annulé samedi la condamnation d’un policier qui avait écopé de 10 ans de prison pour la mort de 37 prisonniers islamistes asphyxiés par du gaz lacrymogène dans un fourgon pénitentiaire, selon une source judiciaire.
Une cour égyptienne a ajourné samedi son verdict dans le procès du guide spirituel des Frères musulmans, Mohamed Badie, et de 37 co-accusés, jugés pour des violences ayant fait deux morts en 2013 dans le delta du Nil.
Une cour égyptienne doit rendre samedi son verdict dans le procès du guide spirituel des Frères musulmans, Mohamed Badie, et 47 co-accusés, jugés pour des violences ayant fait deux morts en 2013 dans le delta du Nil.
Un procureur égyptien a requis jeudi la « peine maximale » contre vingt journalistes et employés de la chaîne qatarie Al-Jazira, dont quatre étrangers, accusés de soutenir les Frères musulmans du président destitué Mohamed Morsi.
Accusés de soutenir les Frères musulmans, 20 journalistes et employés d’Al-Jazira, dont quatre étrangers, risquent la « peine maximale » en Égypte. Une peine qui peut aller de 15 à 20 ans de prison, selon le réquisitoire prononcé jeudi à leur encontre.
Alors que la victoire d’Abdel Fattah al-Sissi à la présidentielle égyptienne a été officiellement proclamée mardi, les relations avec la France semblent au beau fixe. Le constructeur naval français DCNS vient de signer pour 1 milliard d’euros de contrat avec la marine égyptienne.
Onze mois après avoir destitué l’islamiste Mohamed Morsi et éliminé toute opposition, l’ex-chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi a remporté, comme prévu, le scrutin présidentiel avec 96 % des voix.
Il n’y avait aucun suspense. Abdel Fattah al-Sissi a très largement remporté l’élection présidentielle égyptienne, avec plus de 90 % des voix, selon des sources judiciaires. La participation au scrutin est néanmoins faible.
En raison d’un taux de participation assez faible, 37% selon des estimations non officielles, le scrutin présidentiel en cours en Égypte depuis lundi, et qui devait se terminer mardi, a été prolongé de 24 heures, a annoncé la télévision officielle.
Khaled Daoud est correspondant à Washington pour l’hebdomadaire Al-Ahram Weekly quand les révolutionnaires prennent Al-Tahrir, en janvier 2011. Rentré à sa rédaction du Caire, il s’engage en politique et devient porte-parole du Doustour, parti fondé par Mohamed el-Baradei. Également porte-parole du Front du salut national, la coalition de l’ancienne opposition aux Frères musulmans, il est poignardé en octobre 2013 par des militants islamistes. Ayant, dès août 2013, émis des critiques contre le régime qui a succédé aux Frères, Daoud, auparavant très consulté par les télévisions, n’est plus sollicité.
Deux candidats et une seule référence : l’élection présidentielle des 26 et 27 mai ne devrait pas réserver de surprise. Le leader de gauche Hamdine Sabahi n’a pratiquement aucune chance de l’emporter face au maréchal Sissi, dont les promesses de sécurité et de stabilité sont devenues prioritaires aux yeux des Égyptiens.
Le chef du principal groupe jihadiste en Égypte a été tué vendredi, à trois jours de la présidentielle pour laquelle est donné largement favori l’ex-chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi qui a fait de la « lutte antiterroriste » sa priorité.
Abdel Fattah al-Sissi est bien l’ultra-favori de la présidentielle égyptienne des 26 et 27 mai. Mercredi, le comité électoral a annoncé qu’il avait remporté 94,5 des voix lors du scrutin anticipé organisé entre le 15 et le 19 mai pour les Égyptiens de l’étranger.
Hosni Moubarak a été condamné mercredi à trois ans de prison pour corruption. En juin 2012, l’ex-président égyptien était déjà condamné à la prison à vie pour avoir ordonné à l’armée de tirer sur les manifestants qui réclamaient son départ. Une affaire qui est de nouveau rejugée.
Au Caire, près de l’université Al-Azhar, des hommes armés circulant à bord d’une voiture ont ouvert le feu, mardi, sur un groupe de policiers égyptiens. Selon le ministère de l’Intérieur, trois d’entre eux ont été tués et neuf autres blessés.
Au Caire, près de l’université Al-Azhar, des hommes armés circulant à bord d’une voiture ont ouvert le feu, mardi, sur un groupe de policiers égyptiens. Selon le ministère de l’Intérieur, trois d’entre eux ont été tués et neuf autres blessés.
Au Caire, près de l’université Al-Azhar, des hommes armés circulant à bord d’une voiture ont ouvert le feu, mardi, sur un groupe de policiers égyptiens. Selon le ministère de l’Intérieur, trois d’entre eux ont été tués et neuf autres blessés.
Un tribunal a condamné 126 partisans du président islamiste Mohamed Morsi destitué par l’armée à dix années de prison pour des violences dans un nouveau procès de masse en Égypte.
Salué comme le sauveur de la nation pour avoir destitué l’islamiste Mohamed Morsi, l’ex-chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi peut compter pour la présidentielle sur les voix des chrétiens d’Égypte, qui voient en lui le rempart contre les extrémistes.
Accusant Al-Jazira d’utiliser leur procès pour nuire à l’Égypte, les principaux défenseurs des deux journalistes du Qatar jugés pour soutien aux Frères musulmans ont décidé jeudi de se retirer.
L’ex-chef des armées, Abdel Fattah al-Sissi, a déclaré dimanche qu’il quitterait le pouvoir si des manifestations de masse réclamaient son départ après la présidentielle des 26 et 27 mai prochains. Il s’est également engagé à résoudre les problèmes des Égyptiens « en deux ans ».
Abdel Fattah al-Sissi, ultra-favori de la présidentielle après avoir destitué l’islamiste Mohamed Morsi, a fait de la stabilité sa priorité, prêt à l’obtenir aux dépends des libertés, insistant sur le fait qu’il faudra des décennies à l’Égypte pour devenir une démocratie.
Deux cents membres du groupe jihadiste le plus actif en Egypte, Ansar Beit al-Maqdess, seront prochainement jugés pour « terrorisme », dont des attentats meurtriers contre les forces de l’ordre, ont indiqué samedi des sources judiciaires.