Deux reporters de la chaîne Al-Jazira ont été arrêtés par les autorités égyptiennes. Ils sont soupçonnés d’avoir diffusé illégalement des informations portant atteinte à la « sécurité nationale », a annoncé, lundi, le ministère de l’Intérieur.
Une explosion a eu lieu dimanche à proximité d’un bâtiment des services de renseignement militaires dans le nord de l’Égypte, a annoncé la télévision officielle.
Un étudiant a été tué samedi matin au Caire et soixante autres arrêtés dans des affrontements entre la police et des partisans des Frères musulmans, a annoncé un responsable hospitalier. Les partisans du président déchu Mohamed Morsi avaient mis le feu à un bâtiment de l’université Al-Azhar.
Des étudiants soutenant les Frères musulmans ont incendié samedi matin un bâtiment de la faculté de Commerce de l’université Al-Azhar au Caire, au lendemain de l’arrestation de plus de 250 de manifestants islamistes, a rapporté une source au sein des services de sécurité.
Quarante-huit heures après la déclaration de leur confrérie comme « organisation terroriste », les Frères musulmans ont organisé vendredi des manifestations dans plusieurs villes du pays. Trois personne ont été tuées et plus de 260 manifestants arrêtés, selon le ministère égyptien de l’Intérieur.
Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, a déploré jeudi la décision du pouvoir égyptien de désigner les Frères musulmans comme une « organisation terroriste ». Les heurts entre partisans et adversaires du président islamiste déchu Mohamed Morsi ont fait un mort au Caire.
Un attentat à la bombe a visé jeudi matin un bus au Caire, faisant cinq blessés légers. Selon les services de sécurité, la police est parvenue à désamorcer un deuxième engin explosif.
Soupçonné d’être responsables de l’attentat meurtrier du 24 décembre contre la police, les Frères musulmans ont été qualifiés d' »organisation terroriste » par les autorités égyptiennes. La confrérie de l’ex-président Mohamed Morsi est désormais placée sous le coup de la loi anti-terroriste.
L’Égypte a officiellement déclaré « organisation terroriste » les Frères musulmans du président destitué Mohamed Morsi, interdisant à leurs membres de manifester comme ils le faisaient jusqu’ici quasi-quotidiennement, ont indiqué mercredi des ministres à l’issue d’une réunion du gouvernement.
Un mouvement jihadiste disant s’inspirer d’Al-Qaïda a revendiqué, mercredi, l’attentat suicide à la voiture piégée qui a visé la veille un bâtiment de la police dans le nord de l’Egypte, tuant 15 personnes.
La police égyptienne a arrêté, mardi, Hicham Qandil, l’ancien Premier ministre du président islamiste destitué Mohamed Morsi. La répression continue contre la confrérie des Frères musulmans qualifiée de « terroriste » par le pouvoir après un attentat sanglant contre la police.
À Mansoura, dans le nord de l’Égypte, au moins 14 personnes ont été tuées et une centaine d’autres blessées, mardi matin, dans un attentat à la voiture piégée contre un bâtiment de la police. Dans la foulée, les autorités, qui accusent les Frères musulmans d’être responsables de l’attaque, ont qualifié la confrérie d' »organisation terroriste ».
Emprisonnés depuis début juillet, plus de 450 Frères musulmans ont entamé, lundi, une grève de la faim pour dénoncer les conditions de leur détention. À croire la confrérie, les détenus seraient privés de visites familiales, d’assistance juridique et de soins médicaux.
Trois militants actifs lors de la révolution qui a chassé Hosni Moubarak du pouvoir en 2011 ont été condamnés dimanche à trois ans de prison pour avoir défilé contre une nouvelle loi controversée limitant le droit de manifester en Égypte.
Le président islamiste égyptien Mohamed Morsi, destitué en juillet par l’armée, sera jugé pour évasion de prison et meurtre d’officiers durant la révolte ayant chassé en 2011 Hosni Moubarak, a-t-on appris samedi auprès du parquet.
Ahmad Chafiq, le dernier Premier ministre égyptien sous Hosni Moubarak a été acquitté jeudi dans une affaire de corruption par un tribunal criminel du Caire. Deux fils du président déchu ont également été blanchis.
Lors de son procès, qui doit reprendre le 8 janvier au Caire, l’ex-président égyptien Mohamed Morsi devra faire face à de nouvelles charges. En plus de complicité de meurtres, il est désormais accusé d' »espionnage au profit d’organisations étrangères ».
Un des porte-paroles de l’Alliance anti-coup d’État a fait part de l’intention qu’avaient les partisans de l’ex-président islamiste Mohamed Morsi de boycotter le référendum sur une nouvelle Constitution. Il a par ailleurs déclaré qu’une campagne contre ce scrutin, prévu en janvier, serait lancée.
Le référendum sur la nouvelle Constitution en Égypte se tiendra les 14 et 15 janvier, a annoncé samedi Adly Mansour, le président égyptien par intérim, dans un discours devant des haut responsables du pays.
Pour son rayonnement culturel, Paris peut compter sur un large réseau d’établissements scolaires à l’étranger. Les lycées français sauront-ils rivaliser avec les cursus anglo-saxons ?
Vingt-et-une jeunes filles, dont sept mineures, condamnées en première instance à de lourdes peines de prison pour avoir participé à une manifestation de soutien au président islamiste Mohamed Morsi destitué par l’armée, ont été remises en liberté en appel samedi.
Alors que la fin de l’année 2013 se profile, l’heure des bilans approche. Entre les bonnes saisons du Gabonais Aubameyang, des Ivoiriens Yaya Touré et Didier Drogba et du Guinée Kévin Constant en Italie, les Africains ont été nombreux à se distinguer sur les terrains de football. Mais qui a été le meilleur joueur africain de l’année 2013 ? « Jeune Afrique » vous propose de choisir entre ses vingt nominés.
Alors qu’on apprend que la chanteuse Beyoncé a été bannie d’une visite des pyramides, en Égypte, pour comportement « impoli », l’occasion est belle de faire le point sur les esclandres des vedettes américaines sur le continent. Florilège et classement…
La commission constituante a approuvé, dimanche soir, le nouveau projet de Constitution égyptienne. Celui-ci devra être soumis à référendum, à la fin de l’année ou en janvier.
Human Rights Watch a accusé dimanche l’armée égyptienne d’être responsable de la « disparition forcée » de cinq membres de la garde rapprochée du président islamiste Mohamed Morsi, détenus au secret depuis sa destitution il y a près de cinq mois.
Un Comité égyptien a adopté samedi plus de la moitié des articles d’une nouvelle Constitution destinée à ouvrir la voie à de nouvelles élections générales, conformément à la feuille de route établie par l’armée après sa destitution du président islamiste Mohamed Morsi.
Le Comité chargé de réviser la Constitution en Egypte entame samedi après-midi son vote final sur le texte qui sera ensuite soumis à un référendum, première étape d’une transition lancée par l’armée lorsqu’elle a destitué le président islamiste Mohamed Morsi.