Au Caire, la police égyptienne a commencé à disperser, mercredi 14 août, les deux rassemblements de partisans du président islamiste déchu Mohamed Morsi. L’opération policière aurait entraîné la mort d’au moins 17 personnes selon les autorités alors que les islamistes parlent d’une centaine de morts.
Les partisans du président déchu, Mohamed Morsi, devront patienter. La justice égyptienne a décidé, lundi 12 août, de prolonger sa détention de 15 jours.
Les Frères musulmans, qui demandent la libération du président déchu Mohamed Morsi, ont appelé à de nouvelles manifestations, lundi 12 août. La police menace toujours de disperser les sit-in organisés par les militants islamistes sur deux places du Caire.
Au moins huit islamistes ont été tués dans des raids aériens sur le Nord-Sinaï, le 10 août au soir, et un dépôt d’armes a été détruit, ont affirmé dimanche l’armée égyptienne et des habitants.
Les partisans du président islamiste destitué Mohamed Morsi ont appelé dimanche à de nouvelles manifestations en Égypte alors qu’expire un ultimatum de fait et que les autorités s’apprêtent à disperser de force leurs sit-in sur deux places du Caire.
Un groupe jihadiste a affirmé samedi que c’est un drone israélien qui a tué quatre de ses combattants s’apprêtant à tirer des roquettes sur Israël vendredi dans le Sinaï égyptien, ce que dément l’armée égyptienne.
Des milliers de partisans du président destitué Mohamed Morsi ont manifesté, le 9 août, en Égypte et des heurts les ont opposés à la police dans plusieurs villes, sur fond de menaces d’une dispersion imminente par la force de leurs sit-in au Caire.
Une frappe aérienne d’origine encore indéterminée a tué, vendredi 9 août en Égypte, plusieurs combattants qui s’apprêtaient à tirer une roquette sur Israël. L’information a été révélée par un responsable égyptien de la sécurité et des témoins sur place.
Le guide suprême iranien l’ayatollah Ali Khamenei a mis en garde contre une guerre civile en Égypte lors de son discours le 09 août diffusé en direct par la télévision d’État. Il s’exprimait en public à l’occasion de la fête de l’Aïd el Fitr qui célèbre la fin du ramadan.
Dans le quartier de Madinet Nasr au Caire, des milliers de manifestants islamistes campent depuis un mois pour réclamer le retour au pouvoir de Mohamed Morsi, le président égyptien déchu. Le 8 août, ils y célébraient l’Aïd el-Fitr, la fête de la fin du ramadan, défiant une nouvelle fois, peut-être au péril de leur vie, l’appel du gouvernement intérimaire à se disperser au plus vite. Reportage dans le camp des adversaires du « coup d’État ».
Lieu de rendez-vous de l´élite cosmopolite du Caire, le Café Riche a toujours été au coeur des vicissitudes qui ont ponctué le destin de l´Égypte contemporaine.
Depuis une semaine, des émissaires internationaux tentaient une médiation pour éviter un affrontement entre les forces de l’ordre et les manifestants islamistes partisans du président déchu Mohamed Morsi. Mercredi 7 août, la présidence égyptienne a annoncé que leurs efforts avaient échoué.
Les États-Unis ont appelé, mardi 6 août, leurs ressortissants à quitter « immédiatement » le Yémen. Un renforcement de l’alerte aux attentats qui avait déjà entraîné la fermeture des missions diplomatiques américaines dans le monde arabe et en Afrique.
La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé que l’Afrique de l’Ouest – avec une croissance comprise entre 6,4 et 7,4 % – sera la région qui connaîtra le développement le plus rapide entre 2013 et 2014. Dans le reste du continent, les performances sont contrastées.
Le nouvel homme fort du Caire, le chef de l’armée égyptienne, Abdel Fattah al-Sissi, a rencontré dimanche des responsables islamistes pour tenter de régler la grave crise politique née de la destitution du président Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans.
Les partisans du président islamiste déchu égyptien Mohamed Morsi ont affirmé dimanche matin qu’ils continueraient à exiger son retour au pouvoir après s’être entretenus la veille avec le secrétaire d’Etat américain adjoint William Burns.
Le gouvernement égyptien a demandé samedi pour la deuxième fois aux partisans du président islamiste Mohamed Morsi destitué par l’armée de se disperser au Caire, en leur promettant une « sortie en toute sécurité » et un accès à la vie politique.
Les partisans de l’ex-président égyptien islamiste Mohamed Morsi continuaient samedi de défier militaires et policiers, après avoir refusé la veille de quitter deux places du Caire occupées depuis un mois et appelé à marcher sur des QG des forces de l’ordre.
Réconcilier les Égyptiens, sortir du marasme économique, amender la Constitution : les défis à relever d´ici à novembre sont énormes… Une mission à haut risque pour les nouvelles autorités.
Selon les dernières statistiques publiées par l’Organisation mondiale du tourisme, l’Égypte arrive toujours en tête des pays les plus visités d’Afrique et rattrape un peu de son retard dû au Printemps arabe. L’ensemble du continent enregistre une progression de 6% de la fréquentation.
Malgré les appels au calme de la communauté internationale, la police égyptienne se préparait, vendredi 2 août, à intervenir pour disperser les manifestants islamistes qui refusent de quitter deux places de la capitale.
Les ventes de téléphones portables de contrefaçon sont en baisse partout dans le monde. Mais les fabricants chinois peuvent encore compter sur l’Afrique où 38,2 millions d’unités devraient être écoulées cette année.
Sommé par le gouvernement intérimaire de mettre fin aux rassemblements au Caire des pro-Morsi, le ministère égyptien de l’Intérieur a appelé, jeudi 1 août, les partisans du président déchu à se disperser.
Le gouvernement intérimaire égyptien a demandé, mercredi 31 juillet, au ministère de l’Intérieur de prendre les « mesures nécessaires » pour mettre fin aux rassemblements, au Caire, des partisans de Mohamed Morsi. Selon les nouvelles autorités, ces rassemblements constituent une menace pour la sécurité nationale.
Catherine Ashton a pu s’entretenir deux heures avec Mohamed Morsi, dans son lieu de détention, pendant la nuit du 29 au 30 juillet. Selon la chef de la diplomatie de l’Union européenne, le président égyptien déchu, gardé au secret par l’armée depuis près d’un mois, « va bien et a accès aux informations ». La France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a fait savoir qu’elle appelait à sa libération.
En un an, les dirigeants des Frères musulmans auront réussi à s’aliéner une grande partie de la population d’Égypte. Des victoires de l’après-révolution aux dernières heures de la présidence Morsi, autopsie d’un échec.
Malgré la sévère mise en garde lancée, dimanche, par l’armée égyptienne, les partisans de Mohamed Morsi ont appelé à une nouvelle mobilisation, le 29 juillet.
Les partisans du président égyptien déchu se sont déclarés, le 27 juillet, déterminés à poursuivre leur mobilisation, malgré les menaces du pouvoir de disperser par la force leurs rassemblements au Caire, au lendemain de la mort de 72 personnes dans des affrontements avec la police.
Au moins 72 Égyptiens ont été tués samedi dans des affrontements au Caire, les plus meurtriers depuis la destitution du président Mohamed Morsi, suscitant une vague d’avertissements au nouveau pouvoir, déterminé à mettre fin à la contestation des islamistes.