Le vice-président égyptien Mahmoud Mekki a annoncé samedi sa démission, alors que les Egyptiens votaient sur un projet de Constitution controversé en pleine crise politique.
Les Egyptiens votent samedi pour la deuxième et dernière phase d’un référendum sur un projet de Constitution défendu par les islamistes, qui semble en passe d’être adopté malgré une campagne acharnée de l’opposition et une profonde crise politique.
Après Société Générale, c’est au tour d’un autre groupe bancaire français, BNP Paribas, de se désengager d’Égypte. Le repreneur vient, cette fois encore, du Golfe.
Une petite majorité d’Égyptiens a approuvé le projet de Constitution controversé défendu par le camp présidentiel lors de la première partie du référendum, ont annoncé dimanche les islamistes et un groupe d’opposition, citant des résultats non officiels.
Les Egyptiens se sont prononcés samedi sur un projet de Constitution défendu par les islamistes au pouvoir et rejeté par l’opposition, lors d’un référendum qui se transformait en test pour le président Mohamed Morsi et les Frères musulmans dont il est issu.
Les Egyptiens s’apprêtent à voter samedi pour la première partie d’un référendum sur un projet de Constitution qui met le pays sous tension et a provoqué vendredi des heurts qui ont fait quinze blessés à Alexandrie (nord).
L’opposition égyptienne a invité, mercredi 12 décembre, la population à voter contre le projet de Constitution très controversé lors du référendum prévu en deux jours, les 15 et 22 décembre.
Le président égyptien, Mohamed Morsi, a fait appel à l’armée lundi 10 décembre en lui demandant d’assurer la sécurité du pays d’ici au dévoilement des résultats du référendum sur le controversé projet de Constitution, prévu pour le 15 décembre.
Le président égyptien Mohamed Morsi a accepté samedi soir d’abandonner ses pouvoirs renforcés pour sortir de la plus grave crise depuis son élection, mais a maintenu au 15 décembre un référendum sur un projet très controversé de Constitution.
Une coalition de treize partis et mouvements islamistes égyptiens, dont celui des Frères musulmans, a rejeté samedi tout report du référendum sur le projet de Constitution qui divise le pays, réclamé par l’opposition au président islamiste Mohamed Morsi.
Le calme régnait samedi matin aux abords du palais présidentiel au Caire, cerné la veille par une foule manifestant contre le chef de l’État Mohamed Morsi. La grave crise politique qui divise le pays persiste malgré le possible report d’un référendum décrié par l’opposition.
Au lendemain du discours prononcé par Mohamed Morsi, l’opposition a refusé de participer au dialogue proposé par le président égyptien, alors de nouvelles manifestations sont prévues, vendredi 7 décembre.
Cinq personnes ont été tuées après des heurts entre partisans et adversaires du président Mohamed Morsi dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 décembre. Jeudi matin, l’armée égyptienne s’était déployée devant le Palais présidentielle au Caire.
Des milliers de partisans du président égyptien Mohamed Morsi ont chassé, mercredi 5 novembre, les centaines d’opposants qui campaient devant le palais présidentiel au Caire. De leur côté, les autorités ont annoncé que le référendum contesté serait maintenu à la date du 15 décembre malgré les protestations.
Afin de mettre en lumière les initiatives susceptibles d’être rapidement mises en oeuvre, la Banque africaine de développement et le Fonds social égyptien pour le développement organisent aujourd’hui au Caire une réunion sur le thème de l’emploi des jeunes.
Mardi 4 décembre, des dizaines de milliers de manifestants ont encerclé le palais présidentiel de Mohamed Morsi, dans la banlieue du Caire. L’Égypte est plus divisée que jamais depuis que le chef de l’État s’est arrogé des pouvoirs extraordinaires afin de faire passer en force un projet de Constitution très contesté.
Le référendum sur la Constitution égyptienne, prévu le 15 décembre, ne devrait pas être supervisé par les juges, qui ont décidé de le boycotter pour protester contre le passage en force du président Mohamed Morsi. L’opposition appelle quant à elle à de nouvelles manifestations, mardi 4 décembre.
La Haute cour constitutionnelle égyptienne a entamé dimanche une grève ouverte pour protester contre les « pressions » des partisans du président Mohamed Morsi, qui ont bloqué ses accès et empêché ses juges d’examiner l’affaire de la commission constituante controversée.
La Haute cour constitutionnelle égyptienne a reporté dimanche une audience qui devait être consacrée à l’examen de la légalité de la commission ayant rédigé un projet de Constitution controversé, tandis que des centaines d’islamistes manifestaient devant ses locaux.
Des milliers d’islamistes manifestaient samedi au Caire et dans d’autres villes d’Égypte en soutien au président Mohamed Morsi, au lendemain d’un immense rassemblement de l’opposition contre le renforcement de ses pouvoirs, l’Égypte semblant désormais profondément divisée.
Les partisans du président islamiste Mohamed Morsi ont appelé à des rassemblements de masse samedi pour soutenir sa décision de s’octroyer des pouvoirs exceptionnels, au lendemain d’un immense rassemblement de l’opposition au Caire.
Les membres de la commission constituante égyptienne ont adopté, vendredi 30 novembre, le projet de la nouvelle Constitution. Mais le texte est déjà très violemment critiqué par l’opposition.
Le Caire a accéléré la rédaction de la Constitution, qui devait être achevée mercredi et votée jeudi 29 novembre. Un moment clé de la vie politique égyptienne qui se déroule pendant que le pays traverse sa pire crise depuis l’élection du président islamiste Mohamed Morsi. Les manifestants, qui s’affrontent à nouveau avec les forces de l’ordre jeudi 29 novembre, lui reprochent de s’être octroyé, dans la Constitution, des pouvoirs exceptionnels.
Doha espère profiter du potentiel de croissance du pays. Après le secteur bancaire, c’est dans le secteur énergétique qu’il s’active, avec deux deals en 6 mois, dans le pétrole et dans le gaz naturel.
La décision du président Mohamed Morsi de s’octroyer des pouvoirs exceptionnels a provoqué la colère des Égyptiens. Au Caire, plusieurs cortèges rassemblant des dizaines de milliers de personnes ont convergé vers la place Tahrir, mardi 27 novembre. Des manifestations hostiles au président ont également touché les principales villes du pays.
Il s’agit de la plus grave crise politique que l’Égypte a connue depuis l’élection en juin de Mohamed Morsi à la tête de l’État. En s’arrogeant le pouvoir judiciaire, en plus de l’exécutif et du législatif, le président islamiste s’est engagé dans une épreuve de force avec les laïcs et les libéraux. Frères musulmans et opposants prévoient de jauger leurs forces lors de grandes manifestations, mardi.
Les tribunaux d’Alexandrie étaient en grève dimanche et ceux des autres provinces d’Egypte attendaient une décision de leur direction sur ce mouvement de protestation contre le président Mohamed Morsi, dont les partisans islamistes appelaient à des manifestations de soutien.
La plus haute autorité judiciaire d’Egypte a dénoncé samedi les nouvelles prérogatives du président islamiste Mohamed Morsi et les juges de la deuxième ville du pays ont annoncé une grève, accentuant le bras de fer avec le pouvoir exécutif.