Les Egyptiens votaient dimanche 17 juin, au dernier jour de l’élection présidentielle qui voit s’opposer un ancien dirigeant de l’ère Moubarak et un Frère musulman, dans un climat tendu entre le mouvement islamiste et l’armée, qui conserverait des pouvoirs importants.
Les bureaux de vote ont ouvert dimanche 17 juin en Egypte pour la deuxième et dernière journée du second tour de l’élection présidentielle, la première depuis la chute de Hosni Moubarak en février 2011.
Les Égyptiens élisent samedi et dimanche le premier président de l’après-Moubarak lors d’un scrutin opposant un islamiste à une figure de l’ancien régime, dans un contexte de tourmente politique et de doutes sur la volonté de l’armée de rendre le pouvoir aux civils.
Les bureaux de vote ont ouvert samedi en Egypte pour le second tour de la première présidentielle depuis la chute de Hosni Moubarak, qui oppose une figure de l’ancien régime, Ahmed Chafiq, au Frère musulman Mohamed Morsi.
En Égypte, la transition vers la démocratie semble en péril, après l’invalidation des élections législatives remportées en novembre par les forces islamistes, et le maintien de la candidature à la présidentielle d‘Ahmed Chafiq, l’ancien Premier ministre d’Hosni Moubarak.
Avec « Le courageux mourra dans la bataille », le journaliste-écrivain Tristan Jordis entraîne son lecteur dans Le Caire de l’après-révolution égyptienne.
Un haut dirigeant des Frères musulmans a dénoncé un véritable « coup d’État » des militaires égyptiens après le verdict rendu jeudi 14 juin par la Haute cour constitutionnelle, qui a validé la candidature d’Ahmed Chafiq et ouvert la voie à une possible dissolution du Parlement. Mais le candidat de la confrérie islamique, Mohamed Morsi, confiant dans ses chances de l’emporter, a dit respecter la décision de la plus haute institution du pays.
À deux jours du second tour de la présidentielle égyptienne, la Haute cour constitutionnelle a autorisé le maintien de la candidature d’Ahmed Chafiq, le dernier Premier ministre de Hosni Moubarak, et a ouvert la voie à une possible dissolution de l’actuel Parlement égyptien.
Qui du candidat de l’ancien régime ou de celui des Frères musulmans sera le prochain président de la République ? Les citoyens égyptiens trancheront les 16 et 17 juin. Non sans avoir l’impression de devoir choisir entre un mal et un moindre mal.
Contrainte par la crise de la dette en Europe, la banque française BNP Paribas revoit sa stratégie à l’international. Et compte céder BNP Paribas Egypt, sa troisième entité sur le continent par le nombre d’agences.
Selon une source médicale anonyme de la prison de Tora où Hosni Moubarak est détenu depuis sa condamnation à perpétuité, le 2 juin, l’ancien raïs aurait fait deux arrêts cardiaques. Les défibrillations pratiquées sur lui ont cependant réussi à faire repartir son coeur.
Des femmes manifestant contre le harcèlement sexuel sur la place Tahrir, au Caire, ont été attaquées vendredi soir par un groupe d’hommes qui ont sexuellement agressé plusieurs d’entre elles, ont indiqué des témoins à l’AFP.
Des milliers d’Egyptiens ont manifesté vendredi au Caire et dans d’autres villes du pays pour exiger la disqualification de la course à la présidence du dernier Premier ministre de Hosni Moubarak, Ahmad Chafiq, qui s’est engagé à défendre les libertés.
La tension est montée d’un cran en Égypte à l’approche du second tour de la présidentielle, les 16 et 17 juin. Partout dans le pays, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues pour protester contre les verdicts du procès Moubarak, et pour réclamer un report du scrutin.
La candidature à des fonctions politiques des anciens caciques du régime Moubarak est suspendue à une décision de la Haute Cour constitutionnelle. De ce fait, des opposants réclament que le second tour de la présidentielle, qui doit se jouer entre le « candidat de l’armée » et celui des Frères musulmans, soit suspendue.
Le candidat à l’élection présidentielle égyptienne et dernier Premier Ministre de Hosni Moubarak, Ahmad Chafiq, attaque frontalement les Frères musulmans, dont il doit affronter le candidat au second tour du scrutin.
Le procureur général égyptien va faire appel après les verdicts rendus samedi dans le procès du président déchu Hosni Moubarak, qui ont provoqué une vague de protestations, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.
Le président égyptien déchu Hosni Moubarak a été condamné samedi à la prison à vie pour la mort de manifestants durant la révolte qui l’a renversé en 2011, mais six ex-hauts responsables de la sécurité ont été acquittés, poussant des milliers d’Egyptiens en colère dans la rue.
Le président égyptien déchu Hosni Moubarak, 84 ans, a été condamné samedi à la prison à vie pour la mort de manifestants durant la révolte contre son régime l’an dernier, au terme de dix mois d’un procès historique.
L’ancien président égyptien Hosni Moubarak a été condamné samedi au Caire à la prison à vie pour meurtre de manifestants. La peine de mort avait été requise contre l’ancien raïs, âgé de 84 ans.
La zone Afrique entre dans le vif du sujet pour les qualifications au Mondial-2014 avec la première journée de la phase de groupes à partir de vendredi et les entrées en lice du Ghana et de l’Égypte, suivies samedi des affiches Cameroun-RDC et Soudan-Zambie.
Le quartier général d’Ahmad Chafiq, l’un des deux candidats vainqueur du premier tour de la présidentielle égyptienne, a été incendié lundi 28 mai dans la soirée. Ses partisans accusent les opposants politiques, alors que les tensions entre supporters des deux camps se font de plus en plus fortes.
La commission électorale égyptienne a confirmé les résultats préliminaires du premier tour de l’élection présidentielle. Le candidat des Frères musulmans, Mohammed Morsi, et l’ancien Premier ministre de Moubarak, Ahmad Chafiq, s’affronteront au second tour, les 16 et 17 juin.
Selon la commission électorale égyptienne, les nombreux recours déposés à la suite du premier tour de la présidentielle pourraient influer sur les résultats officiels, attendus dans les prochains jours.
L’ancien directeur de cabinet du président égyptien déchu Hosni Moubarak a été condamné à sept ans de prison par une cour pénale du Caire pour corruption, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.