Actuel entraîneur de l’USM Alger, le Français Hervé Renard intéresse la Fédération égyptienne de football, à la recherche d’un sélectionneur. L’intéressé, joint jeudi soir par jeuneafrique.com, confirme.
Les Frères musulmans se disent indifférents au nouveau parti, le Courant égyptien, qui le leur rend bien. Même si ce dernier compte parmi ses fondateurs des ex-membres de la puissante confrérie.
Un Premier ministre hospitalisé pour surmenage, un gouvernement à peine nommé déjà contesté par des manifestants toujours en colère. Le remaniement promis pouvait difficilement être plus mal parti.
Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères, le 20 juillet : « J’ai entendu à Istanbul [le 15 juillet, lors de la réunion du groupe de contact sur la Libye, NDLR] plusieurs responsables de pays musulmans dire que rien ne s’oppose à la poursuite des opérations militaires pendant le mois de ramadan. » Qu’en est-il exactement ?
L’ancien président égyptien Hosni Moubarak « refuse de se nourrir » et est dans un état préoccupant, a rapporté le 27 juillet le journal officiel Al-Gomhuria.
Il y a six mois tout juste, les Égyptiens descendaient dans la rue pour réclamer « du pain, de la liberté et de la dignité ». Aujourd’hui, la désormais emblématique place Al-Tahrir est à nouveau occupée par des manifestants dont les demandes n’ont pas toutes été satisfaites. Le point sur une révolution à la recherche de son salut.
Lundi, la justice égyptienne a inculpé pour corruption l’ancien Premier ministre Ahmed Nazif, alors que le procès pour meurtre de l’ex-ministre de l’Intérieur Habib el-Adly est reporté au 3 août.
De violents affrontements entre manifestants réclamant des réformes et partisans des militaires au pouvoir ont éclaté samedi au Caire, faisant plus de deux cents blessés, peu après que l’armée eut cherché à calmer les critiques à son égard en renouvelant sa promesse de démocratie.
C’est un symbole important : l’arabe devrait prochainement devenir la langue la plus utilisée à l’échelle mondiale sur Facebook, le célèbre réseau social américain. L’effet d’une actualité printanière propice au développement de l’internet 2.0.
Après des jours de tergiversation, le nouveau gouvernement égyptien a finalement prêté serment, jeudi, devant le chef du Conseil suprême des forces armées.
Selon l’agence de presse officielle égyptienne Mena, l’ancien président Hosni Moubarak, âgé de 83 ans, a un rythme cardiaque irrégulier et perd parfois connaissance.
Les démocrates et les laïques égyptiens se mettent en ordre de bataille. Ils veulent empêcher les islamistes d’influencer le contenu de la future Constitution.
Depuis le début de l’année, les investisseurs étrangers se détournent de l’Afrique du Nord, au détriment des gestionnaires de fonds locaux. C’est le contrecoup du « printemps arabe ».
Initiallement prévu pour lundi, le remaniement ministériel du gouvernement égyptien est reporté à mardi. En attendant de présenter son équipe remaniée, le Premier ministre Essam Charaf a fait connaître dimanche les noms de quelques-uns des nouveaux membres de son gouvernement.
Après que l’avocat de Hosni Moubarak a annoncé son client « dans un coma complet » – deux semaines avant le procès de ce dernier -, le ministre égyptien de la Santé, Adel Adawi, s’est voulu rassurant. Selon lui, l’état de l’ancien raïs est « stable ».
Le ministre égyptien des Affaires étrangères Mohammed Al-Orabi a démissionné samedi, alors que le Premier ministre Essam Sharaf doit présenter lundi un nouveau gouvernement pour tenter d’apaiser la contestation qui dure depuis une semaine dans le centre du Caire.
Le 2 février la place Tahrir, alors en pleine agitation révolutionnaire, était investie par des hommes armés, montés à dos de chameau et à cheval. Les noms des responsables de l’attaque ont été révélés jeudi.
Cela fait cinq jours que les manifestants ont investi à nouveau la place Tahrir pour demander la démission du maréchal Tantaoui qui dirige le pays. Seront-ils délogés par la police ? Jeudi 14 juillet au matin, les manifestants étaient toujours sur la place.
Grand favori des législatives égyptiennes de septembre, le Parti de la liberté et de la justice doit désormais compter avec deux courants islamistes concurrents : les salafistes et ses propres dissidents. Alors que les laïques envisagent de mettre sur pied un front commun.
Alors que les manifestations ne faiblissent pas, l’armée a déclaré mardi dans un message télévisé qu’elle ne « renoncerait pas à son rôle » et a émis une mise en garde aux manifestants qui contestent sa gestion de la transition politique du pays. Le Premier ministre égyptien Essam Charaf a annoncé lundi soir un remaniement ministériel imminent.
Le gazoduc égyptien qui ravitaille Israël et la Jordanie a une nouvelle fois explosé dans la nuit de mardi à mercredi, à proximité de la ville d’al-Arish, dans le nord de la péninsule du Sinaï. Selon l’agence de presse égyptienne Mena, il s’agirait encore d’un attentat.
Adulé en février par les Égyptiens pour avoir refusé de réprimer les manifestants, le chef du Conseil suprême des forces armées est aujourd’hui conspué par la rue. Et contesté par une partie de l’armée.
Les manifestants qui occupent la place Tahrir au Caire ont promis dimanche de poursuivre leur mouvement en faveur de plus de réformes et de justice, en dépit de mesures d’apaisement annoncées samedi soir par le Premier ministre, Essam Charaf.
Le Premier ministre égyptien, Essam Charaf, a annoncé samedi soir le limogeage des policiers accusés d’avoir tué des manifestants pendant le soulèvement contre le régime du président Hosni Moubarak et promis une justice plus rapide pour les responsables des violences.
De Washington, d’où elle lançait ses appels à la mobilisation, au Caire, où elle prépare la transition, Nadine Wahab est l’une de ces cyberactivistes qui ont changé la face du pays.
Au cœur des révoltes arabes, la chaîne qatarie a déçu certains auditeurs par le deux poids deux mesures dont elle a fait preuve selon les pays. La chercheuse Claire-Gabrielle Talon explique comment elle devient un enjeu géopolitique et une arme redoutable qui pourraient exacerber les tensions au sommet de l’État. Interview.
Alexandre Kateb, économiste et maître de conférences à Sciences-Po, analyse l’attrait exercé par le « miracle économique » chinois sur les peuples arabes….et l’linfluence des révolutions tunisienne et égyptienne sur l’Empire du Milieu.