Une quinzaine de chefs d’Etat, dont le Français Nicolas Sarkozy, assistaient mardi à Libreville aux obsèques solennelles du président Omar Bongo, symbole de la Françafrique après 41 ans au pouvoir et dont la succession attise les luttes en coulisses.
Le président français Nicolas Sarkozy et une quinzaine de chefs d’Etat d’Afrique, essentiellement francophone, devaient assister mardi aux obsèques d’Omar Bongo Ondimba, qui a passé 41 ans à la tête du Gabon et dont la succession s’annonce difficile.
Depuis l’annonce du décès du président, la population vit entre l’émotion suscitée par la mort du patriarche et l’inquiétude quant à l’avenir politique du pays.
Dans la perspective de la succession, les ténors du régime prennent discrètement position. Reste à savoir quel rôle joueront l’armée et le parti au pouvoir.
Le président du Burkina Faso Blaise Compaoré doit arriver lundi au Gabon, où il assistera aux cérémonies d’hommage au président Omar Bongo décédé la semaine dernière.
Le Premier ministre gabonais Jean Eyeghé Ndong ne devrait finalement démissionner qu’après l’inhumation du président Omar Bongo Ondimba, prévue jeudi, a appris dimanche l’AFP de sources concordantes.
La démission du Premier ministre gabonais Jean Eyeghé Ndong était attendue samedi mais, dimanche matin, il n’en était toujours rien. Selon une source gouvernementale, « il y a des dissensions en interne » sur le sujet.
Dans un dossier spécial de 24 pages, Jeune Afrique retrace le destin exceptionnel du doyen des chefs d’Etat africains, esquisse le bilan de l’ère Bongo, et expose les enjeux de sa succession.
Interrogé au micro de France 2, Omar Bongo s’explique sur l’affaire ELF, « une affaire franco-française » selon lui. Il s’est aussi confié à Jeune Afrique dans une longue interview à ce sujet.
Le rappeur sénégalo-américain Akon a fait le déplacement à Libreville, où il s’est recueilli devant la dépouille président gabonais Omar Bongo Ondimba, qui fut un de ses mécènes, selon des images diffusées par la télévision privée gabonaise TéléAfrica.
La dépouille d’Omar Bongo a quitté l’Espagne jeudi matin pour le Gabon. Le chef de l’Etat gabonais est officiellement décédé lundi dans une clinique de Barcelone.
Des milliers de personnes en larmes ont accueilli jeudi à Libreville la dépouille mortelle du président gabonais Omar Bongo Ondimba, transportée d’Espagne au Gabon où il sera inhumé le 18 juin après une semaine de funérailles.
Ce 8 juin 2009, Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie, a exprimé sa profonde et très grande tristesse à l’annonce de la mort du Président de la République du Gabon, Omar Bongo Ondimba.
Jacques Chirac dément avoir reçu en 1981, pendant la campagne présidentielle française, des fonds du président gabonais défunt Omar Bongo. L’ancien chef de l’Etat répondait à une accusation lancée mardi par l’ex-président Valéry Giscard d’Estaing.
Le corps d’Omar Bongo doit arriver jeudi à Libreville. Le président gabonais, officiellement décédé lundi en Espagne, sera inhumé le 18 juin à Franceville.
Omar Bongo Ondimba, 73 ans, est parti comme il est arrivé au pouvoir, par surprise. On savait que la suspension de ses activités, décidée le 6 mai pour une durée indéterminée, n’augurait rien de bon.
La procédure sur les « biens mal acquis » visant en France le président gabonais se poursuit malgré le décès, lundi à Barcelone (Espagne), d’Omar Bongo. Certains enfants du chef de l’Etat défunt sont inquiétés dans ce dossier.
Le président sud-africain Jacob Zuma a rendu hommage mardi au président gabonais Omar Bongo Ondimba, décédé en Espagne, le qualifiant d' »ami » qui a cherché à instaurer la paix sur le continent africain.
L’ancien président de la République française Valéry Giscard d’Estaing a affirmé mardi que le président du Gabon Omar Bongo, décédé lundi, avait soutenu « financièrement » Jacques Chirac pendant la campagne présidentielle de 1981.
L’annonce lundi de la mort du président gabonais Omar Bongo Ondimba a provoqué une avalanche d’hommages au « sage » et à « l’ami », venus de personnalités politiques françaises, de nombreux dirigeants du continent africain ou encore du président américain Barack Obama.
Le président malien Amadou Toumani Touré a adressé lundi un message de vive compassion à la présidente par intérim du Gabon, Mme Rose Francine Rogombé, après le décès, lundi en Espagne, du président gabonais Oumar Bongo Ondimbo.
Le chef de l’Etat sénégalais Abdoulaye Wade a fait part de sa « vive émotion » à l’annonce du décès, lundi à Barcelone (Espagne), de son « ami et frère », le président gabonais Omar Bongo Ondimba.
Le président du Gabon Omar Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 41 ans et doyen des chefs d’Etat africains en exercice, est mort lundi à l’âge de 73 ans en Espagne, a annoncé son Premier ministre après une journée d’incertitude sur son état.
L’ancien président de la République Jacques Chirac et son épouse Bernadette ont salué lundi la mémoire du président gabonais Omar Bongo, qui « aura réussi à s’imposer comme un sage » contribuant « à la paix et à la stabilité de l’ensemble du continent » africain.
Omar Bongo est mort lundi à l’hôpital Quiron de Barcelone, où il est hospitalisé depuis le 6 mai, selon le site internet du quotidien espagnol La Vanguardia, citant des sources proches du président gabonais.Quelques heures après la polémique déclenchée par l’annonce précipitée de sa mort ce dimanche 7 mai et les démentis officiels, le président s’en est allé.