Le modèle pétrolier qui a jusqu’ici nourri le régime arrive lentement en bout de course. Tous les regards se tournent vers le seul, finalement, qui pourrait assurer un changement en douceur : le chef de l’État.
Mis en cause par les ex-dirigeants de la compagnie pétrolière française, dont le procès se tient actuellement à Paris, le chef de l’État gabonais a choisi les colonnes de J.A.I. pour riposter. Sans ménagement.