Alors que plusieurs chefs d’État sont attendus à Libreville le 8 juin pour commémorer les dix ans de la mort d’Omar Bongo Ondimba, le ballet diplomatique se poursuit dans la capitale gabonaise, avec la visite le 5 juin du président tchadien Idriss Déby Itno.
L’exil des grands groupes bancaires complique l’accès des entreprises africaines à la « correspondance bancaire », nécessaire pour réaliser des paiements internationaux.
Le désormais ex-ministre des Eaux et Forêts, Guy-Bertrand Mapangou, limogé en même temps que le vice-président Pierre Claver Maganga Moussavou, mardi dernier, affirme que l’un des documents qui le met en cause dans un trafic de kevazingo est un faux.
Plusieurs chefs d’État et personnalités sont attendus à Libreville pour rendre hommage à Omar Bongo Ondimba, l’ancien président gabonais et père de l’actuel occupant du Palais du bord de mer, disparu le 8 juin 2009.
Passé notamment par la Guinée, la RDC et la Mauritanie, le Français Patrice Neveu a été nommé sélectionneur du Gabon. Il succède à Daniel Cousin, limogé en mars dernier après l’élimination des Panthères de la CAN 2019. Retour sur une nomination.
Constatant l’insalubrité chronique qui sévit à Libreville, Léandre Nzué, le nouveau maire de la capitale gabonaise, a préconisé la résiliation du contrat d’Averda, l’entreprise libanaise chargée de la collecte des déchets.
Le vice-président gabonais, Pierre Claver Maganga Moussavou, et le ministre des Eaux, des Forêts et de l’Environnement, Guy-Bertrand Mapangou, ont été limogés mardi 21 mai.
Une dizaine de hauts cadres de l’administration gabonaise ont été « suspendus de leurs fonctions et responsabilités à titre conservatoire », dans le cadre d’une enquête en cours après la saisie et la disparition de plusieurs cargaisons de kezavingo, un bois précieux notamment prisé en Asie.
Alassane Dramane Ouattara (ADO) était en visite mercredi 15 mai à Libreville, où il a rencontré son homologue gabonais Ali Bongo Ondimba (ADO). Après une période délicate, la relation entre les deux hommes semble de nouveau au beau fixe.
Après avoir connu une croissance rapide sur le continent, le libanais Averda, spécialiste de la collecte des déchets, fait actuellement face à des difficultés au Gabon.
Depuis la prison de Libreville, l’ancien ministre gabonais Magloire Ngambia, incarcéré depuis 2017 dans le cadre de l’opération anticorruption Mamba, estime que sa détention provisoire aurait dû prendre fin au plus tard le 9 janvier 2019.
Après le président togolais, qui s’est rendu à Libreville début mai pour y rencontrer son homologue gabonais, le président malien est également annoncé. D’autres présidents africains pourraient être présents au Gabon lors des célébrations du dixième anniversaire de la mort d’Omar Bongo Ondimba, le 8 juin.
Depuis février, les autorités gabonaises ont découvert plusieurs cargaisons de kevazingo, un bois précieux, prêtes à être exportées frauduleusement. Récemment, 353 containers ont tout simplement disparu du port d’Owendo. Depuis l’interdiction de coupe de ce bois précieux en mars 2018, le kevazingo ne cesse de faire l’objet d’un vaste trafic.
Fin mars, un collectif d’opposants avait déposé une demande d’expertise médicale du président gabonais Ali Bongo Ondimba pour déterminer la capacité du chef de l’État à exercer ses fonctions après son AVC. Celle-ci vient d’être rejetée par la justice.
Depuis l’AVC d’Ali Bongo Ondimba, le Gabon vit une période d’incertitude politique dont personne ne connaît l’issue. Sur fond de lutte de clans au sein du pouvoir, de grogne sociale et de tensions budgétaires… Jusqu’à quand ? Jeune Afrique a mené l’enquête début avril, alors que le chef de l’État avait quitté le Gabon pour Londres.
Avant d’être nommé directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, Brice Laccruche Alihanga, qui exerçait dans le secteur financier et était responsable associatif, avait été très actif sur le terrain lors de la présidentielle de 2016.
Le chef de l’État gabonais Ali Bongo Ondimba, dont on était sans nouvelles depuis près d’un mois, a reçu lundi le Premier ministre Julien Nkoghe Bekalé à Libreville, a-t-il annoncé sur Twitter.
Toujours opposé au président gabonais Ali Bongo Ondimba, l’activiste Marc Ona Essangui a rejoint l’« Appel à agir » lancé par des personnalités de la société civile et de différents partis d’opposition.
Avant la plainte de l’État du Gabon, déposée le 7 février 2018 en Suisse contre Guido Santullo pour corruption d’agents publics étrangers et blanchiment d’argent, l’homme d’affaires italien, décédé le 27 août de la même année, faisait déjà l’objet de soupçons de la part de la justice helvète.
La violence à l’égard des femmes et des filles est un fléau mondial qui attire enfin l’attention de la communauté internationale. Toutefois, les réponses qui y sont apportées sont souvent inadéquates ou partielles.
Ancien baron du régime passé à l’opposition, l’ex-président de l’Assemblée nationale, Guy Nzouba-Ndama , nourrit une grande ambition : conquérir le Palais du bord de mer en 2023.
L’opposition gabonaises est en reconstruction, avec en ligne de mire la présidentielle de 2023. Dans le même temps, Jean Ping, qui se considère comme le « président élu » peine à stopper l’hémorragie de ses soutiens.
Le ministre gabonais de l’Éducation, Michel Menga M’Essonne, a annoncé la suspension de la réforme des bourses qui avait provoqué début avril des manifestations lycéennes dans les principales villes du Gabon, ainsi que l’arrêt des cours.
En dépit d’un produit net bancaire en stagnation, les indicateurs du groupe bancaire panafricain progressent au terme de l’exercice écoulé, au terme d’une année qui aura vu la banque confrontée à une profonde crise de gouvernance.
Afin de préparer sa défense dans l’affaire qui l’oppose au Groupement Santullo Sericom, l’État gabonais a fait appel à différents avocats et spécialistes d’un prestigieux cabinet. Ils travaillent tous avec la directrice générale de l’Agence judiciaire de l’État.
Taxes et réduction du nombre de fonctionnaires : le gouvernement gabonais a annoncé la semaine dernière de nouvelles mesures pour maîtriser la forte masse salariale de la fonction publique qu’il tente d’« assainir » depuis plusieurs mois.
Après son AVC d’octobre 2018, et une longue convalescence, le chef de l’État gabonais est rentré au pays le 23 mars. À la surprise générale, il avait remanié ses équipes, le 26 février, en Conseil des ministres. Il s’appuie notamment sur ce quatuor pour aborder une nouvelle phase de son second septennat.
Le gouvernement gabonais a demandé à la justice d’agir contre des opposants accusés d’être impliqués « dans des actes de déstabilisation » du pays, a-t-on appris samedi de source officielle.
Maixent Accrombessi, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, qui occupait toujours le poste de Haut représentant personnel du chef de l’État, a été démis de ses fonctions vendredi 29 mars lors du Conseil des ministres.