Le chef de l’État gabonais Ali Bongo Ondimba, dont on était sans nouvelles depuis près d’un mois, a reçu lundi le Premier ministre Julien Nkoghe Bekalé à Libreville, a-t-il annoncé sur Twitter.
Toujours opposé au président gabonais Ali Bongo Ondimba, l’activiste Marc Ona Essangui a rejoint l’« Appel à agir » lancé par des personnalités de la société civile et de différents partis d’opposition.
Avant la plainte de l’État du Gabon, déposée le 7 février 2018 en Suisse contre Guido Santullo pour corruption d’agents publics étrangers et blanchiment d’argent, l’homme d’affaires italien, décédé le 27 août de la même année, faisait déjà l’objet de soupçons de la part de la justice helvète.
La violence à l’égard des femmes et des filles est un fléau mondial qui attire enfin l’attention de la communauté internationale. Toutefois, les réponses qui y sont apportées sont souvent inadéquates ou partielles.
Ancien baron du régime passé à l’opposition, l’ex-président de l’Assemblée nationale, Guy Nzouba-Ndama , nourrit une grande ambition : conquérir le Palais du bord de mer en 2023.
L’opposition gabonaises est en reconstruction, avec en ligne de mire la présidentielle de 2023. Dans le même temps, Jean Ping, qui se considère comme le « président élu » peine à stopper l’hémorragie de ses soutiens.
Le ministre gabonais de l’Éducation, Michel Menga M’Essonne, a annoncé la suspension de la réforme des bourses qui avait provoqué début avril des manifestations lycéennes dans les principales villes du Gabon, ainsi que l’arrêt des cours.
En dépit d’un produit net bancaire en stagnation, les indicateurs du groupe bancaire panafricain progressent au terme de l’exercice écoulé, au terme d’une année qui aura vu la banque confrontée à une profonde crise de gouvernance.
Afin de préparer sa défense dans l’affaire qui l’oppose au Groupement Santullo Sericom, l’État gabonais a fait appel à différents avocats et spécialistes d’un prestigieux cabinet. Ils travaillent tous avec la directrice générale de l’Agence judiciaire de l’État.
Taxes et réduction du nombre de fonctionnaires : le gouvernement gabonais a annoncé la semaine dernière de nouvelles mesures pour maîtriser la forte masse salariale de la fonction publique qu’il tente d’« assainir » depuis plusieurs mois.
Après son AVC d’octobre 2018, et une longue convalescence, le chef de l’État gabonais est rentré au pays le 23 mars. À la surprise générale, il avait remanié ses équipes, le 26 février, en Conseil des ministres. Il s’appuie notamment sur ce quatuor pour aborder une nouvelle phase de son second septennat.
Le gouvernement gabonais a demandé à la justice d’agir contre des opposants accusés d’être impliqués « dans des actes de déstabilisation » du pays, a-t-on appris samedi de source officielle.
Maixent Accrombessi, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, qui occupait toujours le poste de Haut représentant personnel du chef de l’État, a été démis de ses fonctions vendredi 29 mars lors du Conseil des ministres.
Si l’interdiction d’exporter des grumes en 2009 a permis d’attirer les investisseurs, les retombées économiques issues de leur transformation sont encore limitées.
La fédération gabonaise de football est en émoi après l’élimination des Panthères de la CAN 2019. Le ministre des Sports Alain-Claude Bilie-By-Nzé, qui a pris le dossier en main, vient d’entériner le limogeage du sélectionneur Daniel Cousin et évoque une possible dissolution de la sélection.
En octobre 2018, Alfred Bongo Ondimba, fils d’Omar Bongo Ondimba, a déposé plainte contre le BGFIBank après la « disparition » de 1,5 milliard de F CFA du compte de son étude notariale. La justice ne s’est pour l’instant pas saisie de l’affaire.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a été accueilli par la foule à son retour officiel à Libreville, samedi soir. Un premier test pour le chef de l’Etat, qui doit encore rassurer sur sa capacité à diriger le pays.
Le ministre gabonais de l’Économie récuse la décision de la Cosumaf de mettre la BVMAC sous administration provisoire, à la demande de la banque centrale, pour accélérer la fusion des bourses de Douala et de Libreville.
Le président gabonais doit officiellement rentrer au Gabon le 23 mars, cinq mois après son hospitalisation à Riyad, selon le porte-parole de la présidence Ike Ngouoni. Ali Bongo Ondimba, en convalescence à Rabat depuis fin novembre, a déjà effectué deux retours express à Libreville. Il rentre dans un contexte complexe.
Avant de quitter ses fonctions à la tête de la mairie de Libreville et de rejoindre le ministère de la Défense, Rose Christiane Ossouka Raponda aurait accumulé des dettes, selon ses détracteurs. Les syndicalistes ont pressé son successeur de lancer un audit afin de tirer la situation au clair.
Claude Dumont-Beghi, avocate française qui représente les intérêts d’Ali Bongo Ondimba relatifs à l’héritage de son père, avait été convoquée par la Conseil de l’ordre, avant qu’un tribunal ne tranche.
Daniel Cousin, le sélectionneur du Gabon, a convoqué Pierre-Emerick Aubameyang pour le match au Burundi le 22 mars, décisif pour la qualification pour la CAN 2019. Mais l’attaquant d’Arsenal, en froid avec la fédération, n’a toujours pas confirmé sa présence au rassemblement des Panthères à Libreville.
Censé s’ouvrir le 13 mars au tribunal de Libreville, le procès pour corruption présumée de Magloire Ngambia a finalement été reporté sine die. La défense de l’ancien ministre, absent à l’audience, a demandé une recomposition de la Cour criminelle spéciale suite à des propos de sa présidente.
En l’absence du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, tout le monde s’interroge sur l’identité de ceux qui ont pris les commandes du pays. Enquête dans les coulisses du pouvoir.
La présidence du Gabon a tenu à faire taire les rumeurs circulant sur les réseaux sociaux sur un éventuel sosie du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, actuellement en convalescence au Maroc, lors d’une conférence de presse tenue jeudi à Libreville.
Une importante quantité de kévazingo, un bois précieux interdit d’exploitation au Gabon, a été saisie par les douanes fin février au port d’Owendo, dans l’estuaire de Libreville, a-t-on appris mercredi de l’ONG Conservation Justice.
De retour à Libreville dans la nuit du 24 au 25 février, le chef de l’État gabonais Ali Bongo Ondimba a approuvé dans la foulée différents grands changements dans son entourage, notamment le départ de Park Sang-chul, son chef de la sécurité.
Daniel Cousin, l’ancien manager des Panthères devenu sélectionneur en septembre, accusait au total 30 mois d’arriérés de salaires. Il a finalement touché une partie de l’argent et signé son contrat ce jeudi 28 février.