Les résultats du second tour ont confirmé la large victoire du parti présidentiel PDG, l’opposition ayant réussi à sécuriser 17 élus à l’Assemblée. Une opposition dont aucun leader n’a réussi à conquérir de sièges.
Les rumeurs et fake news entourant la santé d’Ali Bongo Ondimba, hospitalisé à Riyad le 25 octobre pour une fatigue sévère, ont donné lieu à diverses spéculations au cours du week-end. Au point que la présidence a dû sortir du silence pour mettre fin aux spéculations. « Le chef de l’État est toujours attendu à Paris » le 11 novembre, a confirmé à Jeune Afrique le Premier ministre gabonais.
Le 26 octobre, le groupe industriel panafricain a signé, avec le Fonds gabonais d’investissements stratégique (FGIS) et le gouvernement gabonais, une convention de concession pour de la production d’eau potable et deux contrats d’achat d’énergie électrique. Trois jours auparavant, le groupe avait obtenu une convention de concession pour une centrale électrique de 65 MW au Togo.
Des hackers de la mouvance Anonymous ont revendiqué des attaques informatiques contre «plus de 70» sites institutionnels gabonais en indiquant s’en prendre aux «dictatures».
Alors que le Parti démocratique gabonais est déjà assuré d’avoir la majorité dans la future Assemblée, les électeurs étaient appelés aux urnes pour le second tour des législatives.
Largement dominée lors du premier tour des législatives, l’opposition a prévu de faire le pied de grue dans les différents bureaux de vote à l’occasion du second tour des législatives ce samedi 27 octobre.
Contrairement à ce qu’a affirmé le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet, Jeune Afrique ne l’a aucunement contacté afin de « mettre un terme » à la candidature aux législatives d’Alexandre Barro-Chambrier.
Ali Bongo Ondimba a été hospitalisé le 25 octobre à Riyad, en Arabie saoudite. Sans donner davantage de précisions, la présidence gabonaise évoque une « légère fatigue » du chef de l’État.
Arrivé de justesse en tête au premier tour, Alexandre Barro-Chambrier du Rassemblement héritage et modernité affronte Séverin Pierre Ndong Ekomi du Parti démocratique gabonais pour l’un des derniers duels à enjeux des législatives.
Grands perdants des législatives, les adversaires d’Ali Bongo Ondimba vont devoir tout reconstruire en vue de la présidentielle de 2023. Vaste programme !
Après le premier tour des législatives, le 6 octobre, l’opposition gabonaise n’a pu que constater sa défaite. Pour l’Union nationale, le Rassemblement héritage et modernité et Les Démocrates, les motifs de satisfaction sont rares, tout comme les possibilités de conquérir des sièges de député au second tour. Jeune Afrique fait le point, en infographie.
Après le coup de frein donné fin juin aux dépenses publiques, Libreville poursuit dans sa politique de contraction budgétaire avec son projet de loi de Finances 2019.
En marge du sommet de l’OIF à Erevan, le président français Emmanuel Macron a rencontré son homologue congolais Denis Sassou Nguesso, et s’est entretenu en tête à tête avec Ali Bongo Ondimba.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba et son Premier ministre avaient prévenu : les candidats qui souhaitent conserver leur poste seraient bien inspirés de sortir vainqueurs aux élections législatives…
Les pays africains de l’Initiative pour la protection des éléphants ont participé jeudi 11 octobre à la Conférence sur le commerce illégal d’espèces sauvages, à Londres. Le président gabonais, dont le pays est membre de cette alliance depuis sa création, revient sur les enjeux de ce combat.
Premières élections organisées depuis la présidentielle contestée de 2016, les locales et législatives, dont le premier tour s’est tenu le 6 octobre, ont rendu un verdict sans appel, le Parti démocratique gabonais étant déjà assuré de disposer d’une écrasante majorité dans la future Assemblée nationale.
Seul ténor de l’opposition qualifié pour le deuxième tour des législatives, Alexandre Barro-Chambrier ne cache pas son amertume après la défaite des siens au premier tour. Dénonçant la fraude qu’il impute à ses adversaires, il n’en appelle pas moins à réorganiser l’opposition.
Avec son tube « Tchizambengue », la chanteuse Shan’L fait l’éloge des maîtresses et projette de manière provocante une autre image de la féminité africaine.
L’agence Fitch a révisé à la hausse la perspective attachée à la note « B » qu’elle attribue à la dette gabonaise en la faisant passer de « négative » à « stable », le 5 octobre.
Une centaine de salariés attaquent Bouygues Énergies & Services (Byes) Gabon aux prud’hommes en France ; Alexandre Barro Chambrier et Zacharie Myboto se rapprochent au Gabon… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
Au lendemain des scrutins pour les locales et le premier tour des législatives au Gabon, la présidence gabonaise a fait état dimanche « d’un raz-de marée » pour le parti au pouvoir et un taux d’abstention élevé.
Deux ans après une élection présidentielle qui avait été marquée par les violences, les Gabonais ont voté samedi dans le calme aux élections législatives et municipales.
Deux ans après la présidentielle, l’opposition rêve de contraindre Ali Bongo Ondimba à une cohabitation inédite à l’issue des élections législatives et locales. Première manche le 6 octobre.
Les procédures en matière de contentieux électoral sont désormais payantes au Gabon, suite à une décision de la Cour constitutionnelle rendue en juin et dont on vient d’apprendre l’existence. Un collectif regroupant juristes, journalistes, représentants de la société civile et écrivains s’insurge contre une décision « moralement inacceptable ».
La Fédération gabonaise de football a annoncé un peu trop vite la nomination de Pierre Aubame au poste de sélectionneur des Panthères, comme l’avait révélé lundi Pierre-Emerick Aubameyang…
Alors qu’elle nous annonçait personnellement, jeudi 20 septembre, la validation de sa candidature, Chantal Myboto a dû déchanter : dimanche soir, la Cour constitutionnelle a annoncé à la télévision que l’opposante de l’Union nationale ne pourrait finalement pas se présenter aux législatives.
Le gouvernement gabonais s’est réjoui samedi de la décision de la Cour pénale internationale (CPI) de ne pas ouvrir d’enquête sur les violences post-électorales de 2016 au Gabon.
Le père de la star Pierre-Emerick Aubameyang (PEA) formera avec Daniel Cousin un duo chargé de qualifier les Panthères du Gabon pour la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN) 2019.
La candidature de Chantal Myboto pour les législatives a finalement été validée jeudi 20 septembre par la Cour constitutionnelle, malgré un recours déposé par le Parti démocratique gabonais. La trésorière adjointe de l’Union nationale a dû se battre devant la Cour pour l’emporter.
L’Espagnol José Antonio Camacho n’est plus le sélectionneur du Gabon. Connu dans les prochains jours, son successeur pourrait être Pierre Aubame, le père du capitaine des Panthères Pierre-Emerick Aubameyang, dont l’attitude interpelle parfois au sein même de l’équipe.