Seul ténor de l’opposition qualifié pour le deuxième tour des législatives, Alexandre Barro-Chambrier ne cache pas son amertume après la défaite des siens au premier tour. Dénonçant la fraude qu’il impute à ses adversaires, il n’en appelle pas moins à réorganiser l’opposition.
Avec son tube « Tchizambengue », la chanteuse Shan’L fait l’éloge des maîtresses et projette de manière provocante une autre image de la féminité africaine.
L’agence Fitch a révisé à la hausse la perspective attachée à la note « B » qu’elle attribue à la dette gabonaise en la faisant passer de « négative » à « stable », le 5 octobre.
Une centaine de salariés attaquent Bouygues Énergies & Services (Byes) Gabon aux prud’hommes en France ; Alexandre Barro Chambrier et Zacharie Myboto se rapprochent au Gabon… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
Au lendemain des scrutins pour les locales et le premier tour des législatives au Gabon, la présidence gabonaise a fait état dimanche « d’un raz-de marée » pour le parti au pouvoir et un taux d’abstention élevé.
Deux ans après une élection présidentielle qui avait été marquée par les violences, les Gabonais ont voté samedi dans le calme aux élections législatives et municipales.
Deux ans après la présidentielle, l’opposition rêve de contraindre Ali Bongo Ondimba à une cohabitation inédite à l’issue des élections législatives et locales. Première manche le 6 octobre.
Les procédures en matière de contentieux électoral sont désormais payantes au Gabon, suite à une décision de la Cour constitutionnelle rendue en juin et dont on vient d’apprendre l’existence. Un collectif regroupant juristes, journalistes, représentants de la société civile et écrivains s’insurge contre une décision « moralement inacceptable ».
La Fédération gabonaise de football a annoncé un peu trop vite la nomination de Pierre Aubame au poste de sélectionneur des Panthères, comme l’avait révélé lundi Pierre-Emerick Aubameyang…
Alors qu’elle nous annonçait personnellement, jeudi 20 septembre, la validation de sa candidature, Chantal Myboto a dû déchanter : dimanche soir, la Cour constitutionnelle a annoncé à la télévision que l’opposante de l’Union nationale ne pourrait finalement pas se présenter aux législatives.
Le gouvernement gabonais s’est réjoui samedi de la décision de la Cour pénale internationale (CPI) de ne pas ouvrir d’enquête sur les violences post-électorales de 2016 au Gabon.
Le père de la star Pierre-Emerick Aubameyang (PEA) formera avec Daniel Cousin un duo chargé de qualifier les Panthères du Gabon pour la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN) 2019.
La candidature de Chantal Myboto pour les législatives a finalement été validée jeudi 20 septembre par la Cour constitutionnelle, malgré un recours déposé par le Parti démocratique gabonais. La trésorière adjointe de l’Union nationale a dû se battre devant la Cour pour l’emporter.
L’Espagnol José Antonio Camacho n’est plus le sélectionneur du Gabon. Connu dans les prochains jours, son successeur pourrait être Pierre Aubame, le père du capitaine des Panthères Pierre-Emerick Aubameyang, dont l’attitude interpelle parfois au sein même de l’équipe.
Mahamadou Issoufou a fait du lobbying auprès de Xi Jinping, le bras de fer entre BGFIBank et e-Doley se poursuit, une nouvelle ambassadrice des États-Unis au Ghana… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Aux législatives du 6 octobre, Alexandre Barro-Chambrier sera le candidat commun du Rassemblement Héritage et Modernité (RHM) et de l’Union nationale (UN) dans le 4e arrondissement de Libreville.
En RDC, un ancien contrôleur de gestion accuse l’ex-directeur de la BGFIBank de l’avoir menacé ; au Gabon, interrogations sur un recours de France 2, que la chaîne affirme ne pas avoir déposé… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
Inexistants sur les registres officiels, les Pygmées de l’ethnie Baka au Gabon souffrent de discriminations. Alors que la loi gabonaise inscrit l’égalité entre ses citoyens, dans les faits, la réalité est bien différente.
Des associations de la société civile gabonaise ont poursuivi l’Agence française de développement (AFD) pour l’accord d’un prêt de 75 millions d’euros, dont l’objectif serait, selon elles, de « maintenir en place le gouvernement d’Ali Bongo Ondimba ».
Raphaël Ntoutoume Nkoghe, le président de la Haute autorité gabonaise de la communication, qui a sanctionné France 2 après la rediffusion d’un documentaire, explique à Jeune Afrique les raisons qui ont motivé la suspension de la diffusion de la chaîne publique française au Gabon, qu’il accuse « d’acharnement ».
Cinq jours après avoir décidé de la suspension d’un an de France 2 au Gabon, la Haute autorité de la communication a annoncé mardi une réduction de cette peine à trois mois.
L’homme d’affaires italien Guido Santullo est décédé dans l’après-midi du 27 août à Gaeta, en Italie. À 82 ans, le patron du groupe Sericom était en conflit devant les tribunaux avec l’État gabonais, à qui il réclamait plusieurs centaines de millions d’euros d’impayés.
Coupable, selon la Haute autorité de la communication, d’avoir rediffusé un document sur le Gabon d’Ali Bongo Ondimba le 16 août, la chaîne France 2 a été suspendue pour un an. Jeune Afrique revient sur une décision polémique.
Le tanker Pantalena, battant pavillon panaméen et comptant à son bord 17 marins géorgiens, a disparu des écrans radars le 14 août alors qu’il naviguait au large du Gabon. Une disparition qui fait craindre un acte de piraterie, un phénomène en recrudescence dans le Golfe de Guinée.
Jean Rémy Yama, leader syndical proche de l’opposition au Gabon, avait appelé les fonctionnaires à défiler le 13 août pour protester contre les mesures d’austérité. Et rêve de faire plier le gouvernement.
« Le Gabon est l’un des pays en Afrique qui dépense le plus pour ses étudiants boursiers sans que les résultats ne soient au rendez-vous ». Dans un discours diffusé sur la télévision d’État, le président gabonais a dressé un sombre état des lieux du système éducatif de son pays, promettant de le « révolutionner ».
Le parti démocratique gabonais du chef de l’État Ali Bongo Ondimba (PDG, au pouvoir) a rendu public lundi les identités de ses 143 candidats aux élections législatives du 6 octobre prochain.
Une marche prévue lundi par les principaux syndicats gabonais pour protester contre les mesures d’austérité touchant les fonctionnaires civils a été interdite par les autorités.