L’économie des pays africains de la zone franc (PAZF) se caractérise notamment par le faible volume des échanges intracommunautaires – 15 % de l’ensemble des échanges contre 60 % au sein de la zone euro –, la faible compétitivité-prix à l’export – du fait du mésalignement du taux de change réel du CFA par rapport à l’euro –, le rationnement endogène du crédit – un ratio « crédits à l’économie rapportés au PIB » de 23 % contre 100 % dans la zone euro – et l’objectif de stabilité des prix poursuivi par les deux principales banques centrales de la zone franc, la BCEAO et la BEAC.
Depuis plus de dix mois, les joueurs du FC Akanda, un club de Ligue 1 basé au nord de Libreville, ne sont plus payés et vivent pour certains une situation dramatique. En grève, ils doivent être reçus par le président de leur club ce mercredi.
Initialement prévue au début du mois, la rentrée scolaire des élèves gabonais doit finalement avoir lieu le 31 octobre, deux semaines après celle des professeurs. Quant à l’année universitaire, elle commencera le 17, a-t-on appris jeudi après le Conseil des ministres.
Si la baisse est moins forte qu’en 2016, le budget 2017 au Gabon devrait afficher une diminution de -5%. En cause : la chute continue du cours du brut qui affecte l’économie du quatrième producteur de pétrole africain depuis deux ans.
Arrivé troisième à la présidentielle, il est l’un des rares opposants à intégrer le gouvernement du Gabon. Il hérite de l’épineuse question du logement.
Le Guinéen François Lounceny Fall va remplacer à partir du 1er novembre le Sénégalais Abdoulaye Bathily au poste de représentant spécial de Ban Ki-moon pour l’Afrique centrale.
La Cour constitutionnelle a tranché, Ali Bongo Ondimba a été réélu. Ce n’était pas gagné : abandonné par son parti, lâché par ses anciens alliés, confronté à des opposants plus remontés que jamais, le chef de l’État revient de loin.
Lors du premier conseil des ministres du nouveau gouvernement gabonais présidé mardi par Ali Bongo Ondimba, plusieurs changements ont été annoncés dans l’organigramme de la présidence.
Le monde occidental et surtout la France s’offusquent de la victoire de Bongo contre Ping au cours de l’élection présidentielle gabonaise. Il y a deux lectures à faire pour expliquer le résultat des élections.
Le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet a dévoilé dimanche soir la composition du nouveau gouvernement. Malgré les annonces répétées en faveur d’une « large ouverture » prônée par Ali Bongo Ondimba après sa réélection contestée, de rares personnalités de l’opposition y font leur entrée.
« J’affirme ma détermination à assumer mes responsabilités de président élu par le peuple souverain », a déclaré Jean Ping lors d’une conférence de presse jeudi à Libreville, deux jours après l’investiture d’Ali Bongo Ondimba. Il a également demandé à la communauté internationale de prendre des sanctions ciblées.
Dans un communiqué rendu public jeudi, la procureure de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, affirme que son bureau procédera à un examen préliminaire de la situation qui a prévalu au Gabon depuis mai 2016, en réponse à la demande des autorités gabonaises.
Au lendemain de l’investiture d’Ali Bongo Ondimba, dont la réélection est toujours contestée par l’opposition, Emmanuel Issoze-Ngondet a été nommé mercredi 28 septembre Premier ministre en remplacement de Daniel Ona Ondo. Éléments de portrait d’un diplomate réputé discret.
Après avoir nommé le nouveau Premier ministre de son gouvernement d’ouverture mercredi, Ali Bongo Ondimba s’apprête à choisir ses futurs ministres, a indiqué le ministre de la Communication Alain-Claude Bilie-By-Nze. Un retour à la normale politique qui n’empêche pas Jean Ping et ses partisans de continuer de contester l’élection.
Quatre jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle, Ali Bongo Ondimba a été investi ce mardi midi pour un deuxième septennat.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba est investi pour un second septennat ce mardi, quatre jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle, a annoncé la présidence lundi.
Malgré la situation politique tendue qui règne au Gabon après sa réélection et les heurts qui s’en sont suivis, Ali Bongo Ondimba a assuré samedi que le pays accueillerait bien la Coupe d’Afrique des Nations du 14 janvier au 5 février 2017.
Vendredi, la Cour constitutionnelle gabonaise a validé la victoire d’Ali Bongo à la très contestée élection présidentielle du 27 août. Une décision qui a suscité des réactions très froides au sein de la communauté internationale ces derniers jours.
Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a regretté samedi que l’examen des recours n’ait pas levé « tous les doutes » sur la réélection du président gabonais Ali Bongo Ondimba, tout en appelant l’opposition à « récuser l’action violente ».
Jean Ping a réagi samedi à la décision de la Cour constitutionnelle du Gabon de valider la réélection du président sortant, Ali Bongo Ondimba. Le principal rival du président sortant a dénoncé un « déni de droit ».
La capitale gabonaise était quadrillée samedi par un imposant dispositif des forces de sécurité après la validation dans la nuit par la Cour constitutionnelle de la réélection du président Ali Bongo Ondimba, dont l’annonce le 31 août avait déclenché des émeutes meurtrières et des pillages massifs dans le pays.
La Cour constitutionnelle du Gabon a validé dans la nuit de vendredi à samedi la réélection du président sortant, Ali Bongo Ondimba, pour un second septennat. Un important dispositif sécuritaire a été déployé à Libreville pour prévenir tout nouveau déferlement de violence.
La Cour constitutionnelle du Gabon a rejeté vendredi soir aux environs de 00h50 les recours déposés par l’opposition après la présidentielle du 27 août et proclamé élu Ali Bongo Ondimba avec 50,66 % des voix.
Un ancien patron du renseignement du Gabon, Léon-Paul Ngoulakia, par ailleurs cousin du président Ali Bongo Ondimba, récemment passé à l’opposition, a été interpellé vendredi à Libreville, a-t-on appris de sources concordantes.
Checkpoints, déploiement des militaires aux quatre coins de la ville : Libreville est suspendue à la délibération décisive de la Cour constitutionnelle dont le verdict est attendu ce vendredi, dans les heures à venir.
Le Gabon se réveille vendredi avec la peur de nouvelles violences et dans l’incertitude la plus totale alors que la Cour constitutionnelle doit trancher sur le contentieux électoral entre le président sortant Ali Bongo Ondimba et son rival Jean Ping.
À la veille du délai fixé à la cour constitutionnelle gabonaise, pour rendre son verdict sur le contentieux électoral, l’instance poursuit jeudi son travail de recomptage sous le regard d’une équipe de juristes de l’Union Africaine.
À la tête de la plus haute juridiction du pays, Marie-Madeleine Mborantsuo a traversé plus de deux décennies de contentieux électoraux sans se laisser intimider. Portrait d’une femme secrète qui détient les clés du dénouement de la crise qui secoue le pays.
Le meeting de Nicolas Sarkozy à Marcq-en-Baroeul (Nord), qui clôturait une journée de déplacement commencée à Calais, a été perturbé mercredi par une dizaine d’étudiants gabonais opposés au président Ali Bongo.