Un nouveau mouvement politique baptisé « Dynamique plurielle pour Ali Bongo Ondimba » a été lancé samedi à Libreville pour soutenir le président sortant, candidat à un second mandat lors de l’élection qui doit se tenir entre août et octobre.
À moins de quatre mois de l’élection présidentielle gabonaise, Claude Dumont-Beghi, avocate du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, depuis janvier 2014, prend la plume pour défendre son client.
Les questions ethniques sous-tendent les relations exécrables entre l’ancien président de l’Assemblée nationale et le patron de l’Union nationale (UN, opposition).
Près de trois ans après le dernier coup de force réussi, en Égypte, l’Afrique va-t-elle (enfin) tourner la page ? Le continent aux 87 putschs a vu défiler un nombre édifiant de « sauveurs suprêmes » en quête de reconversion.
La candidature du marocain Banque populaire pour la reprise des parts de BNP Paribas (47 %) dans le capital de la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (Bicig) a été présentée au conseil d’administration de l’établissement le 27 avril.
En fin de contrat au mois de juin, le Portugais Jorge Costa ne sera pas reconduit à la tête des Panthères du Gabon, selon nos informations. À un peu plus de six mois de la CAN 2017 que le pays va organiser, l’urgence consiste désormais à lui trouver un successeur.
C’est devant ses principaux lieutenants et soutiens que Jean Ping, candidat à l’élection présidentielle gabonaise, a dévoilé son programme mercredi. Modification de la Constitution, mandat unique et financement de ses promesses : Jeune Afrique fait le point sur les engagements du candidat.
L’application de streaming vidéo qui a explosé en France connaît un timide essor sur le continent. Si les plus jeunes en sont les premiers utilisateurs, les communicants politiques commencent à s’intéresser de près à Periscope.
Le premier groupe bancaire d’Afrique centrale enregistre un résultat net consolidé de 30 milliards de F CFA (45,73 millions d’euros). Ce qui lui permet d’annoncer plus de 5 milliards de F CFA de dividendes lors de l’assemblée générale du 02 mai, à Libreville.
Si certains en doutaient, la rupture est désormais officialisée. Moins de deux mois après avoir été exclus avec fracas du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), des frondeurs du parti d’Ali Bongo Ondimba ont constitué, dimanche à Libreville, leur propre formation politique, le Rassemblement héritage et modernité.
L’agence de notation américaine a abaissé d’un cran, fin avril, les notes souveraines du Gabon (passée à « B1 ») et de la République du Congo (« B2 »). C’est la deuxième dégradation de la note du Congo-Brazzaville en à peine deux mois. En cause : la détérioration des comptes publics et une pression sur la liquidité des États.
À quelques mois de l’élection présidentielle, le Gabon compte un nouveau parti politique : « Démocratie Nouvelle ». Une formation destinée à soutenir Jean Ping qui a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle le 13 février dernier à Libreville.
Pour prévenir contre les risques des violences postélectorales au Gabon, une coalition d’ONG a déposé lundi un manifeste pour la paix aux sièges de l’ONU et de l’Union européenne dans le pays.
La Banque africaine de développement a adopté la « Stratégie de partenariat » avec le Gabon pour la période 2016-2020. Dans le cadre de ce programme, la BAD pourrait apporter jusqu’à 811 milliards de F CFA (1,24 milliard d’euros) en prêts et en aide au pays. Le déboursement de ce financement dépendra, toutefois, de l’état d’avancement des projets proposés par Libreville.
Des sources concordantes, consultées vendredi par l’AFP, indiquent que des biens immobiliers appartenant à la famille de l’ancien président gabonais, Omar Bongo, ont été récemment saisis par la justice française, à Paris et à Nice.
Depuis dimanche, une nouvelle polémique agite le Gabon. Mais la demande en paternité que Joyce Ondo, qui se présente comme l’ancienne compagne d’Ali Bongo Ondimba, affirme avoir déposée devant un tribunal français ne devrait pas avoir de répercussions immédiates pour le chef de l’État gabonais.
Quelques mois après avoir annoncé à Jeune Afrique son intention de s’implanter en Afrique centrale, Mohamed Benchaaboun, le PDG de Banque populaire, a bien avancé.
Après en avoir été membre de 1975 à 1995, le Gabon a fait la demande de sa réintégration au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), a annoncé l’agence « Reuters », vendredi, citant deux sources au sein du cartel. Une information confirmée à « Jeune Afrique » par une source interrogée à Libreville.
Germain Ngoyo Moussavou est ambassadeur du Gabon en France, il est aussi l’ex-président du groupe parlementaire du parti au pouvoir au Sénat. Il est revenu pour Jeune Afrique sur l’actualité politique de son pays à l’approche de la présidentielle d’août.
L’institution financière panafricaine rejoint le singapourien Olam, le géant de l’agro-industrie actif au Gabon dans le palmier à huile, l’hévéa et l’engrais, et l’État du Gabon qui étaient co-actionnaire de Gabon Special Economic Zone (GSEZ) SA depuis 2010.
Maât Seigneur Lion, moitié du duo gabonais Movaizhaleine, a dévoilé il y a quelque jour un nouveau titre, « Pas comme on l’Entend ». S’il y a un seul son à écouter, c’est celui-ci.
La Banque Centrale des États de l’Afrique Centrale (BEAC) a abaissé de 50% le taux des réserves obligatoires applicable aux banques commerciales, le 6 avril. Cette décision prise lors d’un comité de politique monétaire extraordinaire réjouit les établissements de crédit.
L’ancien président de l’Assemblée nationale du Gabon, poste dont il a démissionné la semaine dernière, a annoncé mardi à Libreville son intention de se présenter à la présidentielle prévue en août prochain.
La Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) est parvenue à dégager son résultat net le plus important depuis sa fondation en 1972. Un record dû à une cession d’obligations faiblement rémunérées auprès du Trésor français et qui ont été remises sur marché, a appris « Jeune Afrique »
Neuf députés du Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) ont démissionné vendredi de l’Assemblée nationale. Tous ces parlementaires sont issus du courant Héritage et Modernité.