Le 18 avril, Paris a finalisé la remise à plat des accords militaires passés avec ses anciennes colonies. Au final, des bases moins nombreuses et des effectifs réduits. L’essentiel, c’est de se faire discret.
Réunis lundi 14 mai à Cotonou, les huit dirigeants du comité ad hoc de l’Union africaine ne sont pas parvenus à trouver une solution face à l’épineuse question du choix d’un nouveau président de la Commission. L’Afrique du Sud et le Gabon ne veulent pas renoncer à leur candidats respectif. Et l’organisation continentale n’a pas l’air prête de sortir du blocage de ses institutions.
Président de l’Assemblée gabonaise depuis 1997, Guy Nzouba Ndama est un pilier du système Bongo. Après avoir servi le père, il a soutenu le fils. Rencontre avec un homme qui a fait de la fidélité une tactique de survie en politique.
Le président Bongo Ondimba souhaite investir 18 milliards d’euros en cinq ans via l’Agence nationale des grands travaux. C’est deux fois plus que ce qu’il avait annoncé en octobre.
Barrages, routes, chemins de fer… Depuis dix ans, Pékin multiplie les contrats en Afrique, sur le modèle controversé « matières premières contre infrastructures ». Mais d’autres puissances émergentes préparent leur offensive.
Directeur général de la zone Afrique centrale chez Sanofi, le pharmacien franco-ivoirien William Kouadio-Tiacoh décline la stratégie du géant français dans douze pays.
Comme au premier tour, les électeurs français d’Afrique ont apporté majoritairement leur suffrage à François Hollande le 6 mai 2012. Le candidat socialiste termine en effet en tête avec 56,68% des voix sur le continent, selon les chiffres du ministère des affaires étrangères français, devant Nicolas Sarkozy avec 43,32%. Les résultats de la présidentielle française pays par pays.
Le président Bongo Ondimba souhaite investir 18 milliards d’euros en cinq ans via l’Agence nationale des grands travaux. C’est deux fois plus que ce qu’il avait annoncé en octobre.
Comme Nicolas Sarkozy en son temps, François Hollande a promis de mettre fin à la « Françafrique » et d’instaurer des rapports sains entre l’Hexagone et les pays du continent. Ses actes seront-ils à la hauteur des espoirs suscités par ses paroles ?
Les électeurs gabonais de six circonscription sont appelés aux urnes samedi afin de revoter sur les sièges invalidés par la cour constitutionnelle lors des législatives du 17 décembre, un nouveau scrutin qui ne fera pas basculer l’écrasante majorité du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir.
Une victoire du candidat socialiste François Hollande, le 6 mai, ne plongerait pas dans le désespoir nombre de chefs d’État du continent. Même s’ils en redoutent parfois les conséquences économiques.
La Tropicale Amissa Bongo s’impose comme la course la mieux cotée et dotée du continent. Si l’épreuve a un coût pour le Gabon, le pays en retire un beau bénéfice en termes d’image.
Pour les industriels asiatiques et européens, l’heure est à la ruée vers les terres africaines. Le palmier à huile peut être une chance, à condition que développement rural ne rime pas avec menace environnementale.
Le cabinet d’audit et de conseil français veut recruter 500 consultants et auditeurs en Afrique francophone. Il s’agit de couvrir 30 pays de la zone et d’y réaliser un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros d’ici à quatre ans.
Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques, Serge Mickoto pilote la diversification de l’économie nationale. Le FGIS doit rapporter plus de 500 milliards de F CFA à l’État d’ici à cinq ans.
Dans son numéro 2677, « Jeune Afrique » poursuit son enquête sur la gouvernance pour le moins sujette à caution du président de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), Antoine Ntsimi. Et répond aux arguments de ce dernier par la publication de nouveaux documents exclusifs.
Le Français de l’équipe Europcar Anthony Charteau a remporté la Tropicale Amissa Bongo pour la troisième fois consécutive devant un public clairsemé, dimanche 29 avril à Libreville. Deux coureurs du continent complètent le podium : l’Érythréen Meron Russom et le Marocain Adil Jelloul.
Avant l’étape finale de Libreville, dimanche 29 avril, le Français Yohan Gène a enregistré sa deuxième victoire d’étape sur la Tropicale Amissa Bongo à Franceville samedi. Son co-équipier Anthony Charteau conserve le maillot jaune de leader.
Malgré le joli coup du Marocain Tarik Chaoufi, vainqueur de la quatrième étape de la Tropicale Amissa Bongo, le Français Anthony Charteau, double vainqueur de l’épreuve, s’est emparé du maillot jaune vendredi 27 avril.
Le Français Thomas Voeckler, star de la Tropicale Amissa Bongo, a remporté sa première victoire d’étape lors de la troisième journée. L’Érythréen Meron Russom reste en tête du classement général et d’autres coureurs du continent restent en bonne place.
Pour la première fois dans l’histoire du tour cycliste gabonais, la Tropicale Amissa Bongo, un Africain, l’Érythréen Meron Russom, a endossé le maillot jaune de leader, à l’issue de la deuxième étape.
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Le Français Yohan Gène a remporté une première étape de la « Tropicale Amissa Bongo » marquée par les belles performances des coureurs maghrébins. Frédéric Obiang, le meneur de l’équipe du Gabon, a en revanche été victime d’une chute à quelques centaines de mètres de l’arrivée.
Rares sont ceux qui avouent leur appartenance. Pourtant, avec ses rites et son goût du secret, la franc-maçonnerie fascine et fait chaque jour de nouveaux adeptes. Et sur le continent, dans les cercles du pouvoir, beaucoup en font partie.
Le peloton de la 7e édition de la course cycliste gabonaise « Tropicale Amissa Bongo » s’élancera mardi 24 avril, à Fougamou (centre-ouest), pour six jours de course où se côtoieront stars du circuit international et amateurs africains.
Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS), il pilote la diversification de l’économie nationale. Le FGIS doit rapporter plus de 500 milliards de F CFA à l’Etat d’ici à cinq ans.