Les électeurs gabonais de six circonscription sont appelés aux urnes samedi afin de revoter sur les sièges invalidés par la cour constitutionnelle lors des législatives du 17 décembre, un nouveau scrutin qui ne fera pas basculer l’écrasante majorité du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir.
Une victoire du candidat socialiste François Hollande, le 6 mai, ne plongerait pas dans le désespoir nombre de chefs d’État du continent. Même s’ils en redoutent parfois les conséquences économiques.
La Tropicale Amissa Bongo s’impose comme la course la mieux cotée et dotée du continent. Si l’épreuve a un coût pour le Gabon, le pays en retire un beau bénéfice en termes d’image.
Pour les industriels asiatiques et européens, l’heure est à la ruée vers les terres africaines. Le palmier à huile peut être une chance, à condition que développement rural ne rime pas avec menace environnementale.
Le cabinet d’audit et de conseil français veut recruter 500 consultants et auditeurs en Afrique francophone. Il s’agit de couvrir 30 pays de la zone et d’y réaliser un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros d’ici à quatre ans.
Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques, Serge Mickoto pilote la diversification de l’économie nationale. Le FGIS doit rapporter plus de 500 milliards de F CFA à l’État d’ici à cinq ans.
Dans son numéro 2677, « Jeune Afrique » poursuit son enquête sur la gouvernance pour le moins sujette à caution du président de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), Antoine Ntsimi. Et répond aux arguments de ce dernier par la publication de nouveaux documents exclusifs.
Le Français de l’équipe Europcar Anthony Charteau a remporté la Tropicale Amissa Bongo pour la troisième fois consécutive devant un public clairsemé, dimanche 29 avril à Libreville. Deux coureurs du continent complètent le podium : l’Érythréen Meron Russom et le Marocain Adil Jelloul.
Avant l’étape finale de Libreville, dimanche 29 avril, le Français Yohan Gène a enregistré sa deuxième victoire d’étape sur la Tropicale Amissa Bongo à Franceville samedi. Son co-équipier Anthony Charteau conserve le maillot jaune de leader.
Malgré le joli coup du Marocain Tarik Chaoufi, vainqueur de la quatrième étape de la Tropicale Amissa Bongo, le Français Anthony Charteau, double vainqueur de l’épreuve, s’est emparé du maillot jaune vendredi 27 avril.
Le Français Thomas Voeckler, star de la Tropicale Amissa Bongo, a remporté sa première victoire d’étape lors de la troisième journée. L’Érythréen Meron Russom reste en tête du classement général et d’autres coureurs du continent restent en bonne place.
Pour la première fois dans l’histoire du tour cycliste gabonais, la Tropicale Amissa Bongo, un Africain, l’Érythréen Meron Russom, a endossé le maillot jaune de leader, à l’issue de la deuxième étape.
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Le Français Yohan Gène a remporté une première étape de la « Tropicale Amissa Bongo » marquée par les belles performances des coureurs maghrébins. Frédéric Obiang, le meneur de l’équipe du Gabon, a en revanche été victime d’une chute à quelques centaines de mètres de l’arrivée.
Rares sont ceux qui avouent leur appartenance. Pourtant, avec ses rites et son goût du secret, la franc-maçonnerie fascine et fait chaque jour de nouveaux adeptes. Et sur le continent, dans les cercles du pouvoir, beaucoup en font partie.
Le peloton de la 7e édition de la course cycliste gabonaise « Tropicale Amissa Bongo » s’élancera mardi 24 avril, à Fougamou (centre-ouest), pour six jours de course où se côtoieront stars du circuit international et amateurs africains.
Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS), il pilote la diversification de l’économie nationale. Le FGIS doit rapporter plus de 500 milliards de F CFA à l’Etat d’ici à cinq ans.
Au Gabon, le chef de l’État n’a officiellement aucun candidat pour la présidentielle française. Mais une partie de la société civile, devenue un véritable contre-pouvoir depuis le passage à vide de l’opposition, elle, vote clairement Hollande…
L’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) a donné au Gabon jusqu’à décembre 2012 pour publier ses derniers audits du secteur pétrolier. Sinon, Libreville risque d’exclusion.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
La Société d’investissement pour l’agriculture tropicale basée à Bruxelles, fait entrer à son capital une filiale du chinois Sinochem. Elle veut ainsi renforcer son assise financière et monter en puissance dans l’hévéa.
Air Cemac, passeport unique, fusion des Bourses… La Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale semble avoir fait sienne la fameuse devise « Il est urgent de ne rien faire ».
À quelques semaines de son sommet à Brazzaville, la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), qui regroupe six pays de la région, traverse une crise profonde. Enquête et révélations sur l’homme au coeur de ce malaise : le Camerounais Antoine Ntsimi, président de la Commission.
À en croire une note de frais de la Cemac, publiée par Jeune Afrique, le directeur général de l’Agence française de développement (AFD), Dov Zerah, aurait participé à une réception donnée dans un grand hôtel parisien par le président de la Commission de ladite organisation d’Afrique centrale, le Camerounais Antoine Ntsimi, pour un montant de 19 940 euros. L’intéressé nie en bloc et envisage de porter plainte.
Dans son numéro 2673 en kiosque du 1er au 7 avril, Jeune Afrique enquête sur la gestion financière pour le moins relâchée de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac). Son président, le Camerounais Antoine Louis Ntsimi Menye, est la figure centrale de cette affaire.
Présent dans cinq pays africains, le groupe marocain doit faire face à de nombreux défis pour maintenir sa croissance et s’étendre. Le grand patron expose ici sa politique d’innovation.