La Commission électorale gambienne (IEC) a commencé à enregistrer les candidatures au scrutin législatif du 6 avril, le premier de l’ère post-Yahya Jammeh, selon un de ses responsables vendredi, alors que la coalition de l’ex-opposition menace de se défaire.
Le nouveau président gambien effectue, du 14 au 16 mars, une visite officielle à Paris, où il sera reçu par François Hollande, et à Bruxelles, où il rencontrera les dirigeants européens. Il s’agit de son premier déplacement hors du continent depuis qu’il est entré en fonctions.
Le Syndicat de la presse gambienne (GPU) a protesté ce mardi contre l’agression récente d’un journaliste par des militants de la coalition soutenant le président Adama Barrow à Banjul. Il a aussi réclamé des poursuites contre ses auteurs.
Pour son premier déplacement à l’étranger depuis sa prise de fonctions, Adama Barrow, le président gambien, a effectué une visite officielle de trois jours au Sénégal, du 2 au 4 mars.
Le nouveau président gambien a débuté jeudi une visite officielle de trois jours au Sénégal. Un choix hautement symbolique pour son premier déplacement à l’étranger en tant que chef d’État.
Il était considéré comme un pilier du régime de Yahya Jammeh. Le général Ousman Badjie a été remplacé à son poste de chef d’état-major des armées de Gambie.
Nous avons tous vécu avec effarement le dénouement du processus électoral en Gambie. Cette tragédie a eu lieu dans notre propre chair. Nous disons « notre », car l’événement a lieu au cœur d’un même peuple que je nommerai pour l’occasion Gambisen ou Sengambie.
Yankuba Badjie, qui dirigeait en Gambie la très redoutée Agence nationale du renseignement (NIA), a été arrêté lundi, d’après une source policière à Banjul.
Au cours de sa mini-tournée africaine, le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, s’est rendu ce mardi en Gambie pour rencontrer le nouveau président Adama Barrow. Lequel a exprimé le souhait que son pays réintègre le Commonwealth.
Les nouvelles autorités gambiennes ont saisi l’ONU pour l’informer que leur pays resterait membre de la Cour pénale internationale (CPI). Un retournement de situation amorcé par le nouveau président Adama Barrow.
Selon la force ouest-africaine en Gambie (Ecomig), un soldat et ancien membre de la garde rapprochée de l’ex-président Yahya Jammeh, a été trouvé en possession d’une arme à feu dans une mosquée de Banjul. Un lieu de prière où se trouvait le nouveau chef de l’Etat, Adama Barrow.
Amateur de dossiers sulfureux, l’enfant terrible du barreau dakarois, El Hadji Diouf, a défendu jusqu’au bout l’ex-dictateur gambien Yahya Jammeh. Envers et contre tous.
Le nouveau président gambien a annoncé son intention de restaurer des relations apaisées avec ses partenaires étrangers, et de réintégrer la CPI et le Commonwealth avec lesquels Yahya Jammeh avait rompu.
Une aide européenne de 225 millions d’euros sera allouée à la Gambie, afin de soutenir son économie exsangue, selon son nouveau président Adama Barrow.
La mission militaire déployée en Gambie par la Cedeao pour renforcer la sécurité du régime du nouveau président Adama Barrow a été prolongée de trois mois.
Ça y est, il est parti. Après d’ultimes tractations et sous la pression militaire de la Cedeao, l’ex-président a fini par quitter le palais de Banjul. Retour sur les jours qui ont précédé un départ obtenu au forceps.
Au pouvoir depuis une semaine, Donald Trump, le nouveau président des États-Unis, occupe la scène et accapare l’attention des médias. Il les provoque, les égratigne, et, trouvant en lui un « bon client », les médias surréagissent. Pas toujours avec sang-froid et pondération.
Parce que les images permettent parfois d’en dire plus que les mots sur les événements et la façon dont la population les a vécus, Jeune Afrique a choisi de revenir sur les derniers jours de Yahya Jammeh en Gambie, en janvier 2017, au travers de plusieurs photographies prises par Sylvain Cherkaoui.
Dix des 18 ministres du nouveau gouvernement gambien, dont une femme, ont prêté serment au cours d’une cérémonie officielle ce mercredi, six jours après le retour dans le pays du nouveau président Adama Barrow.
C’est une arrestation symbolique, venue mettre un terme aux 22 années d’impunité du règne répressif de Yahya Jammeh. Depuis le 26 janvier, le Gambien Ousman Sonko, ministre de l’Intérieur de 2006 à 2016, a maille à partir avec la justice helvétique, qui l’a placé en détention provisoire. Jeune Afrique a interviewé Philip Grant, le directeur de l’ONG qui a signalé sa présence aux autorités suisses.
Le vainqueur de Yahya Jammeh a nommé Fatumata Jallow-Tambajang à la vice-présidence, mais celle-ci aurait dépassé la limite d’âge autorisé pour occuper le poste.
Au début de décembre 2016, après la proclamation des résultats de l’élection présidentielle gambienne, j’étais un homme heureux. Heureux d’apprendre que Yahya Jammeh, le président sortant au pouvoir depuis 1994 (j’avais 39 ans !), venait de reconnaître sa défaite.
La Suisse a interpellé jeudi l’ex-ministre de l’Intérieur gambien Ousman Sonko. Proche de l’ex-président Yahya Jammeh, il est soupçonné de crimes contre l’humanité.
Le nouveau président gambien Adama Barrow est rentré ce jeudi après-midi à Banjul, cinq jours après le départ en exil de son prédécesseur Yahya Jammeh. De nombreux Gambiens se sont massés autour de l’aéroport pour l’accueillir.
Il a réussi ce que tout le monde pensait impossible. Inconnu hier encore, il a battu Yahya Jammeh dans les urnes et rallié derrière lui une communauté internationale unanime pour tenter de le chasser du pouvoir.
Selon des sources officielles, le retour du nouveau président gambien dans son pays est prévu jeudi après-midi. Depuis le 15 janvier, Adama Barrow est en exil à Dakar, où il a attendu que Yahya Jammeh cède le pouvoir, ce que ce dernier a fait samedi dernier.