L’opposant Kumba Yala a annoncé mercredi « accepter les résultats » du second tour de l’élection présidentielle en Guinée-Bissau donnant le candidat du parti au pouvoir Malam Bacaï Sahna, vainqueur avec plus de 63% des voix.
Le candidat du parti au pouvoir, Malam Bacaï Sanha, a remporté le second tour de l’élection présidentielle organisée le 26 juillet en Guinée-Bissau, avec 63,52% des voix, a annoncé mercredi la commission électorale.
Les observateurs de l’Union Européenne estiment que 55 à 60% des électeurs bissau-guinéens se sont rendus aux urnes pour le deuxième tour de la présidentielle. Ce taux s’approche de celui observé lors du premier tour.
Les Bissau-Guinéens votent ce dimanche pour élire leur nouveau président. Pour le second tour, deux anciens chefs de l’Etat s’affrontent : Malam Bacaï Sanha et Kumba Yala. Portraits.
Les opérations de vote ont commencé ce dimanche en Guinée Bissau pour le deuxième tour de la présidentielle. Les deux candidats qui s’affrontent sont Malam Bacaï Sanha et Kumba Yala, deux anciens chefs de l’Etat.
Les Bissau-Guinéens ont voté dimanche dans le calme pour élire au second tour un nouveau président entre deux ex-chefs d’Etat, Malam Bacaï Sanha et Kumba Yala.
Le chef de la junte guinéenne a interdit « toute spéculation » sur les menaces d’attaques extérieures évoquées le week-end dernier. Il a notamment mis en garde les journalistes et les leaders politiques.
La Guinée craint des attaques venues du Sénégal, de la Guinée-Bissau et du Liberia. En conséquence, l’armée est en état d’alerte et se tient prête à riposter.
La campagne pour le second tour de l’élection présidentielle de la Guinée Bissau débute ce vendredi. Le scrutin opposera le 2 août Malam Bacaï Sahna et Kumba Yala, qui se sont déjà affrontées lors de précédéntes présidentielles.
Le deuxième tour de la présidentielle bissau-guinéenne opposera le 2 août le candidat du parti au pouvoir, Malam Bacaï Sanha, à l’opposant, Kumba Yala. Ces deux candidats s’étaient déjà affrontés lors de la présidentielle de 2000.
Les chefs d’Etat africains se retrouvent à partir de mercredi à Syrte, en Libye, sous la présidence de Mouammar Kadhafi qui met la pression sur son projet controversé de « gouvernement africain » alors que le continent est confronté à des crises menaçant la stabilité de plusieurs pays.
Les opérations de vote pour l’élection présidentielle en Guinée-Bissau ont pris fin dimanche vers 17H00 (locales et GMT), près de quatre mois après l’assassinat du président Joao Bernardo Vieira, a constaté un journaliste de l’AFP.
Les Bissau-Guinéens se rendent aux urnes ce dimanche pour élire leur président. Le scrutin pourrait permettre au pays de retrouver sa stabilité après la vague d’assassinats qui a notamment coûté la vie au chef de l’Etat Joao Bernardo Vieira début mars.
La Guinée-Bissau fermera toutes ses frontières à l’occasion de l’élection présidentielle de dimanche. Les autorités prévoient par ailleurs le déploiement d’un important dispositif militaire.
Les dirigeants ouest-africains ont évoqué lundi à Abuja les crises au Niger, en Guinée et en Guinée-Bissau et ont rencontré le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero lors d’un premier sommet Espagne-Cedeao.
Un sommet de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) qui s’ouvre ce lundi sera consacré aux crises politiques qui secouent la Guiinée, la Guinée Bissau et le Niger. Un sommet Espagne-Cedeao doit se tenir le même jour.
Des observateurs européens seront en Guinée-Bissau le 28 juin prochain, afin de veiller au bon déroulement du scrutin présidentiel, trois mois après l’assassinat du président Vieira.
Sauf surprise, les Bissau-Guinéens éliront leur nouveau président le 28 juin prochain. Un scrutin très attendu par l’Union africaine (UA), qui estime qu’il constitue une étape indispensable à la stabilité du pays.
Le chef d’état-major des forces armées en Guinée-Bissau a démenti jeudi qu’on ait cherché à l’assassiner. José Zamora Induta a dénoncé une rumeur destinée à « destabiliser le pays ».
Le président intérimaire bissau-guinéen, Raimundo Pereira, a déclaré mardi que l’élection présidentielle aurait « bel et bien lieu le 28 juin », en dépit des assassinats vendredi d’un candidat et d’un ancien ministre.
Le gouvernement bissau-guinéen a demandé lundi au président intérimaire Raimundo Pereira de maintenir la date de l’élection présidentielle à la date du 28 juin, malgré les violences de vendredi ayant fait 4 morts, dont un candidat à la présidentielle.
Seuls deux membres du gouvernement bissau-guinéen ont assisté dimanche matin à Bissau aux obsèques du ministre de l’Administration territoriale Baciro Dabo, candidat à la présidentielle du 28 juin accusé de complot, tué vendredi à son domicile par des militaires.
L’ex-premier ministre bissau-guinéen donné pour mort vendredi dans le cadre de la répression de la tentative de coup d’Etat présumée serait en vie. Faustino Fudut Imbali aurait été « sévèrement battu » et serait détenu à la police militaire.
Le début de la campagne présidentielle a été reporté samedi à une date ultérieure en raison des événements qui ont fait vendredi quatre morts, dont un ministre candidat à l’élection. La date du scrutin pourrait elle aussi être repoussée.
Helder Proença été tué vendredi dans « un échange de tirs entre les éléments de la sécurité venu l’arrêter et sa garde rapprochée », annonce le ministère bissau-guinéen de l’Intérieur. L’ancien ministre de la Défense était soupçonné d’avoir comploté en vue d’un « coup d’Etat ».
Le gouvernement de la Guinée-Bissau a annoncé vendredi que cinq personnes avaient été tuées lors de la répression d’une « tentative de coup d’Etat » présumée. Parmi les victimes : un ministre et des anciens ministre et Premier ministre.
Le ministre de l’Administration territoriale a été abattu dans la nuit de jeudi à vendredi par des « hommes en uniforme ». Baciro Dabo, proche du président assassiné Joao Bernardo Vieira, était candidat à la présidentielle du 28 juin.