Ingénieurs ou autodidactes, ils dirigent les poids lourds du secteur de la construction. Une industrie dopée par les investissements massifs dans les infrastructures.
Construire, mais pas n’importe comment : une équation complexe que les autorités tentent de résoudre en confiant le suivi à des spécialistes étrangers attirés par l’explosion des chantiers.
Pour accueillir les participants au 17e sommet de l’Union africaine, fin juin, une petite ville est sortie de terre. Réunions, assemblées et détente, tout a été prévu.
Les membres de la Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) sont-ils sur le départ ? La rumeur continue de courir au siège de l’institution, à Bangui.
À moins de neuf mois de la CAN 2012 (21 janvier-12 février) organisée conjointement par la Guinée équatoriale et le Gabon, le fils du président équato-guinéen et secrétaire d’État aux Sports, Ruslan Obiang Nsue, revient pour jeuneafrique.com sur les préparatifs du plus grand événement sportif du continent.
Vingt-quatre heures avant une réunion décisive de l’UA sur la crise ivoirienne qui menace de dégénérer en guerre civile, le camp du président sortant Laurent Gbagbo a annoncé compter sur l’appui de sept pays « alliés ». Dont, l’Angola, la RDC, l’Afrique du Sud mais aussi la Guinée équatoriale – qui préside l’UA.
Les présidents équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema et gabonais Ali Bongo Ondimba se sont rencontrés à New York fin février pour tenter de trouver des solutions au conflit qui les oppose à propos de l’îlot de Mbanié.
Plusieurs sélections africaines utilisent la première date Fifa de l’année 2011 pour préparer la prochaine journée qualificative à la CAN 2012. Quelques affiches, dont Côte d’Ivoire – Mali, Sénégal – Guinée, Gabon – RDC ou encore Maroc – Niger permettront de faire oublier l’annulation des matchs Algérie – Tunisie et Égypte – États-Unis. Tandis que le Gabon et la Guinée équatoriale, qui co-organisent la CAN, entament la dernière ligne droite de leur préparation.
D’Abidjan au Caire, en passant par Tunis et Juba, le visage de l’Afrique change en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Le sommet des chefs d’État africains réunis à Addis-Abeba devrait aborder ces différentes crises et évolutions.
Notoriété, aptitude à peser sur le jeu diplomatique, poids économique, rayonnement moral ou culturel… « Jeune Afrique » désigne les hommes et femmes politiques les plus influents du continent.
Le 17 janvier 2010, l’Équato-Guinéen Lucas Abaga Nchama était désigné à la surprise générale gouverneur de la Beac par les six chefs d’État de la Cemac, réunis à Bangui (Centrafrique). Il y avait urgence. L’institution était en crise à la suite des révélations par Jeune Afrique, en septembre 2009, de détournements orchestrés depuis le bureau parisien de la banque centrale pour un montant de 31 millions d’euros. Un an après sa nomination, Abaga Nchama réalise pour la première fois un bilan de son action. Interview.
En matière de pétrole et de gaz, l’Afrique est un espace sous-exploité qui, plus que jamais, a un rôle à jouer sur la scène mondiale. Tous les acteurs internationaux, et nationaux, lorgnent les gisements encore à mettre au jour.
Des ONG congolaises ont annoncé leur saisine de la Cour de justice de l’Union européenne pour faire annuler l’enquête de la justice française sur les biens présumés « mal acquis » du président Denis Sassou Nguesso.
Le Français Henri Michel a signé vendredi 10 décembre avec la Guinée équatoriale un contrat faisant de lui le sélectionneur de l’équipe nationale de football, le Nzalang, jusqu’à la fin de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2012, ont annoncé les deux parties à Malabo.
Le dossier sensible des « biens mal acquis » a été confié à deux juges d’instruction français. Leur mission est d’enquêter sur le patrimoine en France de trois présidents africains : le Gabonais feu Omar Bongo Ondimba, l’Équato-Guinéen Teodoro Obiang Nguema et le Congolais Denis Sassou N’Guesso.
Alors que le Ghana s’apprête à produire son premier baril, le golfe de Guinée est victime des vertiges du brut. Une effervescence pétrolière qui aiguise l’appétit des majors et relance le débat sur la bonne gestion de cette manne tant espérée.
De nouveaux câbles recueillis par WikiLeaks et publiés mardi, décrivent les premiers pas de Nicolas Sarkozy en tant que président avec ses partenaires du continent. Outre quelques « bourdes » protocolaires du président français, ils exposent les raisons pour lesquelles, selon Washington, Paris n’a pu mettre fin à la « Françafrique » comme il l’avait annoncé.
La croissance du trafic aérien en Afrique pousse les compagnies à trouver des cursus de formation sur le continent, moins chers qu’en Occident. Revue de détail.
La décision de la Cour de cassation française du 9 novembre permet à la plainte de l’ONG Transparency international de suivre son cours, contre la volonté du ministère de la Justice. Et elle ouvre la voie à une guérilla judiciaire qui aura immanquablement des conséquences diplomatiques.
La Cour de cassation française a ordonné la poursuite de l’enquête sur le dossier dit des « biens mal acquis » en France, impliquant trois chefs d’État africains.
Les organisateurs suisses du XIIIe sommet de la Francophonie, qui s’est déroulé à Montreux du 22 au 24 octobre, avaient tout prévu pour la quarantaine de chefs d’État et de gouvernement venus sur les bords du lac Léman.
Les candidats à la concession du port se pressent, alors que la dernière tranche ne sera livrée qu’à la fin de l’année et que l’appel d’offres n’est toujours pas bouclé. Pour l’instant, les Marocains tiennent la corde.
Dans son discours officiel, Nicolas Sarkozy a profité du XIIIe sommet de l’Organisation internationale de la francophonie à Montreux (Suisse), du 22 au 24 octobre, pour préparer la présidence française du G20 et du G8. L’occasion également de rencontrer certains homologues africains.
Le XIIIe sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) consacre, une nouvelle fois, le poids du continent. La plupart des chefs d’Etat africains ont fait le déplacement de Montreux, en Suisse. L’occasion aussi pour Nicolas Sarkozy de préparer la présidence française du G20 et G8.