La justice française a déclaré irrecevable la requête en restitution de l’immeuble qui abrite l’ambassade de Guinée équatoriale à Paris. Les lieux avaient été officiellement saisis – bien que la décision n’ait pas été appliquée – après la condamnation du vice-président Teodoro Obiang Mangue, dit Teodorín.
Le 20 avril, l’État équato-guinéen a plaidé devant la justice française pour contester une nouvelle fois la décision de confiscation de l’immeuble parisien situé au 42 de l’avenue Foch qui abrite son ambassade. Un match juridique qui dure déjà depuis dix ans…
Depuis plusieurs mois, Malabo tente de relancer le bras de fer avec Paris autour du dossier des biens mal acquis. Sa stratégie : remettre en question la condamnation du vice-président Teodoro Nguema Obiang Mangue, pourtant confirmée par la Cour de cassation en juillet 2021. Explications.
Le tribunal militaire de Yaoundé leur a infligé des peines de 30 à 35 ans de prison pour avoir participé, en 2017, à une tentative d’assassinat du président équato-guinéen.
Le parti au pouvoir à Malabo devait désigner fin novembre son candidat pour la prochaine élection présidentielle. Mais les rivalités familiales entre les partisans de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo et ceux de son fils, Teodorín, ont tout bouleversé. Explications.
Alors que le parti au pouvoir s’apprête à désigner Teodoro Obiang Nguema Mbasogo comme candidat à la présidentielle de 2023 (à moins que son fils Teodorin ne parvienne à inverser la tendance), les opposants exilés accentuent la pression diplomatique. Jeune Afrique dévoile les détails de leur stratégie.
Les biens confisqués par les États-Unis au vice-président Teodoro Nguema Obiang Mangue seront rendus aux Équato-Guinéens. Sous forme de médicaments et de doses de vaccins anti-covid.
Le 28 juillet, la Cour de cassation française a condamné le vice-président équato-guinéen, Teodoro Nguema Obiang Mangue, dans l’affaire des « biens mal acquis ». Son père menace désormais la France de représailles économiques et diplomatiques.
La Cour de cassation française a confirmé la condamnation de Teodoro Nguema Obiang Mangue – dit Teodorín. Le vice-président de la Guinée équatoriale avait été condamné à trois ans de prison avec sursis dans l’affaire des « biens mal acquis », en février 2020. Une condamnation qui pourrait avoir des conséquences diplomatiques lourdes.
La Cour de cassation française examine le 16 juin le recours déposé par Teodoro Nguema Obiang Mangue, le vice-président équato-guinéen, contre sa condamnation dans l’affaire des « biens mal acquis ». Voici les dessous d’une bataille en réalité plus diplomatique que juridique.
Le procès opposant la Guinée équatoriale au Gabon au sujet de la souveraineté territoriale sur l’île de Mbanié s’est ouvert à la Cour internationale de justice. « Jeune Afrique » a eu accès aux premiers éléments d’un bras de fer qui doit se poursuivre jusqu’en 2022.
La justice espagnole a réactivé le mandat délivré contre Cándido Nsue Okomo, soupçonné de s’être offert à Madrid les services d’un ancien policier pour enquêter sur Gabriel Mbega Obiang Lima.
Le bilan des explosions qui ont ravagé un camp militaire à Bata, dimanche 7 mars, ne cesse de s’alourdir. Le chef de l’État a ordonné une enquête et lancé « un appel à la communauté internationale à soutenir la Guinée équatoriale ».
Exilé à Dubaï, le beau-frère du président équato-guinéen s’est engagé à se présenter le 9 mars devant le juge. Jeune Afrique a eu accès aux éléments en possession des enquêteurs espagnols.
Alors que Malabo prépare – déjà – l’échéance présidentielle de 2023, l’économie, très peu diversifiée, a gravement pâti des effets de la pandémie de Covid-19.
La compagnie française, qui voit déjà son planning de vols aminci par la crise du Covid, doit composer avec les autorités équato-guinéennes et congolaises pour maintenir son calendrier.
Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a remanié son gouvernement le 20 août et confirmé à son poste le Premier ministre, Francisco Pascual Obama Asue. Pourtant, ce dernier était annoncé partant. Voici les coulisses de ces changements.
Première dame et femme d’affaires, Constancia Mangue Nsue Okomo a tissé sa toile en politique. Au point de tenir les rênes d’un pays à la tête duquel elle compte bien placer son fils Teodorín.
Trois ans de prison avec sursis, 30 millions d’euros d’amende et des confiscations : la justice française a aggravé lundi 10 février en appel la condamnation du vice-président de Guinée équatoriale Teodoro Nguema Obiang Mangue, jugé coupable de s’être frauduleusement bâti un patrimoine considérable en France.
L’Union africaine a inauguré le 9 janvier le siège du Comité des services de renseignement et de sécurité en Afrique (Cissa), en marge de la première journée de son sommet des chefs d’État. L’occasion pour Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de livrer un réquisitoire contre « les ingérences étrangères ».
Malgré ses déboires judiciaires – le verdict de son procès en appel dans l’affaire des « biens mal acquis » est attendu à Paris le 10 février –, « Teodorín », 51 ans, est le favori pour la succession de son père, dont il prend déjà le relais sur le plan diplomatique. Le vice-président équato-guinéen compte des proches dans tous les rouages du pouvoir.
Franck Paris, le conseiller Afrique du président Emmanuel Macron, recevra à la fin de la semaine du 20 janvier, au 2, rue de l’Élysée, à Paris, Miguel Oyono Ndong Mifumu, l’ambassadeur de Guinée équatoriale en France.
Alors que le procès devant la cour d’appel de Paris de Teodoro Obiang Nguema Mangue, vice-président de Guinée équatoriale, poursuivi dans l’affaire des biens mal acquis, approche de sa conclusion, le père de l’accusé et président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo sollicite le soutien de différents chefs d’État étrangers.
Jugé en appel à Paris depuis le 9 décembre dans l’affaire des « biens mal acquis » (BMA), Teodoro Nguema Obiang Mangue (« Teodorín »), le vice-président équato-guinéen, n’est pas présent à son procès.
Depuis le 20 novembre, Agapito Mba Mokuy est officiellement le candidat de l’Afrique à la présidence du conseil exécutif de l’Unesco, poste auquel il pourrait être nommé le 29, à l’occasion d’une cérémonie au siège de l’organisation, à Paris.
Les dirigeants des six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), réunis en sommet extraordinaire à Yaoundé vendredi 22 novembre, ont annoncé leur volonté de faire évoluer le franc CFA, présenté par certains comme une monnaie « héritée de la colonisation ».