Prises d’otages, sabotage des installations pétrolières, trafics en tout genre… Dans le maelström de la bataille pour le contrôle de l’or noir, il est de plus en plus difficile de distinguer l’activisme politique du gangstérisme.
Cerveau de l’opération qui, en mars 2004, devait renverser le président équatoguinéen Obiang Nguema, Simon Mann a écopé de trente-quatre ans de prison. Retour sur l’un des plus lamentables fiascos de l’histoire du mercenariat.
« Je suis désolé », a plaidé devant un tribunal de Malabo le mercenaire Simon Mann, accusé d’avoir voulu renverser le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, en 2004.
Contre 2,2 milliards de dollars, le pétrolier américain cède ses parts à la Société nationale des hydrocarbures (GEPetrol). Dans l’intérêt des deux parties.