Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Avec la retraite programmée de José Eduardo dos Santos, arrivé au pouvoir comme lui en 1979, le président équato-guinéen reste seul au sommet du podium des chefs d’État africains ayant passé le plus d’années au pouvoir.
Dans un communiqué conjoint, une coalition d’ONG congolaises et internationales, dont Global Witness, Rainforest Foundation et Greenpeace, ont appelé l’Agence française de développement (AFD) à rejeter l’un de ses projets, financé par un programme norvégien de lutte contre la déforestation dans les pays tropicaux, estimant qu’il va aggraver la déforestation au lieu de la combattre. Ce que conteste l’AFD.
La Libye et le Nigeria pourraient se voir imposer des quotas de production par l’Opep, d’après le « Wall Street Journal » qui cite des délégués du cartel. Ces deux pays membres de l’organisation avaient jusqu’ici été épargnés par de telles limitations, du fait des difficultés qu’ils traversaient.
Dans le procès des « biens mal acquis » (BMA), qui implique notamment Teodoro Nguema Obiang Mangue, le vice-président de la Guinée équatoriale, le jugement ne sera rendu que le 27 octobre. Mais les Équato-Guinéens s’activent en coulisses, notamment sous la houlette de leur ambassadeur en France, Miguel Oyono Ndong Mifumu.
Le procès des biens-mal-acquis se poursuivait jeudi à la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Alors que le procureur a requis trois ans de prison et 30 millions d’euros d’amende contre Teodoro Nguema Obiang Mangue, la défense jouait ses dernières cartes avant le jugement, que le tribunal prononcera le 27 octobre. Récit.
Le procureur du parquet national financier a requis 3 ans de prison et 30 millions d’euros d’amende, mercredi, à l’encontre de Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, jugé à Paris dans le cadre du procès des « biens mal acquis ».
Il était le témoin le plus attendu au procès des « biens mal acquis », à Paris. Des diamants sierra-léonais au pétrole angolais, des geôles zimbabwéennes à la prison de Black Beach, l’ex-mercenaire dévoile en exclusivité pour Jeune Afrique son parcours interlope.
Le procès des «biens mal acquis» devrait livrer son verdict le 6 juillet prochain, sauf retournement de situation ou mise en délibéré. L’aboutissement de dix ans de procédures que Jeune Afrique se propose de vous résumer en une infographie.
Les poursuites annoncées à la suite d’un incident d’audience par William Bourdon, avocat de Transparency International, partie civile au procès du vice-président de Guinée équatoriale dans l’affaire des « biens mal acquis », procèdent d’une « gesticulation médiatique », a dénoncé dimanche le conseil de Teodorin Obiang.
Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait jeudi. Au programme : l’examen d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), qui a donné lieu à des passes d’armes entre juristes chevronnés.
Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait mercredi. Et il a été question, entre autres, de « sentiments ».
Alors que, le 19 juin, à Paris, s’est ouvert le procès des biens mal acquis (BMA), dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue (« Teodorín »), vice-président de la Guinée équatoriale, est accusé de détournement de fonds publics, de blanchiment et d’abus de confiance, la cour provinciale de Malabo a rendu, le 12 juin, un jugement dans cette même affaire.
Le procès dit des biens mal acquis, dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait lundi, avec l’audition, tant attendue, des témoins. Récit.
Selon l’AFP, la fille et le gendre du président congolais Denis Sassou-Nguesso ont été mis en examen cette semaine dans l’enquête sur l’origine du patrimoine de l’entourage de dirigeants africains en France.
Jeudi 22 juin, au troisième jour d’audience du procès dit des biens mal acquis, dans lequel le vice-président équato-guinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue est accusé de détournement de fonds publics, de blanchiment et d’abus de confiance, la défense était à pied d’œuvre, tout en pensant déjà à l’étape cruciale de l’audition des témoins. Compte-rendu.
Pour la deuxième fois en huit mois, un avion immatriculé en Guinée équatoriale est cloué au sol du fait d’un litige entre l’opérateur de téléphonie Orange et l’État équato-guinéen.
Le procès des « biens mal acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait ce mercredi à Paris. Jeune Afrique y était.
Le célèbre mercenaire d’origine britannique et de nationalité sud-africaine avait été condamné en 2008, à Malabo, à 34 années de prison pour une tentative de coup d’Etat, en 2004, contre Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Après avoir présenté ses excuses, il avait finalement été gracié en 2009.
Le procès du vice-président de Guinée équatoriale, Teodoro Nguema Obiang Mangue (appelé Teodorín ), s’est ouvert à Paris ce lundi 19 juin. Les arguments soulevés par la défense pour faire reporter cette procédure historique ont été retoqués par les juges. Les débats ont été vifs. Chronique.
Le procès dit des « biens mal acquis » n’est pas encore ouvert mais le bras de fer est bien lancé. Vendredi, la Guinée équatoriale a fustigé, dans une conférence de presse, un « tribunal médiatique » et « une volonté de nuire à [ses] dirigeants », évoquant notamment Teodoro Nguema Obiang Mangue, le fils du président.
À quelques jours de l’ouverture du procès des Biens mal acquis à Paris, Human Rights Watch (HRW) a publié jeudi un rapport à charge sur les budgets alloués par Malabo à la santé et à l’éducation. Pour l’ONG, affairisme et gaspillages guident les choix gouvernementaux. Ce dont se défendent les autorités équato-guinéennes.
Entre le 19 juin et le 6 juillet, neuf audiences sont prévues au tribunal correctionnel de Paris pour le procès des « biens mal acquis ». Teodoro Nguema Obiang Mangue, vice-président de la Guinée équatoriale, est accusé de s’être enrichi avec l’argent du Trésor public.
Après l’introduction de la biométrie en RDC, le passeport congolais est devenu l’un des plus onéreux du monde. Mais même à 164 euros pièce, ce n’est pas le le plus cher d’Afrique !
Confrontée à l’effondrement des cours du pétrole, la Guinée équatoriale doit se réinventer pour sortir d’une économie presque entièrement dépendante de l’or noir, qui représente 90 % de ses revenus.
La Guinée Équatoriale est entrée dans l’ère post-Zafiro, du nom du champ pétrolifère qui a forgé sa croissance. Uniquement porté par le pétrole, l’État n’a pas renforcé les autres secteurs économiques. Le pays doit aujourd’hui se réinventer pour retrouver la croissance.
Le plan de réajustement a permis de réduire les dépenses. Pour le ministre des Finances et du Budget, l’urgence est désormais de mobiliser les partenaires pour accélérer la diversification.
Le réseau routier du pays surclasse largement celui de ses voisins. Ce progrès a un prix : une dizaine de guichets ont été installés, que les usagers ont du mal à accepter. Et ce n’est pas fini…