En 2017, Conakry a été désignée « capitale du mondiale du livre » par l’Unesco. Elle passera la main à Athènes, en avril prochain. Que restera-t-il ce cette année marquée par de nombreux événements culturels, en particulier littéraires ? De nombreux jalons et, surtout, la flamme de l’envie de lire allumée dans le cœur de nombreux jeunes Guinéens.
À seulement 200 km de la capitale, en passant par Boffa et le lac de Koba, échappée belle jusqu’à la plus longue et la plus emblématique plage de sable blanc du pays.
De Paris à Marseille, la compagnie poursuit sa tournée triomphale en France. Pendant ce temps, les athlètes et apprentis acrobates qui s’apprêtent à rejoindre la troupe s’entraînent à Conakry.
La « journée ville morte », lancée à l’appel de l’opposition, couplée à une grève du syndicat des enseignants a paralysé Conakry, ce lundi. Le centre-ville de Kaloum, habituellement calme, n’a pas été épargné par les manifestations de jeunes, excédés par la fermeture des classes depuis un mois.
Des vêtements blancs, couleur de deuil, et un foulard rouge pour marquer leur détermination : 5 000 à 10 000 femmes ont marché, mercredi 7 mars, dans les rues de la capitale guinéenne, pour dénoncer des « violences policières meurtrières » lors des manifestations politiques.
La liste indépendante qu’elle conduisait dans l’une des plus stratégiques communes de la capitale est arrivée en tête aux municipales. Rencontre avec Aminata Touré.
Le Belge Paul Put (61 ans) a été nommé ce vendredi à la tête du Syli national, suite à l’éviction de Lappé Bangoura. Le Flamand, qui a déjà dirigé trois sélections africaines (Gambie, Burkina Faso, Kenya) a en majorité laissé de bons souvenirs. Même si son nom est associé à une affaire de corruption dans son pays…
Si le président turc Recep Tayyip Erdogan ne passera pas en Guinée durant sa tournée africaine, qui s’achève ce vendredi, les Guinéens s’inspirent de plus en plus de la mode turque. Les programmes immobiliers sont ainsi en plein boom sur la presqu’île de Kaloum, en Guinée, avec, pour le résidentiel, une présence de plus en plus remarquée des promoteurs turcs.
La Guinée aura bientôt un nouveau sélectionneur, après le renvoi de Lappé Bangoura en plein Championnat d’Afrique des nations. Mamadou Antonio Souaré, le président de la Fédération guinéenne de football (Feguifoot) épluche les candidatures qu’il a reçues. Avec une priorité : nommer un coach étranger.
La journée « ville morte » à Conakry s’est soldée lundi par la mort d’un jeune homme. D’autres personnes ont été blessées. L’opposition guinéenne, à l’origine de l’opération, a accusé la gendarmerie d’être responsable de ces violences.
Ce lundi a été décrété « journée ville morte » à Conakry et dans ses environs par l’opposition guinéenne, qui conteste les résultats des élections communales donnant la victoire au RPG, le parti au pouvoir, et exige un nouveau scrutin. Des manifestations ont démarré dans plusieurs quartiers.
L’éditorial récemment consacré par François Soudan aux élections communales en Guinée a suscité chez certains de vives réactions. Le parti de Cellou Dallein Diallo nous a adressé cette mise au point, que nous publions volontiers.
Près de deux semaines après les élections communales du 4 février, la majeure partie des résultats a été proclamée. Dans les communes urbaines, le RPG Arc-en-ciel, au pouvoir, est donné largement en tête. Mais il se trouve au coude à coude avec l’UFDG dans de nombreuses villes du pays, où l’UFR pourrait jouer les arbitres.
Après toute une vie en Occident, Emma Camara – dirigeante d’une agence de communication – a décidé de s’installer en Guinée-Conakry, en avril dernier. Rencontre.
Face à l’escalade de violence suite aux élections communales du 4 février, le ministre de l’Unité nationale et de la Citoyenneté, Khalifa Gassama Diaby, a prévenu : « Nous établirons la liste de tous ceux qui appellent à la haine ethnique. S’il y a des problèmes, ils répondront devant la Cour pénale internationale »…
Des heurts ont opposé lundi manifestants et forces de l’ordre en Guinée, causant la mort d’au moins deux jeunes hommes. Le pays est actuellement sous tension, avec des protestations liées aux résultats des élections locales du 4 février et la reprise d’une grève des enseignants.
Une fois encore, la Guinée est en proie à une vague de violences postélectorales, aux lendemains du scrutin du 4 février dernier. Comment faut-il comprendre ces poussées récurrentes ?
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a débuté vendredi soir la proclamation officielle des résultats des élections communales tenues le 4 février. Ces résultats très partiels, qui ne concernent que seize circonscriptions, consacrent l’avance du RPG Arc-en-ciel, au pouvoir, et son principal challenger : l’Union des forces démocratiques de Guinée.
Alors que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) doit annoncer des résultats partiels ce vendredi, la Guinée est en proie à une vague de violences postélectorales. Au moins sept personnes ont été tuées en moins d’une semaine. Des affrontements récurrents que certains expliquent par le déficit de confiance entre les acteurs et la fragilité de l’État.
Au moins 50 personnes ont été interpellées dans le centre de la Guinée où des violences postélectorales ont fait cinq morts, ont indiqué jeudi les autorités locales.
Alors que le pays est toujours dans l’attente des résultats des élections municipales du 4 février, de nouveaux heurts post-électoraux ont entraîné la mort de cinq nourrissons dans des incendies. L’UNOWAS a notamment appelé la population à la « sérénité ».
Contestation des résultats par l’opposition, faible participation, délai de publication des résultats… Au lendemain des premières élections locales depuis 2005, le climat est tendu en Guinée. Amadou Salif Kébé, président de la Commission électorale indépendante, revient pour Jeune Afrique sur les principaux points de crispation et assure, malgré les nombreuses critiques, que les élections se sont globalement bien déroulées.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en Guinée, Amadou Salif Kébé, a promis lundi une publication d’ici à la fin de la semaine des résultats des élections municipales de dimanche. L’opposition a dénoncé des « fraudes massives » lors du vote.
Plusieurs ténors de l’opposition n’ont pas attendu longtemps après la fermeture des bureaux de vote, dimanche, pour dénoncer ce qu’ils estiment constituer des fraudes « à l’échelle nationale » lors des élections locales, les premières depuis 2005.
Les Guinéens ont commencé à voter dimanche pour désigner leurs conseillers municipaux, avec pour la première fois une compétition a priori ouverte dans un pays marqué par plus de 50 ans de régimes autoritaires.
S’il s’est engagé à racheter les parts de Rio Tinto sur le mont Simandou, le groupe chinois ralentit le mouvement. En attendant des jours meilleurs sur le marché du fer…
La campagne des élections locales en Guinée s’est achevée vendredi, avec pour la première fois une compétition a priori ouverte pour désigner les conseils municipaux, dans un pays marqué par plus de 50 ans de régimes autoritaires.
Sans cesse reportées depuis 2010, les élections communales se tiendront finalement ce dimanche 4 février. Dans un entretien exclusif à Jeune Afrique, le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Me Salif Kébé, assure que les conditions d’un bon déroulement du scrutin sont réunies.
Le 17 janvier, à Casablanca, le sélectionneur guinéen Lappé Bangoura a été démis de ses fonctions après la défaite de son équipe face au Maroc lors de la 2e journée du Championnat d’Afrique des nations (CHAN). Un cas plutôt rare mais pas exceptionnel. En Afrique, certains entraîneurs ont déjà fait leurs valises dans des conditions rocambolesques…