Après la mort mercredi du patient atteint d’Ebola au Texas, Washington et Ottawa ont annoncé le renforcement du contrôle des voyageurs en provenance de tous les pays africains touchés par le virus.
Moins touché que le Liberia et le Sierra Leone, le pays espère maîtriser l’épidémie d’Ebola. Un objectif que ses frontières poreuses et son territoire mal contrôlé rendent difficile à atteindre.
Lors d’une réunion de l’Organisation de coopération et de développement (OCDE), tenue lundi à Paris, l’Union africaine (UA) a plaidé pour l’envoi de plus de personnel pour mieux lutter contre Ebola en Afrique de l’Ouest.
La progression d’Ebola n’en finit plus d’affoler à travers le monde. Jeudi, une conférence s’est ouverte à Londres afin d’appeler la communauté internationale à accroître son aide financière face à une épidémie qui toucherait cinq nouvelles personnes par heure en Sierra Leone.
Qu’ils soient animistes, chrétiens ou musulmans, les leaders religieux du continent possèdent souvent une influence considérable sur les plans politique et économique. Connaissez vous les plus importants d’entre eux ?
Du Nigeria au Burundi en passant par la Côte d’Ivoire et la Centrafrique, les élections présidentielles, législatives et locales sont nombreuses en 2015 sur le continent africain. « Jeune Afrique » vous propose une carte interactive pour y voir plus clair.
L’épidémie de fièvre hémorragique Ebola a franchi le cap des 3 000 morts, le virus ayant tué près de la moitié des quelque 6 500 personnes infectées, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié samedi.
Plusieurs organisations de droits de l’homme guinéennes et internationales ont dénoncé, samedi, l’absence de justice, à la veille du cinquième anniversaire du massacre du 28 septembre 2009, au stade de Conakry, où 157 personnes avaient été tuées par l’armée guinéenne.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé vendredi une enveloppe supplémentaire de 130 millions de dollars en faveur des trois pays les plus frappés par Ebola (Guinée, Liberia, Sierra Leone) qui bénéficient déjà de plans d’aide de l’institution.
Les dirigeants africains ont-ils pris suffisamment tôt la mesure du danger que représentait le virus Ebola ? Pour tenter de répondre à cette question, nous avons répertorié les principales déclarations des chefs d’État d’Afrique de l’Ouest ou des représentants d’institutions régionales depuis le début de l’épidémie, en les rapprochant du nombre de morts recensés au moment où ils s’exprimaient.
Une semaine après le meurtre de membres d’une équipe en campagne de sensibilisation sur Ebola dans le sud de la Guinée, 27 personnes ont été arrêtées, a annoncé mercredi le ministre guinéen de la Justice.
Tandis que le virus se propage, les États du monde entier se mobilisent pour enrayer l’épidémie. À chacun sa méthode : l’imagination aussi, c’est contagieux !
Dans une étude publiée par le « New England Journal of Medicine », l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti le 23 septembre que plus de 20 000 personnes seront infectées par le virus Ebola à début novembre si les mesures de contrôle de l’épidémie ne sont pas renforcées en Afrique de l’Ouest.
Selon un dernier bilan daté du 18 septembre et publié lundi par de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’épidémie d’Ebola a déjà fait 2 793 morts en Afrique de l’Ouest, sur 5 762 cas détectés.
L’enquête sur le massacre du 28 septembre 2009 au stade de Conakry reprend. Des magistrats guinéens devraient prochainement interroger à nouveau, à Ouagadougou, l’ancien chef de la junte Moussa Dadis Camara.
Les corps de huit personnes ont été retrouvés jeudi dans la région de N’Zérékoré (sud de la Guinée). Ils étaient tous membres d’une mission de sensibilisation au virus Ebola attaquée par les villageois.
Dans la lutte contre le virus Ebola, qui a déjà fait 2 630 morts, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la recherche d’un sérum a provoqué des effets pervers. L’OMS a ainsi dénoncé un nouveau commerce : celui du sang de personnes ayant survécu au virus. Explications.
Le Sierra Leone s’apprête à lancer une opération géante de porte-à-porte à destination de ses six millions d’habitants. La population est invitée, à partir de jeudi soir, à rester confinée pendant trois jours afin de recevoir la visite d’un des 30 000 agents mobilisés par l’État contre le virus Ebola.
Les pays ouest-africains les plus touchés par Ebola espèrent un tournant grâce à l’aide militaire promise mardi par les États-Unis. Autre motif d’espoir : l’examen, ce jeudi, par le Conseil de sécurité de l’ONU, d’un projet de résolution visant à juguler l’épidémie.
Barack Obama a annoncé mardi soir le déploiement de 3 000 militaires américains en Afrique de l’Ouest pour lutter contre la propagation d’Ebola. Point par point, voici ce que prévoit Washington pour stopper le virus tueur.
À l’issue d’une réunion à huis-clos à Genève, mardi, le Dr David Nabarro, coordonnateur de l’ONU contre l’épidémie d’Ebola, a indiqué que les Nations unies avaient besoin d’un milliard de dollars pour lutter contre la fièvre hémorragique en Afrique de l’Ouest.
La mobilisation internationale contre Ebola a reçu vendredi un renfort de taille, Cuba annonçant l’envoi de 165 médecins et infirmiers en Sierra Leone, un déploiement encore loin de remédier à la pénurie criante de personnels médicaux face à l’épidémie en Afrique de l’Ouest.
La lutte contre Ebola, c’est aussi un enjeu de communication. Pour les chefs d’État et de gouvernement. Pour les ONG. Et pour les compagnies aériennes.
La Guinée et le Gabon étaient les derniers pays dans lesquels BNP Paribas ne détenait pas la majorité dans sa filiale locale. Ce ne sera bientôt plus le cas à Conakry.
Distincte de celle qui frappe l’Afrique de l’Ouest, l’épidémie d’Ebola progresse dans le nord-ouest de la RDC. Le dernier bilan fait état de 37 décès. En Guinée, les autorités sanitaires ont annoncé le lancement d’un « nouveau plan d’urgence sanitaire accéléré ».
Dans un premier roman symphonique, Le Ravissement des innocents, l’écrivaine ghanéo-nigériane, Taiye Selasi, qui partage sa vie entre trois continents, évoque le destin de ces « afropolitains » d’ici et d’ailleurs.