Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le bilan de l’épidémie de fièvre Ebola qui frappe la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone depuis mars a désormais franchi le cap des 600 morts.
Après une accalmie au mois d’avril, la grave épidémie de virus Ebola qui touche l’Afrique de l’Ouest est repartie à la hausse ces derniers jours. Selon des responsables de l’OMS, celle-ci peut encore « être stoppée ».
L’Afrique de l’Ouest, dont onze pays sont réunis à Accra en compagnie d’experts internationaux mercredi et jeudi, tente de riposter à l’épidémie d’Ebola qui a déjà fait 467 morts en Sierra Leone, en Guinée et au Liberia. Selon l’Organisation mondiale de la Santé, 129 décès ont été comptabilisés dans la dernière semaine.
Ebola tue maintenant au Liberia et en Sierra Leone, mais c’est toujours la Guinée qui paie le plus lourd tribut. Reportage dans un hôpital de Conakry, où l’on se bat pour sauver des vies.
Le torchon brûle entre le président guinéen, Alpha Condé, et l’organisation Médecins sans frontières (MSF). Lundi 23 juin, celle-ci avait ainsi estimé que l’épidémie était hors de contrôle. Or, selon Alpha Condé, « la situation est bien maîtrisée ».
L’Assemblée nationale guinéenne a adopté le 24 juin la convention relative à la mise en oeuvre de Guinea Alumina Corporation (GAC). Ce projet, qui demandera des investissements de l’ordre de 5 milliards de dollars, porte sur le développement de la mine de bauxite de Sangarédi.
L’ONG Médecins sans frontières (MSF) a affirmé lundi que la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone comptaient « 60 foyers actifs » de fièvre hémorragique, en grande partie due au virus Ebola.
Une semaine après les déclarations du Général Sékouba Konaté – qui affirme avoir déposé auprès de la Cour pénale internationale (CPI) une liste de noms de personnes impliquées, selon lui, dans le massacre du 28 septembre 2009, le nouveau ministre guinéen de la Justice, Cheick Sako, a accepté de répondre aux questions de « Jeune Afrique ».
Une hausse des cas de fièvre hémorragique, essentiellement due au virus Ebola, suscite l’inquiétude des Guinéens, pays le plus affecté par l’épidémie qui affecte aussi la Sierra Leone et le Liberia voisins. Depuis janvier, on dénombre 528 cas de fièvre hémorragique dans les trois pays.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le virus Ebola continue de se propager dans trois pays d’Afrique de l’Ouest. Le bilan s’alourdissant, l’épidémie actuelle est d’ores et déjà la plus grave jamais recensée dans la sous-région.
Le général Sékouba Konaté affirme avoir transmis à la CPI les noms des « véritables commanditaires » du massacre du 28 septembre 2009. La meilleure défense, c’est l’attaque…
Vingt ans sont passés entre l’invitation à prospecter sur le mont Simandou adressée par la Guinée au groupe minier Rio Tinto et la décision de mettre à nouveau en veilleuse le projet minier, au potentiel exceptionnel en 10 étapes-clés.
Bolloré Africa Logistics et Blue Solutions, deux filiales du groupe Bolloré, ont annoncé le 12 juin l’inauguration de la première « blue zone » de Guinée. Utilisant des panneaux solaires et des batteries, cette zone de 4 hectares se veut un lieu de vie au coeur de Conakry.
Après la signature du mégaprojet d’exploitation de fer en Guinée, le groupe anglo-australien table déjà sur l’exportation vers la Chine et l’Europe à l’horizon 2018.
Si au moment où vous lisez cet article vous éprouvez le besoin incontrôlable de danser, ou, au contraire, de vous poser au calme avec un fond sonore invitant à la rêverie, vous devriez trouver ici votre bonheur. Au menu de cette playlist : l’incursion de la Guinéenne Sia Tolno dans le monde très masculin de l’Afrobeat, la disco brésilienne de Da Cruz, ainsi que trois mix redoutables avec « Yasiin Gaye (Side Two) », « Baduist », et « The legacy of James Brown ».
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué mercredi que, en moins de six mois, l’épidémie de fièvre Ebola a déjà fait 208 morts parmi 328 cas suspects en Guinée. Un bilan revu à la hausse par rapport au précédent qui faisait état d’un peu moins de 200 personnes décédées.
La Guinée a signé, le 26 mai, le cadre d’investissement du mégaprojet minier du Mont Simandou, au Sud-Est du pays, piloté par Rio Tinto. Doté de réserves estimées à 2,25 milliards de tonnes de minerai à haute teneur en fer, il pourrait produire 100 millions de tonnes à pleine capacité. Kerfalla Yansané, ministre des Mines et de la Géologie de Guinée, a accordé un entretien à « Jeune Afrique ».
Le tribunal de la Cour commune de justice et d’arbitrage (CCJA) de l’Ohada a condamné la Guinée le 22 mai dernier dans le litige l’opposant à Getma, la filiale guinéenne de NCT Necotrans, au sujet de la concession du port de Conakry.
Le « cadre d’investissement » pour l’exploitation des gisements de fer du Simandou (blocs 3 et 4), a été signé ce lundi 26 mai à Conakry. Il permet à Rio Tinto de constituer un groupement pour financer et construire les infrastructures du projet. Point clef : celles-ci devront être ouvertes à d’autres usagers. Le coût total du projet est estimé à 20 milliards de dollars par le ministère guinéen des Mines
Le ministre guinéen des Droits de l’homme l’affirme : Conakry est résolu à rompre avec l’impunité, notamment celle liée à la torture. Mais manque encore de moyens et d’expertise.
Le groupe Charles Kader Gooré International (CKG) s’associe à l’espagnol Inagrosa pour implanter une usine d’engrais à Conakry, en Guinée. « Jeune Afrique » vous révèle en exclusivité les modalités de cet accord.
Depuis novembre 2013, le Maroc accueille de jeunes imams maliens pour un cycle de formation poussée. Une expérience qui devrait s’étendre à d’autres voisins du Sud.
Saran Daraba Kaba, secrétaire générale de l’Union du fleuve Mano, est persuadée que sa région « peut devenir le poumon économique de l’Afrique de l’Ouest ».
Depuis novembre 2013, le royaume accueille de jeunes imams maliens pour un cycle de formation poussée. Une expérience qui devrait s’étendre à d’autres voisins du Sud.
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Le principal parti d’opposition guinéen a désormais recours à des médiateurs étrangers pour tenter de trouver une solution à la crise qu’il traverse depuis plusieurs mois.
La guerre entre les géants miniers Rio Tinto (anglo-australien) et Vale (brésilien) autour du gisement de fer guinéen du Simandou – le plus important du continent – se joue désormais sur le terrain judiciaire.