Le rejet par l’opposition des résultats des législatives du 28 septembre en Guinée, remportées par le pouvoir, faisait craindre samedi des violences dans un pays où les manifestations sont le plus souvent réprimées avec brutalité par les forces de l’ordre.
Le parti au pouvoir et ses alliés en Guinée ont remporté les législatives du 28 septembre, selon les résultats publiés vendredi soir à Conakry par la commission électorale et aussitôt rejetés par l’opposition qui les a jugés « irréalistes ».
Rien ne va plus entre le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz et le président guinéen Alpha Condé. Accusé par ce dernier d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou, le magnat du diamant est décidé à se battre jusqu’au bout. Une enquête digne d’un vrai roman policier où tous les coups sont permis.
Rien ne va plus entre le président guinéen Alpha Condé et le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz, accusé d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou.
Rien ne va plus entre le président guinéen Alpha Condé et le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz, accusé d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou. Pour comprendre ce bras de fer, retour en 2010, lorsqu’Alpha Condé, fraîchement élu à la tête de l’État, entre en scène.
Rien ne va plus entre le président guinéen Alpha Condé et le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz, accusé d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou. Dans l’histoire de ce conflit aux allures de roman policier, la fin de l’année 2008 est décisive, car elle sonne l’arrivée au pouvoir d’un certain Dadis Camara.
Ancien cadre du ministère israélien de la Défense et de celui des Affaires étrangères, Asher Avidan a rejoint Beny Steinmetz en juillet 2006. Il préside BSGR, la société minière de l’homme d’affaires présente en Guinée, mais aussi en Sierra Leone, en Afrique du Sud, au Nigeria et en Tanzanie. Il revient sur les relations entre Alpha Condé et Beny Steinmetz, accusé par le pouvoir guinéen d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou.
Rien ne va plus entre le président guinéen Alpha Condé et le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz, accusé d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou. Et la note que la CIA aurait remise au chef d’État guinéen en août 2013 ne risque pas d’apaiser les hostilités.
Il aura fallu des années pour que se tiennent les élections législatives en Guinée, le 28 septembre dernier. Il aura fallu des semaines pour en publier des résultats consensuels…
Rien ne va plus entre le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz et le président guinéen Alpha Condé. Accusé par ce dernier d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou, le magnat du diamant est décidé à se battre jusqu’au bout. Retour en 2008, année de l’acquisition des blocs de Simandou.
L’ancien joueur et entraîneur français Bruno Metsu, qui avait mené le Sénégal en quarts de finale du Mondial 2002, est mort dans la nuit de lundi à mardi. Âgé de 59 ans, il était atteint d’un grave cancer contre lequel il luttait depuis plusieurs mois.
Plus de deux semaines après les élections législatives en Guinée, les premières depuis onze ans, le décompte des voix a repris à zéro dans la plus grande circonscription du pays, à Matoto. Ce qui devrait encore repousser la publication des premières tendances officielles.
Rien ne va plus entre le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz et le président guinéen Alpha Condé. Accusé par ce dernier d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou, le magnat du diamant est décidé à se battre jusqu’au bout. Portrait d’un businessman tout puissant.
La publication des résultats complets des législatives guinéennes du 28 septembre est encore retardée. Dimanche, représentants du pouvoir et membres de l’opposition en Guinée peinaient toujours à s’entendre sur des « vérifications » à Matoto, la plus grande circonscription électorale du pays.
La multiplication d’incidents provoqués par le parti au pouvoir en Guinée, donné battu dans la plus grande circonscription du pays, continuait samedi de retarder la publication des résultats complets des élections législatives guinéennes deux semaines après le vote.
La justice française a condamné le groupe français Bolloré à payer plus de 2 millions d’euros à la société NCT Necotrans dans le litige qui les opposait sur la concession du Port de Conakry. Le plaignant réclamait 100 millions.
Le constat d' »irrégularités » dans le déroulement des législatives guinéennes émis par les membres de la communauté internationale impliqués dans le processus électoral a été accueilli favorablement par l’opposition, mercredi. Mais celle-ci continue de demander l’annulation du scrutin et l’incertitude demeure sur la possibilité de déposer des recours devant la Cour suprême.
Des représentants de la communauté internationale en Guinée ont fait état, mardi soir, de « manquements » et d' »irrégularités » lors du scrutin du 28 septembre. De son côté, l’opposition réclame l’annulation des élections pour fraudes et menace d’appeler ses partisans à descendre dans les rues.
Dans un entretien accordé à l’AFP, Alpha Condé a appelé, mardi, les partis qui remettent en cause les résultats des législatives du 28 septembre à déposer un recours devant la justice. Une déclaration qui intervient au moment où l’opposition menace d’appeler à des manifestations à travers le pays pour dénoncer les « fraudes massives ».
L’opposition guinéenne a réitéré, lundi, sa demande d' »annulation pure et simple » des élections législatives du 28 septembre. Elle dénonce des « fraudes massives » et appelle ses partisans à rester « en alerte » dans la perspective d’éventuelles manifestations.
Selon des résultats partiels provisoires, le RPG, parti au pouvoir en Guinée, est en tête des élections législatives du 28 septembre. L’opposition exige d’ores et déjà l’annulation du scrutin pour fraude.
La communauté internationale tente d’éviter une explosion de violence en Guinée où l’opposition crie à la « fraude » et réclame l’annulation des législatives du 28 septembre, dont le pouvoir revendique la victoire sans attendre les résultats.
L’opposition guinéenne a officiellement demandé, vendredi, « l’annulation pure et simple » des élections législatives du 28 septembre et « invite ses sympathisants à se tenir prêts dans l’attente d’un mot d’ordre de manifestation dans les prochains jours ».
L’opposition guinéenne a annoncé, jeudi, le retrait de ses représentants de la Commission nationale de centralisation des votes du scrutin législatif du 28 septembre. Son porte-parole, Sidya Touré, explique à Jeune Afrique les raisons de cette décision. Interview.
L’opposition guinéenne a décidé, jeudi, de se retirer du processus de comptage des voix des législatives du 28 septembre. Son porte-parole Sidya Touré parle de « cinéma » et « casus belli ».
Les premiers résultats des législatives guinéennes du 28 septembre commencent à tomber. La commission électorale a publié, mardi soir, ceux issus du vote des Guinéens vivant au Mali, en France et en Belgique.
L’acheminement des procès-verbaux (PV) des bureaux de vote pour le comptage des voix des législatives du 24 septembre se poursuivait, mardi. Dénonçant « un tripatouillage électoral’, les principaux chefs de l’opposition ont annoncé qu’ils n’accepteraient pas les résultats du scrutin.
En conflit depuis des mois contre le diamantaire franco-israélien Beny Steinmetz, le président guinéen, Alpha Condé, a fait part de son agacement à son homologue français.
La Guinée attend toujours les premiers résultats des élections législatives du 28 septembre. Lundi, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) n’a pu donner aucune indication. Une situation qui risque d’entretenir nervosité et suspicion entre partisans du président Alpha Condé et militants de l’opposition.
Le comptage de voix se poursuivait dimanche en Guinée au lendemain d’élections législatives qui se sont déroulées dans le calme et ont mobilisé les électeurs en dépit de craintes de violences.