Le président de la transition Sékouba Konaté a fixé le second tour de l’élection présidentielle guinéenne au 7 novembre. Les deux candidats, Cellou Dalein Diallo et Alpha Condé, doivent effectuer une « tournée de sensibilisation » dans les régions troublées par les violences communautaires.
Sa proposition d’organiser le second tour de l’élection présidentielle le 31 octobre est contestée par le camp de Cellou Dalein Diallo. Pourtant, ce candidat n’était pas le plus difficle à convaincre quant au choix porté sur le Malien Siaka Sangaré pour présider la Ceni guinéenne. Une décision pour laquelle des leaders de plusieurs pays ont été consultés…
Le président de la Ceni a proposé que le second tour de la présidentielle soit organisé le 31 octobre. Il appartient au président de la transition, Sékouba Konaté, de confirmer cette date. Alpha Condé n’a « pas d’objection » à cette date mais Cellou Dalein Diallo réclame un nouveau report pour permettre le retour des populations « déplacées » suite aux violences ethniques.
Contrairement à ce qui avait été annoncé, la Ceni n’est pas parvenue à fixer une nouvelle date pour le second tour de l’élection présidentielle en Guinée.
La Guinée s’achemine-t-elle vers une nouvelle transition ? Après les troubles des derniers jours et le report du second tour de l’élection présidentielle, le général Sékouba Konaté n’exclut pas de procéder à une refonte du gouvernement et de la Ceni.
Le président de la transition en Guinée, le général Sékouba Konaté, a averti qu’il ne tolérerait pas « que des Guinéens soient traqués à cause de leur appartenance ethnique, religieuse ou politique » après les récentes violences dans le pays. Il a renvoyé dos à dos les partisants de Alpha Condé et Cellou Dalein Diallo, estimant que les auteurs des violences étaient « de tous les bords ».
Dans son discours officiel, Nicolas Sarkozy a profité du XIIIe sommet de l’Organisation internationale de la francophonie à Montreux (Suisse), du 22 au 24 octobre, pour préparer la présidence française du G20 et du G8. L’occasion également de rencontrer certains homologues africains.
Les deux candidats à l’élection présidentielle en Guinée, Alpha Condé et Cellou Dalein Diallo, ont chacun lancé « un appel au calme » à leurs militants, samedi, en appelant à bannir les tensions entre les ethnies, dans des déclarations séparées devant la presse. Le report sine die du second tour de la présidentielle et plusieurs incidents font craindre des violences.
La Guinée risque-t-elle de sombrer dans le chaos ? C’est ce que redoute une partie des Guinéens qui attendent avec impatience de la Ceni une date pour le second tour de l’élection présidentielle. Après les accusations mutuelles de violences du RPG et de l’UFDG, leurs leaders respectifs, Alpha Condé et Cellou Dalein Diallo, ont cependant appelé leurs militants au calme samedi.
Le second tour de la présidentielle guinéenne, qui devait se tenir dimanche 24 octobre, a été reporté. Le président de la Ceni justifie l’absence de nouvelle date par la nécessité d’évaluer la situation. Dans l’ombre, des militaires attendent leur heure.
À l’issue d’une réunion avec les responsables de l’organisation technique du second tour de l’élection présidentielle guinéenne, le nouveau président de la Ceni, Siaka Toumani Sangaré, a estimé que la date du 24 octobre serait « difficile à tenir ». Il doit rencontrer dans la matinée les leaders politiques du RPG et de l’UFDG pour prendre une décision dans la journée sur un éventuel et désormais probable report.
Selon le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, interrogé par l’AFP, l’hypothèse d’un report d’une semaine du second tour de l’élection présidentielle, toujours prévu le 24 octobre, serait envisagée. Mais les principaux intéressés, les candidats Alpha Condé et Cellou Dalein Diallo, ne se sont pas exprimés sur la question.
Les camps de Alpha Condé et de Cellou Dalein Diallo, tous deux finalistes pour l’élection présidentielle, ont approuvé la nomination du général malien Siaka Toumani Sangaré à la tête de la Ceni. Le second tour du scrutin paraît donc sauvé et devrait avoir lieu le 24 octobre, comme prévu.
Alors que le second tour de la présidentielle, toujours prévu le 24 Octobre, se rapproche à grand pas, les religieux guinéens multiplient les appels et prières pour la paix. Dans cette perspective, l’archevêque catholique de Conakry, Mgr Vincent Coulibaly, a publié « Il est temps de nous ressaisir », un document sans concession.
À la suite des violents affrontements du 18 octobre entre la police et des militants de l’UFDG, le général Sékouba Konaté a remplacé Louseny Camara à la tête de la Ceni. Un Malien jusqu’alors simple expert technique, Siaka Toumani Sangaré, est désormais chargé d’organiser le second tour de l’élection présidentielle du 24 ocotbre.
Les affrontements du 18 octobre entre des partisans de Cellou Dalein Diallo (UFDG) et la police ont fait au moins six blessés. À quelques jours du second tour de l’élection présidentielle, le président de la Ceni, Louseny Camara, cristallise toutes les tensions.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante est devenu un véritable enjeu du second tour de l’élection présidentielle guinéenne. Le parti de Cellou Dalein Diallo l’accuse de soutenir Alpha Condé, et réclame son éviction avant dimanche, sous peine de bloquer le processus électoral.
Annonce d’une date pour le second tour, soutien de la communauté internationale, engagement à former un gouvernement d’union nationale… En théorie, les conditions semblent réunies pour résoudre l’imbroglio de la présidentielle. Cellou et Alpha vont-ils s’entendre pour une élection dans la paix et la dignité, malgré le différend qui les oppose sur la Ceni ? Rien n’est moins sûr…
À dix jours de l’élection présidentielle, c’est un incident qui fait froid dans le dos : des éléments de la garde présidentielle ont fait une descente très musclée au siège de l’UFDG pour procéder à des arrestations. Leur cortège aurait été « caillassé par des inconnus ».
Les efforts du général Sékouba Konaté commencent à porter leurs fruits. Mardi 12 octobre, une rencontre entre les deux candidats Alpha Condé et Cellou Dalein Diallo a débouché sur leur engagement à former un gouvernement d’union nationale après l’élection. S’il y en a une…
Le haut fonctionnaire de 55 ans à la tête de l’Agence française de développement (AFD), Dov Zerah, préconise de recentrer les subventions sur 14 pays africains. Le point sur sa nouvelle stratégie… et sur les conditions de sa nomination.
La campagne électorale officielle en vue du second tour de l’élection présidentielle guinéenne a débuté lundi. Des désaccords persistent sur l’organisation du scrutin, mais, les deux candidats disent envisager un gouvernement d’union nationale, comme le général Sékouba Konaté l’a proposé.
L’Égypte, championne d’Afrique de football en titre, et l’Algérie, qualifiée pour la Coupe du monde 2010, ont été battues par le Niger et la Centrafrique respectivement.
Prévue le 7 octobre, la citation à comparaître du président de la Ceni, accusé de fraude par l’UFDG, a été reportée au 21 octobre. Soit à la veille du second tour de l’élection présidentielle, qui pourrait ainsi se trouver compromis.
Poissons ou mollusques, crabes ou plantes aquatiques… Selon les experts, 21 % des espèces sont menacées de disparition. Biodiversité et développement font rarement bon ménage.
La Présidence guinéenne a annoncé hier dans la soirée la date du second tour de la présidentielle, après deux reports successifs. Reste à savoir si elle sera acceptée par les finalistes Cellou Dalein Diallo et Alpha Condé.
Alors que la transition s’enlise, la volonté plusieurs fois affichée du général Sékouba Konaté de « claquer la porte » le rend de plus en plus… suspect. Avec pour conséquence une baisse de sa popularité.
Un an après le massacre du stade de Conakry, les responsables présumés n’ont toujours pas été inquiétés. En attendant, les deux candidats à la présidentielle guinéenne promettent la constitution d’une Commission Vérité et Réconciliation.