Paris n’intervient pas dans la présidentielle guinéenne. Ce qui n’empêche pas les dirigeants français d’avoir, parmi les candidats, un favori. Et un avis… très partagé.
Le président burkinabè, médiateur dans la crise guinéenne, a fait le déplacement à Conakry pour encourager l’organisation rapide du deuxième tour de l’élection présidentielle.
Le président burkinabè est arrivé dans la capitale guinéenne pour tenter de favoriser l’émergence d’un consensus sur la date du second tour de l’élection présidentielle.
En investissant autour de 10 milliards d’euros dans la région, grands producteurs mondiaux mais aussi juniors minières et sidérurgistes veulent sécuriser leurs approvisionnements face à une demande internationale toujours en hausse.
Pour tenter de contrer Cellou Dalein Diallo, qui a forgé de solides alliances et demeure favori pour le second tour de l’élection, Alpha Condé a conclu un accord inattendu avec Lansana Kouyaté, dont il ne partage pourtant pas toutes les positions politiques.
Impatience et inquiétude, à Conakry, avant le second round de la présidentielle. L’attente alimente les rumeurs les plus folles, tandis que les négociations continuent. Très courtisé, l’ancien Premier ministre Sidya Touré a finalement rallié Cellou Dalein Diallo, arrivé en tête le 27 juin. Reportage.
Le candidat de l’UFDG à l’élection présidentielle réclame que la date de l’organisation du second tour soit fixée au plus tôt. Et sous-entend que le Premier ministre Jean-Marie Doré serait responsable du retard enregistré.
L’Union des forces républicaines (UFR), de Sidya Touré, et la Nouvelle génération pour la République (NGR), de Ibrahima Abé Sylla, ont signé un accord le 28 juillet avec l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) de Cellou Dalein Diallo, arrivé en tête au premier tour de la présidentielle. En voici les principaux engagements.
L’UFR de Sidya Touré a officiellement conclu un accord avec le candidat Cellou Dalein Diallo dans l’optique du second tour. La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a proposé la date du 14 août pour l’organisation de ce dernier.
Cellou Dalein Diallo ou Alpha Condé ? Entre les finalistes de l’élection présidentielle, le cœur des candidats éliminés au 1er tour balance. Celui de Sydia Touré, le troisième homme (13,06 % des voix le 27 juin), n’est pas le moins hésitant.
Pour pallier une démographie en déclin, les autorités encouragent la venue d’étrangers, notamment francophones. Parmi eux, de nombreux Africains, à qui la France n’offre plus une telle hospitalité. Reportage.
« Jeune Afrique » passe les finalistes de l’élection présidentielle guinéenne au crible. Après le candidat de L’UFDG Cellou Dalein Diallo hier, présentation de celui du RPG, Alpha Condé. Celui qui a connu l’exil sous Sékou Touré et les geôles du régime Conté a enfin rendez-vous avec son destin. Il incarne le courage et la rupture avec le passé.
« Jeune Afrique » passe les finalistes de l’élection présidentielle guinéenne au crible. Avant le candidat du RPG Alpha Condé demain, présentation de celui de l’UFDG Cellou Dalein Diallo. Grâce à son profil de technocrate et à sa réputation d’homme posé, l’ancien ministre de Lansana Conté rassure. Mais il doit aussi répondre de ses années passées au pouvoir.
La Cour suprême de Guinée a proclamé les résultats définitifs du premier tour de l’élection présidentielle du 27 juin mardi soir aux environs de 20 heures. Cellou Dalein Diallo et Alpha Condé restent en tête.
La Cour suprême guinéenne doit proclamer les résultats définitifs du premier tour de l’élection présidentielle guinéenne mardi 19 juillet, d’après un des conseillers.
Cellou Dalein Diallo et Alpha Condé sont arrivés en tête du premier tour de l’élection présidentielle, le 27 juin. Les Guinéens vont devoir à présent départager deux candidats que tout oppose – parcours, personnalité et électorat.
Treize pays africains ont défilé le 14 juillet sur les Champs-Élysées, à Paris. Leurs armées ont été créées de toutes pièces il y a cinquante ans, lors des indépendances. Et, depuis, ont connu des fortunes diverses. État des lieux.
Le Premier ministre de la transition en Guinée, Jean-Marie Doré, a dénoncé l’attitude de certains « éléments incontrôlés » cherchant selon lui à « provoquer des désordres et déstabiliser le processus » en cours pour l’élection d’un président civil.
Après le scrutin présidentiel en Guinée, Sékouba Konaté, critiqué, a envisagé de se retirer du pouvoir. C’est son homologue malien qui l’a convaincu de rester, pour la stabilité de la transition.
Le fils aîné de l’ancien président guinéen Lansana Conté peut attendre libre son procès. Accusé d’être impliqué dans un vaste trafic de drogue, il vient de purger une peine préventive de 16 mois de prison.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a annoncé que le second tour de l’élection présidentielle ne pourrait pas être organisé le 18 juillet, comme prévu initialement. Aucune nouvelle date n’a été annoncée pour le moment.